lundi 29 avril 2013

Ne vous faites pas piquer !

Passage à lire : Exode 23 : 20 à 33
Ainsi la justice conduit à la vie, mais celui qui poursuit le mal trouve la mort. Proverbes 11 :19
À environ huit mètres du sol, dans un arbre derrière la maison, était suspendu un objet gris en forme de cône mesurant environ 25 centimètres de long. Voulant savoir ce que c'était, je m'en suis approché. Armé d'une longue canne à pêche et grimpé sur un baril, j'ai dirigé le bout de la canne dans l'ouverture qui se trouvait à la base de l'objet en question. Puis, c'est arrivé ! Comme un éclair, elles sont descendues, d'abord une, puis une autre ! Je suis tombé de tout mon long par terre. En quelques instants, mes yeux étaient fermés par l'enflure, et mon front était couvert de grosses bosses. J'avais été attaqué par des frelons. C'est d'ailleurs la dernière fois que je les ai ennuyés. Il en va de même pour le péché. Nous devons nous en tenir éloignés si nous ne voulons pas qu'il nous pique. Quand le peuple d'Israel s'apprêtait à entrer dans la Terre Promise, le Seigneur a dit qu'il enverrait des '' frelons '' pour chasser ses ennemis (Ex. 23:28). Cependant, Dieu a également averti Israel de ne pas se détourner de lui (v.33). Et comme le peuple n'allait pas tarder à le découvrir, la désobéissance allait faire descendre le jugement cinglant de Dieu sur lui au lieu de ses ennemis (32: 7 à 10). Alors, n'essayez pas de voir à quel point vous pouvez vous approchez du péché sans vous attirer des ennuis ; essayez plutôt de voir à quel point vous pouvez vous en éloigner. Prenez garde aux avertissements de la Parole de Dieu, et n'oubliez pas la douleur de vos erreurs passées. Tirez-en une leçon, car en agissant ainsi, vous éviterez de vous faire de nouveau piquer. - M.R.D. -
Pensée : Quand vous fuyez la tentation, assurez-vous que vous ne lui laissez pas votre nouvelle adresse.

Porté par Dieu

Passage à lire : Ésaie 46:1à4
Je veux encore vous porter, vous soutenir et vous sauver. Ésaie 46:4c
Henry Moorhouse, évangéliste anglais du IX siècle, se sentait écrasé par les fardeaux de son ministère. Alors, le Seigneur lui rappela tendrement qu'il se souciait de lui. En rentrant chez lui un jour, il allait porter un colis à sa femme au premier étage lorsque sa jeune fille, Minnie, dont les jambes étaient paralysée, et qui était assise dans son fauteuil roulant lui demanda si elle pouvait le lui porter. Il lui dit : « Chère Minnie, comment penses-tu porter le colis ? Tu ne peux même pas te porter toi-même. » Un sourire au visage, Minnie dit : « Je sais, papa. Mais si tu me donnes le colis, je vais le tenir et tu me porteras.» Moorhouse compara cela à sa relation avec Dieu et aux fardeaux du ministère qu'il portait. Grâce à Dieu, il pouvait continuer avec assurance, en sachant que le Seigneur le portait. Le Dieu tout-puissant, qui a promis de porter Israel (És.46:4), est celui qui peut nous porter. Bien que nous  devions assumer nos responsabilités, nous avons l'assurance de son soutien infaillible. Nous n'avons pas à crouler sous le poids de nos fardeaux. Demandez au Sauveur de vous aider. Il portera vos fardeaux - et vous. - H.G.B. -
Pensée : Nul fardeau n'est trop lourd pour les bras éternels.