jeudi 7 mai 2020

Livre : Le Baptême dans le Saint-Esprit (9)

Les langues : un signe pour les non-croyants

Dans 1 Corinthiens 14 : 22, nous lisons : " Les langues sont un signe, non pour les croyants, mais pour les non-croyant ". Jésus a dit : Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru... Ils parleront de nouvelles langues... Ils imposeront les mains aux malades et ceux-ci seront guéris " (Marc 16 : 17-18). La guérison des malades apparaît, dans Marc 16, parmi les signes que Dieu avait promis d'envoyer pour confirmer la Parole. La guérison du boiteux de naissance, opérée par Pierre et Jean, fut à l'origine de la conversion de cinq mille personnes (Actes 4 : 4). Dans Actes 14 : 10, la guérison du boiteux servit de signe aux non-croyants. Si les miracles de guérison sont parfois un signe pour les non-croyants, Dieu a permis qu'il en soit de même avec l'expression surnaturelle en une langue inconnue. Le parler en langues qui se manifesta le jour de la Pentecôte était un signe pour les non-croyants. " Or il y avait en séjour à Jérusalem des Juifs pieux venus de toutes les nations qui sont sous le ciel. Au bruit qui se produisit, la multitude accourut et fut bouleversée, parce que chacun les entendait parler dans sa propre langue. Ils étaient hors d'eux-mêmes et dans l'admiration et disaient : " Voici, ces gens qui parlent ne sont-ils pas tous Galiléens ? Comment les entendons-nous chacun dans notre propre langue maternelle ? " (Actes 2 : 5-8). Aux environs de 1920, un jeune homme qui assistait à une réunion dans la ville de Winnipeg, au Canada, adressa un message éclatant en langue hébraïque. Il n'avait jamais appris cette langue, et parla sous la direction du Saint-Esprit : un rabbin juif qui se trouvait là, se convertit de manière extraordinaire. Dieu avait voulu que ce message en langues fur un signe pour lui. Il y a quelques années, un savant athée assistait, à Los Angeles, à une réunion de réveil au cours de laquelle un grand nombre de personnes furent sauvées et baptisées du Saint-Esprit, selon Actes 2 : 4. Au moment  cet homme s'approchait de ceux qui priaient et recherchaient Dieu, une jeune fille âgée de 14 ans s'adressa à lui sous l'onction du Saint-Esprit. Le message était exprimé dans un latin parfait : l'homme le comprit, tomba à genoux, et implora la miséricorde de Dieu. Là aussi, le Seigneur avait permis que le message en langues fut un signe. Il y a quelques années, un célèbre évangéliste s'adressait, par l'intermédiaire d'un interprète, à un auditoire de langue chinoise, à Vancouver, au Canada. Tandis qu'il parlait, l'Esprit de Dieu se saisit de lui et le poussa à s'adresser à l'auditoire dans leur propre langue : de nombreuses personnes se convertirent. Ce jour-là, Dieu avait encore permis que le parler en langues fut un signe pour les non-croyants. À Cumberland, dans le Maryland, une jeune femme reçut un jour le baptême du Saint-Esprit. Son mari était sceptique ; il pensa alors qu'elle tombait dans le fanatisme, or il connaissait bien la langue allemande, ce qui n'était pas le cas de sa femme. Le Saint-Esprit descendit sur celle-ci, et elle s'adressa à son mari dans cette langue. Il comprit le message et en fut fortement impressionné. Dieu avait de nouveau permis que le parler en langues fur un signe pour ce mari non-croyant.