lundi 4 février 2013

Je vous mets au défi!

...j'espère en tes jugements. je garderai ta loi constamment. Psaume 119:43-44
 
Voici l'histoire que j'ai entendue concernant une réunion qui s'est tenue dans une petite église. Un ancien membre présent à la célébration était devenu millionnaire. Lorsqu'il a témoigné de la manière dont Dieu l'avait béni au fil des ans, il a raconté un incident de son enfance. Il a dit que, lorsqu'il a gagné son premier dollar jeune garçon, il a décidé de le conserver le reste de sa vie. Mais un missionnaire est alors venu prêcher sur un besoin urgent dans le champ missionnaire. Il avait du mal à donner son dollar. « Le Seigneur a gagné, cependant », a-t-il dit. Puis, avec un sentiment de fierté, il a ajouté: « J'ai déposé mon dollar précieux dans le panier d'offrandes. Et je suis convaincu que la raison pour laquelle Dieu m'a tant béni, c'est que lorsque j'étais jeune je lui ai donné tout ce que je possédais.» L'assemblée a été frappée par son témoignage, jusqu'à ce qu'une petite dame âgée assise en avant fasse entendre: « Je vous mets au défi de la refaire!» Il y a une grande vérité derrière cette histoire: les réalisations passées ne sont pas une mesure de la maturité spirituelle actuelle. Dans le Psaume 119, il est écrit: « Je garderai ta loi constamment» (v.44). Le psalmiste savait qu'il devait maintenir son engagement chaque jour. En tant que chrétiens, nous ne pouvons nous appuyer sur les victoires passées. Nous devons accorder au Seigneur toute notre dévotion maintenant. Personne ne pourra alors nous dire: «Je vous mets au défi de le refaire!» - D.C.E. -
 
Pensée: Utilisez le passé comme tremplin, et non comme canapé.

Marcher du même pas que Dieu

Hénoc marcha avec Dieu. Genèse 5, v. 24

La seule façon de juger la vie spirituelle d'un homme et son caractère, ce n'est pas tant la manière dont il se comporte dans les circonstances exceptionnelles, mais ce qu'il fait dans la vie de tous les jours. C'est dans l'existence quotidienne, quand il n'est pas "sous les feux de la rampe" que l'homme se montre sous son vrai jour (voir Jean 1, v. 36). Ce n'est pas une petite affaire d'arriver à marcher du même pas que Dieu; cela demande, spirituellement, un "second souffle". On apprend aussi à accorder notre pas au sien, et lorsqu'on y parvient, la vie de Dieu se manifeste en nous. Notre personnalité propre s'estompe, disparaît dans la communion avec Dieu, et on ne voit plus que la démarche vigoureuse et la puissance de Dieu. Il est difficile de marcher au même pas que Dieu, car, à peine avons-nous fait trois pas que nous nous apercevons qu'il nous a déjà distancés. Il a ses façons d'agir, qui ne sont pas les nôtres, et il nous faut les apprendre. Il est écrit de Jésus, "il ne se découragera pas, il ne se relâchera pas"; parce qu'il n'a jamais agi d'après son propre point de vue, mais d'après celui de son Père; et il nous faut apprendre à faire comme lui. La vérité dans le domaine spirituel s'apprend par l'atmosphère qu'on respire, et non par le raisonnement intellectuel. L'Esprit de Dieu change notre manière de voir les choses, et l'impossible devient Possible. Il ne faut rien de moins qu'une étroite communion
avec Dieu pour marcher du même pas que lui. Certes, il faut longtemps pour y parvenir; mais persévérez, et vous verrez que, bientôt, vous aurez une vision nouvelle et un nouveau but.

(Auteur inconnu)