vendredi 18 décembre 2015

La Bible et le portable

Ta parole est une lampe à mes pieds, et une lumière sur mon sentier. Psaume 119 : 105
Quel changement dans notre vie si nous utilisions notre Bible de la même manière que notre téléphone portable ! Nous l'aurions toujours avec nous, à portée de main, dans notre sac, notre poche... Nous n'hésiterions pas à aller la chercher si nous l'avions oubliée à la maison ou au travail. Nous la consulterions plusieurs fois par jour pour guetter l'arrivée d'un message ou y répondre. Nous ferions appel à elle si un problème se présentait, pour avoir de l'aide. Notre premier réflexe en cas d'urgence serait de la consulter. Et, bien mieux que notre téléphone portable, la Bible a toujours un réseau disponible. Ses messages sont toujours d'une actualité surprenante et s'appliquent directement à des situations du quotidien. Ils sont aussi paroles de vérité, de consolation, d'espérance :
« Ne crains pas, crois seulement »
(Marc 5 : 36)
« Va avec cette force que tu as »
(Juges 6 : 14)
« Tous ont péché »
(Romains 3 : 23)
« Ma grâce te suffit »
(2 Corinthiens 12 : 9)
« Celui qui vient à moi, je ne le mettrai pas dehors »
(Jean 6 : 37)
« Je viens bientôt »
(Apocalypse 3 : 11)
Rien ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu, qui est dans le Christ Jésus notre Seigneur (Romains 8 : 39)

(La Bonne Semence)

La véritable origine de Noel (partie 8)

Qu’en est-il du mythe du Père Noël ?

 
Avez-vous déjà pensé que vous pourriez être en train de faire passer vos enfants par le feu, les sacrifier, (d’une manière différente toutefois) en observant la fête de Noël, tout en essayant sincèrement de mettre « l’emphase sur le Christ » ? Les parents soutiennent qu’ils doivent observer tout le mythe de Noël à cause de leurs enfants ! Les traditions de Noël se concentrent principalement sur les enfants qui deviennent le centre de pratiquement tout ce qui se déroule. Je le sais car j’ai fêté dix-sept Noël. Ma sœur aînée, mon jeune frère et moi recevions beaucoup et donnions très peu à cette occasion, et tout commençait par le mensonge à propos du Père Noël. Il y a de cela quelques années, un prêtre du New-Jersey dit aux élèves de sa classe du dimanche que le Père Noël était un mythe. L’indignation des parents et de ses superviseurs fut instantanée. Il venait de « tuer le Père Noël ». Il avait « détruit la tradition familiale » ! Il avait « usurpé l’autorité familiale, » disait l’article. Il fut censuré par ses supérieurs pour avoir été « trop zélé et insensible. » Son crime ? Avoir dit la vérité !
Selon « l’Encyclopedia of World History » de Langer (article Santa), le nom de ce personnage était un surnom commun de Nimrod en Asie mineure. C’était aussi le même dieu du feu qui descendait dans les cheminées chez les anciens païens et le même dieu du feu pour qui des enfants étaient brûlés et mangés lors des sacrifices humains pratiqués par ceux qui jadis avaient été le peuple de Dieu.
Aujourd’hui le nom de Santa Claus vient de « Saint Nicolas ». En 1809, Washington Irving fut responsable d’avoir transformé le sévère et vieil évêque original en un nouveau et « joyeux St-Nick » dans son Knickerbocker History of New York. (La plupart des traditions de Noël de l’Amérique sont encore plus récentes que cela). L’expression anglaise « Old Nick », que l’on retrouve d’ailleurs dans le dictionnaire, est depuis longtemps reconnue comme un surnom du diable. Dans Apocalypse 2 :6 et 15, la Bible traite du sujet de la « doctrine des Nicolaïtes ». à propos de laquelle le Christ dit qu’il la hait. Analysons le terme Nicolaïtes. Cela signifie « disciple de Nicolas ». Nikos signifie « conquérant, destructeur ». Laos signifie « peuple ». Les Nicolaïtes sont donc ceux qui suivent le conquérant ou destructeur — Nimrod. Si jamais vous aviez cru qu’observer Noël est une coutume chrétienne sans conséquence, alors permettez à ces vérités de s’imprégner dans votre esprit.