jeudi 17 décembre 2015

Doit-on avoir peur des forces occultes ?

Reste avec moi, ne crains rien, car celui qui cherche ma vie cherche la tienne ; près de moi tu seras bien gardé.
1 Samuel 22 : 23
Adolescente, j'avais lu un livre qui parlait de choses mystérieuses, de puissances occultes à la fois terribles et fascinantes. J'en avais peur et, pour finir, j'en parlai à mon père. « Oui, me répondit-il, ces choses existent et font peur. Mais Marie, tu es chrétienne, tu appartiens à Jésus Christ. Souviens-toi que ton Maître est plus puissant que toutes les forces du mal. Imagine que tu vas voir une de tes amies. Dans la cour il y a un chien qui aboie avec rage dès que tu t'approches du portail. Bien sûr tu n'oses pas entrer ! Mais voici qu'un homme sort de la maison, fait taire le chien avec autorité et t'invite à entrer. Tu peux alors avancer sans crainte. À côté du maître tu ne risques rien, même si le chien gronde encore. Mais attention, si tu quittes la présence du maître, surtout si tu vas te promener près de la niche du chien, tu risques d'être mordue ! »  Quel bonheur de savoir que Jésus est vainqueur du diable et de tout ce qui lui est associé ! Le nom de Jésus met en déroute les puissances du mal ; elles reculent devant lui, comme l'obscurité devant la lumière. Si nous nous trouvons malgré nous dans une situation qui nous effraye, alors, prions le Seigneur avec conviction, et il nous délivrera. Sa présence est un sûr rempart contre le mal. Mais si nous avons contact volontairement avec le monde occulte, nous en subirons l'influence, notre joie disparaîtra, et les doutes viendront assaillir notre esprit. Veillons donc et restons près du Seigneur : avec lui nous sommes toujours du côté du plus fort.

(La Bonne Semence)

La véritable origine de Noel (partie 7)

Les druides et les sacrifices humains.

 
Plusieurs ont entendu parler des druides. Peu savent qui ils étaient ou ce qu’ils étaient. Nous ferons allusion à eux plus bas et verrons ce qui les relie à certaines pratiques de Noël bien connues. Nous devons d’abord établir quel était leur rôle dans les sacrifices humains.
Jules César est une des sources d’information les mieux connues sur les druides. Ce qui suit est tiré de l’Encyclopédie Britannique. Cette citation, sous la rubrique « Druides », explique clairement qui ils étaient : « Druides, la classe instruite des anciens Celtes, dont le nom signifie Connaître (ou Trouver le chêne). On dit qu’ils fréquentaient les forêts de chênes et agissaient en tant que prêtres, enseignants et juges. Les archives les plus anciennes au sujet des druides proviennent du troisième siècle av. J.-C…Les druides étaient en charge des sacrifices publics et privés et plusieurs jeunes hommes allaient vers eux pour être instruits. Ils jugeaient toutes les querelles privées et publiques et prononçaient les sentences…La principale doctrine des Druides était l’immortalité de l’âme…(ils) offraient des victimes humaines pour ceux qui étaient gravement malades ou en danger de mort dans les batailles. D’énormes paniers d’osier étaient remplis d’hommes vivants pour être ensuite brûlés. Bien que les druides choisissaient préférablement des criminels, ils sacrifiaient aussi des victimes innocentes, si nécessaire.
L’Ancien Testament est rempli de condamnations prononcées par Dieu à l’endroit d’Israël pour avoir pratiqué les coutumes des nations qui les entouraient. Nous rassemblons des faits importants qui sont en train de révéler une image atroce.
 

Le rôle du cannibalisme.

 
Une autre vérité à propos de l’origine de Noël a rapport au mot moderne cannibale. Cette pratique a ses racines dans l’une des fonctions principales de tous les prêtres de Baal. Le mot hébreu pour « prêtre » est Cahn. Voyez maintenant la citation suivante tirée de l’ouvrage « Les Deux Babylones » d’Alexander Hislop, page 232. « C’était un des principes de la loi mosaïque, un principe qui découlait sans aucun doute de la foi des patriarches, que le prêtre devait partager tout ce qui était offert en tant que sacrifice d’expiation (Nombres 18 :9-10). Donc, les prêtres de Nimrod (Baal) avaient aussi l’obligation de manger les victimes des sacrifices humains, et c’est ainsi qu’est né le mot « Cahna-Bal », prêtre de Baal, dans notre propre langue pour désigner ceux qui mangent de la chair humaine. » Personne ne peut ignorer cette réalité. Il est également vrai que la plupart des civilisations possèdent une tradition qui inclut le cannibalisme. Voyez cette affirmation du New York Times. « Quelle est la signification du cannibalisme ? » par Erik Eckholm. Le cannibalisme a, par le passé, à la fois fasciné et repoussé virtuellement chaque société connue, incluant celles qui sont réputées l’avoir pratiqué. » Le même article poursuivait en démontrant que la plupart des civilisations attribuaient une signification divine à une telle pratique.