jeudi 21 mars 2013

Je suis...


 Je suis la lumière
Et vous ne me voyez pas

Je suis la route
Et vous ne me suivez pas

Je suis la vérité
Et vous ne me croyez pas

Je suis la vie
Et vous ne me cherchez pas

Je suis le maître
Et vous ne m'écoutez pas

Je suis votre grand ami
Et vous ne m'aimez pas

Je suis votre Dieu
Et vous ne me priez pas

Si vous êtes malheureux
Ne me le reprochez pas!


(Auteur inconnu)

Êtes-vous préoccupé de vous-même ?

Venez à moi. Matthieu 11:28

Dieu veut que notre vie ait pour centre Jésus Christ; mais nous subissons, par moments, des pressions extérieures, et nous retombons alors dans l'introspection, dont nous pensions être délivrés. Cette préoccupation de nous-mêmes est la première chose qui vient troubler la plénitude de notre vie en Dieu, et elle provoque une lutte continuelle. La préoccupation de nous-mêmes n'est pas un péché; elle peut résulter d'un tempérament nerveux, ou du choc inopiné de circonstances nouvelles. La volonté de Dieu, c'est que nous soyons parfaits en lui  (parfaits = complets, complétés... par Lui). Tout ce qui trouble notre sérénité doit être corrigé, et le remède n'est pas d'ignorer le mal, mais d'aller à Jésus. Si nous allons à lui, et que nous lui demandons de remplacer en nous la préoccupation de nous-mêmes par la recherche de Sa Présence, Il le fera, jusqu'à ce que nous ayons appris à demeurer en lui .

Ne consentez jamais à ce que votre vie en Christ soit diminuée, ou partagée, sans y porter remède. Ne laissez rien venir entre le Christ et vous, ni vos amis, ni vos circonstances. Ne laissez rien perdre, rien échapper de votre communion directe avec lui. Vous risqueriez de retomber dans la préoccupation de vous-même. Rien n'est plus important que de rester honnête avec soi-même dans le domaine spirituel. Le remède souverain est tout simple : "Venez à moi." Notre vraie valeur, sur le plan intellectuel, moral et spirituel, est révélée par ces quelques mots. Si quelque chose en nous n'est pas vrai, nous sommes tentés de discuter plutôt que d'aller simplement à Jésus.


(Auteur inconnu)