mercredi 16 décembre 2015

Regardez les étoiles

Fais-tu sortir en leur temps les signes du zodiaque, et conduis-tu la Grande Ourse avec ses petits ? Job 38 : 32
Au mois d'août, on aime s'allonger dans l'herbe, la nuit, et regarder le ciel. C'est l'époque où des pluies d'étoiles filantes apparaissent devant nos yeux émerveillés. Contempler par temps clair la diversité, l'harmonie, la beauté du ciel, chercher la Grande Ourse, Orion, Pégase, est toujours fascinant. Mais même si nous nous sommes appliqués à connaître le nom de beaucoup d'astres, il faut bien reconnaître qu'il nous est impossible de les nommer tous ! Nous prenons alors conscience de notre petitesse face à l'infini qui est devant nos yeux.  Il y a pourtant quelqu'un qui peut compter et nommer toutes les étoiles : « Il compte le nombre des étoiles, il les appelle toutes par leur nom » (Psaume 147 : 4). Le témoignage de sa puissance et de sa majesté est là devant nous. Il compte aussi les nuages dans leur course furtive et éphémère (Job 38 : 37). Dieu compte aussi nos pas (Job 14 : 16) et même les cheveux de notre tête (Matthieu 10 : 30). Il tient compte de nos larmes (Psaume 56 : 8). Celui qui a créé l'univers et le maintient en mouvement s'intéresse à moi, un être si petit, si faible au regard de cette immensité. Aucun détail de ma vie ne lui est indifférent. Il me connaît et m'aime personnellement, il me l'a montré en donnant son Fil unique. « La charité de Dieu a été manifestée envers nous en ce que Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous vivions par lui (1 Jean 4 : 9). Pourrais-je rester insensible à un tel amour ?

(La Bonne Semence)

La véritable origine de Noel (partie 6)

Les sacrifices d’enfants.

 
Veuillez noter la pratique horrible qui est associée à l’adoration du dieu du feu (Nimrod, Saturne, Chronos, Moloch et Baal) dans les références suivantes tirées du livre Les deux Babylones d’Alexander Hislop, p. 231.
« Maintenant, ceci est en concordance exacte avec le caractère du dirigeant suprême de ce système d’adoration du feu. Nimrod, en tant que représentation du feu dévorant, auquel les victimes humaines, tout particulièrement des enfants, étaient offertes en sacrifice, était considéré comme le grand dévoreur…il était, bien entendu, le vrai père de tous les dieux babyloniens ; et, qui par la suite a toujours été universellement considéré en tant que tel. En tant que Père des dieux, il fut, comme nous l’avons vu, appelé Chronos. Tout le monde connaît l’histoire classique de celui qui simplement « dévorait ses fils aussitôt qu’ils naissaient ». (Lempriere Classical Dictionnary, Saturn)…Cette légende possède encore un sens plus profond ; toutefois, appliqué à Nimrod, dit « le Cornu », cela fait simplement allusion au fait que, en tant que représentation de Moloch ou Baal, les enfants étaient l’offrande la plus acceptable sur son autel. Nous possédons suffisamment de tristes preuves à ce sujet à partir des archives de l’Antiquité. « Les Phéniciens » disaient Eusèbe, sacrifiaient chaque année leurs nouveau-nés bien-aimés à Chronos ou Saturne. » Mais pourquoi les sacrifices humains ont-ils une telle importance dans l’adoration de ce terrible dieu ? Quel bien les êtres humains pouvaient-ils espérer dans le fait de sacrifier leurs propres enfants ? Continuons : « …celui qui s’approchait du feu recevait une lumière de la part de la divinité » et « par ce feu divin toutes les taches dues aux générations précédentes pouvaient être effacées. » C’est la raison pour laquelle ils [ont fait passer par le feu] à Moloch leurs fils et leurs filles (Jérémie 32 :35). (Partout c’est nous qui traduisons). Aussi incroyable que cela puisse paraître, des êtres humains séduits croyaient réellement qu’ils plaisaient à leur « dieu » en sacrifiant leurs propres petits enfants innocents. Ils croyaient que le feu les purifiait du péché originel. La doctrine païenne énonçant la nécessité de passer du temps au purgatoire afin de purifier l’âme de tout péché tire son origine de cette croyance ! Qui était Nimrod ? Nous devons examiner de plus près qui était ce personnage biblique. Nous avons déjà pu constater qu’il était un des faux dieux originaux de l’histoire. Mais que pouvons-nous apprendre de plus ? Genèse 10 :9 dit de Nimrod : « Il fut un vaillant chasseur devant [à la place de] l’Eternel ». En fait, il a tenté de remplacer Dieu. Le réputé historien juif, Flavius Josèphe a écrit dans « les Antiquités judaïques » des preuves importantes sur le rôle de Nimrod après le déluge universel. Voyez : « …il [Nimrod] aspirait à la tyrannie…il leur offrit de les protéger contre lui [Dieu] s’il menaçait la Terre d’un nouveau déluge, et de bâtir à cet effet une tour si haute que non seulement les eaux ne pourraient s’élever au-dessus, …Ce peuple insensé se laissa aller à cette folle persuasion qu’il lui serait honteux de céder à Dieu » (Livre I, Chapitre IV, sec 2,3). C’est sous plusieurs noms que les premiers, et sans doute les plus grands, rebelles ont été adorés au moyen de fausse religion. Israël n’a jamais cessé de servir les nombreux faux dieux que Nimrod représentait. Ézéchiel 8 :13-14 parle d’une vision au sujet de femmes d’Israël « qui pleuraient Thammuz ». Ce Thammuz (dieu du feu) aurait représenté Nimrod et l’étymologie du mot est absolument fascinante. Tam signifie « rendre parfait » et muz « feu ». La signification est très claire en regard de ce que nous avons déjà appris. Incidemment, pendant la guerre Tempête du Désert, entre l’Irak et le Koweit, Saddam Hussein avait même nommé un de ses missiles « Thammuz ». Il avait certainement compris que la signification du nom impliquait du feu.