vendredi 27 septembre 2013

Attendre patiemment

Passage à lire : Jacques 5 : 7 à 11
 
Soyez patients, frères, jusqu'à l'avènement du Seigneur. Jacques 5 : 7a
 
Si nous croyons vraiment que Jésus revient, nous avons une bonne raison d'être patients. Si nous savons que la justice suprême et absolue sera bientôt une réalité, pourquoi ne supporterions-nous pas quelque indignité et quelque injustice ? Existe-t-il un meilleur espoir que de savoir que Jésus reviendra rétablir toutes choses ? Comme le fermier, qui met la semence en terre et attend patiemment la récolte, nous aussi, nous avons de l'espoir pour l'avenir, car nous attendons le temps où Dieu jugera les méchants, hommes et femmes, et récompensera les disciples de Christ. Il a promis de revenir, et c'est la chose la plus certaine du monde. Quand on a demandé au pasteur et théologien allemand Helmut Thielicke  ce qu'il dira à Jésus lors de son retour, voici ce qu'il a répondu : « Je savais que tu étais sérieux.» La '' bonne vie '' ici-bas est une prime, pas quelque chose que nous méritions. La souffrance non allégée et l'oppression sont peut-être notre lot sur la terre, mais n'oublions pas que nous souffrons pour Christ (Philippiens 1 : 29). Même si la situation semble désespérée en ce moment, un jour meilleur viendra. Au-delà du monde visible, il y a un Juge qui veille sur les siens, prêt à répondre à chaque supplication et à nous venger de tout mal, car Dieu hait l'injustice et fera valoir nos droits au moment opportun. C'est pour cela que Jacques dit : « Soyez patients ».
 
Pensée : L'espérance du retour de Christ peut nous permettre de continuer.

samedi 21 septembre 2013

La puissance de l'Évangile

Passage à lire : Romains 1 : 1 à 17
 
Car je n'ai point honte de l'Évangile : c'est la puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit (...). Romains 1 : 16
 
Une des raisons pour lesquelles beaucoup de chrétiens hésitent tant a témoigner pour Christ, c'est qu'ils redoutent l'échec. Ils oublient la puissance transformatrice de l'Évangile. Dans son livre sur la priorité de connaître Dieu, Peter V. Deison parle de Ramad, un habitant de l'Inde qui était membre d'un gang de voleurs. Une fois, lorsqu'il était en train de cambrioler une maison, Ramad a remarqué un petit livre noir dont les pages étaient très minces, parfaites pour faire des cigarettes, et il l'a pris. Chaque soir, il déchirait une page, la roulait autour d'un peu de tabac et fumait. Ayant remarqué que les petits mots sur les pages étaient écrits dans sa langue, il a commencé à les lire avant de rouler ses cigarettes. Un soir, après avoir lu une page, il s'est agenouillé par terre et a demandé au Seigneur Jésus de lui pardonner ses péchés et de le sauver. Puis, il s'est rendu aux policiers, à leur grand étonnement. Ramad le bandit est devenu un prisonnier de Jésus-Christ et, dans la prison où il a purgé sa peine, il en a conduit plusieurs au Sauveur. Quel livre lisait-il ? C'était la Bible. Le Saint-Esprit s'est servi de '' l'Évangile de Christ '', et pour Ramad, il est devenu '' la puissance de Dieu pour le salut '' (Romains 1:16b). Puisqu'il y a une si grande puissance dans l'Évangile, nous pouvons toujours proclamer la bonne nouvelle avec assurance. - R.W.D. -
 
Pensée : Le religion peut réformer, mais seul l'Évangile peut transformer.

dimanche 8 septembre 2013

Apprendre à marcher

Passage à lire : Osée 11 : 1 à 4
 
C'est moi qui guidai les pas d'Éphraïm, le soutenant par ses bras. Osée 11 : 3
 
Je me rappelle l'époque lointaine où nos enfants apprenaient à marcher. D'abord, ils en ont manifesté le désir en se mettant debout et en tentant de faire un pas ou deux. Ma femme et moi leur tendions les bras pour les encourager à marcher vers nous. Nous les tenions par la main ou par les bretelles de leur salopette. Nous applaudissions chacun de leurs efforts. Nous n'étions jamais découragés, et nous n'avons pas abandonné avant qu'ils aient appris à marcher. Il en va de même pour notre Père céleste, qui a guidé les pas d'Israël. Il a pris ses enfants '' par les bras '' et les a '' tirés avec des liens d'humanité, avec des cordages d'amour ''. Notre Père céleste se tient devant nous les bras tendus, nous encourageant à vivre pieusement, prêt à nous attraper si nous trébuchons. Il nous relève quand nous tombons. Il  n'est jamais découragé quant à nos progrès et il n'abandonne jamais. Plus le processus nous semble difficile, plus il nous prodigue ses soins et sa bonté. George MacDonald l'a exprimé ainsi : « Dieu nous aide quand nous ne pouvons marcher, et il nous aide quand nous avons du mal à marcher, mais il ne peut nous aider su nous refusons de marcher.» Même si vous tombez, vous devez essayer de nouveau. Votre Père vous tient par la main. - D.H.R. -
 
Pensée : On ne peut participer à la course chrétienne sans apprendre à marcher.