jeudi 11 février 2016

Choisir

J'en prends aujourd'hui à témoin les cieux et la terre contre vous : J'ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta postérité. Deutéronome 30 : 19
La plupart de nos choix n'ont pas grande importance : tel vêtement, tel restaurant, tel lieu de vacances, notre avenir n'est pas en question. Choisir sa résidence, son employeur, et plus encore, son conjoint, est autrement sérieux. Mais seul notre avenir terrestre est engagé. Que dire alors du choix qui décide de notre avenir éternel ? Or chacun de nous doit le faire un jour, ce choix décisif, en s'engageant sur la bonne route, celle qui mène à la vie éternelle. L'Évangile nous dit que large est le chemin qui mène à la perdition, et nombreux sont ceux qui le prennent, et resserré est le chemin qui mène à la vie, et peu nombreux sont ceux qui le trouvent (Matthieu 7 : 13-14). Le chemin large paraît plus facile : on y est en nombreuse compagnie. Mais regardez bien où il mène. Suivriez-vous un panneau indiquant '' Par ici la perdition '' ? Bien sûr que non. Alors prenez, pendant qu'il en est temps, le chemin qui mène à la vie. Il est resserré, on ne peut y pénétrer qu'après avoir abandonné les bagages de la propre justice, de l'orgueil, etc... mais quel bonheur de savoir avec certitude qu'on se trouve sur la bonne route, celle qui conduit à la vie ! Aujourd'hui le choix vous appartient. Personne ne peut décider à votre place. Choisir le bon chemin, c'est choisir Jésus. Faites ce choix, cher ami, il est vital, et vous ne le regretterez jamais.

(La Bonne Semence)

Le testament d'une grand-mère chrétienne

Je n'ai pas de plus grande joie que ceci, c'est que j'entende dire que mes enfants marchent dans la vérité. 3 Jean 4
Peney, le 17 Avril 1866 - Ce n'est pas sans émotion que je m'agenouille dans ce moment solennel où je vais écrire mes dernières volontés, te priant, ô Dieu, de bénir mes enfants dans leur corps et dans leur âme, de te souvenir d'eux dans ta miséricorde. C'est de toi, mon Dieu que j'ai reçu toutes choses. Tu as préparé le passé, le présent et l'avenir par ta faveur tu t'es fait connaître à moi. Dieu de bonté, qui suis-je que tu aies voulu te révéler ainsi ? C'est là ta grande bonté par laquelle tu m'as aimée en Jésus Christ, mon Sauveur. Sur cette terre où tu as voulu que j'habite, tu as pourvu à tous mes besoins tu ne m'as jamais laissée sans une preuve de ton amour. Je te demande pardon, ô mon Dieu, pour toutes les fois où j'ai attristé ton Esprit... Que ces quelques jours que tu me donnes encore à passer sur cette terre soient employés à ta gloire. Dispose toi-même mon cœur afin que rien au monde ne me détourne de toi. Ce que je te demande encore, c'est la conversion de mes enfants et de mes petits-enfants. Tu m'as dit bien des fois : '' Ne crains pas, crois seulement. '' Je m'en vais avec l'assurance de ta promesse. (Trouvé dans la Bible usée par la lecture assidue, achetée à un bouquiniste de Genève).

(La Bonne Semence)