mardi 15 mars 2016

Le plus grand malheur...

Et que ferez-vous au jour du châtiment, et de la ruine éclatante qui viendra de loin ? Vers qui fuirez-vous pour avoir du secours et où laisserez-vous votre gloire. Ésaïe 10 : 3
Le fils d'un éditeur célèbre était interrogé pour le compte d'une revue à grand tirage. Il avait répondu avec humour, finesse d'esprit et parfois un brin de sarcasme à plusieurs questions, quand on lui posa la suivante : " Quel serait le plus grand malheur qui pourrait vous arriver ? " Il eut alors cette réponse, brève, inattendue et déconcertante : " Ce serait que Dieu existe ! " Ce jeune était conscient que, si Dieu existait, il lui demanderait des comptes sur la manière dont il aurait vécu. Il avait jusque-là mal géré sa vie et mal investi ses forces. La question de l'existence de Dieu est loin d'être anodine. Elle entraîne des conséquences révolutionnaires sur notre échelle de valeurs et nos références. La question n'est alors plus de savoir à quelle vitesse la couche d'ozone se détériore, ou qui occupe la première place au classement mondial des joueurs de tennis, ou quel sera le score de tel parti politique aux prochaines élections, mais : " Qu'adviendra-t-il de ma vie face à Celui qui l'a créée ? " La Bible dit en effet que chaque être humain dispose d'une seule vie, dont il devra rendre compte devant Dieu, après sa mort. C'est le destin qui lui est réservé (Hébreux 9 : 27). Or pour Dieu qui est saint, le moindre péché est un abîme qui nous sépare à jamais de lui. Seul le sang de son Fils, qui a expié nos péchés, peut nous en purifier. Mais il faut et il suffit de le croire de tout son cœur.

(La Bonne Semence)