dimanche 21 avril 2013

De grands prédicateurs

Passage à lire : 1 Pierre 1 à 9
(...) l'épreuve de votre foi produit la patience. Jacques 1:3
Les meilleurs sermons que j'aie jamais entendus n'ont pas été prêchés de la chaire, mais de lits de malades. Les plus grandes vérités de la Parole de Dieu ont souvent été enseignées par ces humbles âmes qui ont fréquenté le séminaire de l'affliction. Les personnes les plus joyeuses que j'aie rencontrées, à peu d'exceptions près, sont elles qui ont eu le moins de soleil et le plus de douleur et de souffrance dans leur vie. Les gens les plus reconnaissants que j'ai jamais rencontrés ne sont pas ceux qui ont voyagé sur un sentier de roses toute leur vie, mais ceux qui étaient obligés de rester à la maison ou de garder le lit, et qui ont appris à dépendre de Dieu. Les mécontents, par contre, sont habituellement ceux qui ont le moins de raisons de se plaindre. Les hommes et les femmes les plus joyeux et les plus reconnaissants face aux bénédictions du Dieu Tout-Puissant sont souvent ceux qui ont supporté les plus grandes épreuves. La Bible nous dit que si nous réagissons bien aux épreuves de la vie, nous acquerrons la patience et la maturité spirituelle ( Romaine 5:3à5 - Jacques 1:3-4). Nous devons nous rappeler que Dieu fait concourir nos souffrances du moment présent à notre bien éternel ( 2 Cor. 4:17-18). Alors, prenez courage, vous qui souffrez ! Un jour, vous aussi vous vous rendrez compte que tout cela en a valu la peine ( 1 Pierre 1:7).
- M.R.D. -
Pensée : Quelques-unes des plus grandes leçons de la vie s'apprennent à l'école de l'affliction.

Gagner en perdant

Passage à lire : 2 Corinthiens 9:6 à 15
(...) celui qui perdra sa vie à cause de moi la retrouvera. Matthieu 10:39
Avez-vous déjà joué aux dominos ? Quand j'étais jeune, c'était mon passe-temps intérieur préféré. Il y a quelque temps, lorsque je rendais visite à une famille, j'ai vu un jeune garçon qui y jouait avec son grand-père, et une foule de souvenirs d'enfance ont surgi dans mon esprit. Ce qui est insolite avec ce jeu, c'est qu'on gagne en perdant, car pour gagner, on doit perdre ses plaques. C'est donc celui qui réussit à se débarrasser le premier de tous ses dominos qui gagne la partie. On doit donner pour avoir - perdre pour gagner - , être réduit à rien pour parvenir au sommet. Ce n'est pas comme le football, ou le tennis, ou tout autre jeu où c'est le nombre de matches ou de points qui détermine le gagnant. Non ! Au jeu de dominos, c'est celui qui perd tout le premier qui gagne. La règle de l'homme naturel, c'est : « Acquiers tout ce que tu peux ». La règle de l'homme spirituel devrait être : « Donne tout ce que tu peux ». Dans le domaine spirituel, il n'y a que ce qu'on donne qu'on peut gagner pour toujours. Dans la vie chrétienne, on doit être réduit à rien avant de devenir quelque chose. La semence qui reste dans le grenier moisit et pourrit, mais quand on la jette en terre, elle produit 30, 60 et même 100 fois plus, car « si le grain de blé qui est tombé en terre ne meurt, il reste seul » (Jean 12:24b). N'oubliez pas que Jésus a tout donné et qu'il est notre exemple.
- M.R.D. -
Pensée : La vie est comme une partie de tennis : pour gagner, il faut bien servir.