dimanche 15 novembre 2015

L'unité du corps de Christ

Et si un membre souffre, tous les membres souffrent avec lui ; si un membre est honoré, tous les membres se réjouissent avec lui. Vous êtes le corps de Christ, et vous êtes ses membres, chacun pour sa part. 1 Corinthiens 12 : 26-27
En toutes choses, il y a ce qui se voit, et aussi ce qui ne se voit pas. Souvent, l'essentiel est ce qui ne se voit pas. Prenons le cas des chrétiens. Ce qui se voit, ce sont les grandes religions chrétiennes. Ce sont les statistiques diverses sur le nombre de baptisés ou de pratiquants. Ce qui ne se voit pas, c'est la foi véritable, la conviction intérieure, et le lien qui en résulte entre le croyant et son Seigneur. Ce lien invisible est de nature spirituelle. La Bible nous apprend qu'il existe aussi des liens spirituels entre les véritables croyants. Dès qu'une personne croit réellement, elle reçoit le Saint-Esprit et se trouve unie, d'abord au Seigneur, mais aussi à tous les autres croyants du monde entier. Ensemble ils forment l'Église, le corps universel du Christ. Si l'Église est divisée et dispersée, si elle doit parfois se cacher, elle conserve une harmonieuse unité spirituelle. Cette unité se montre d'abord par l'amour mutuel qui dépasse l'amitié, ou l sympathie naturelle entre des personnes qui sont du même avis. Ensuite il y a les joies et les peines partagées entre croyants. Si un croyant souffre pour sa foi, les autres en souffrent aussi. Plus triste, si un croyant cède devant la pression du monde, les autres s'en trouvent attristés et affaiblis. Notre foi a-t-elle discerné la réalité et la beauté du corps du Christ dont Lui est la tête ?

(La Bonne Semence)

samedi 14 novembre 2015

Les outils par lesquels Dieu nous forme

 Nous savons du reste, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein. Romains 8 : 28 - 29
Lorsqu'un morceau de marbre est extrait de la carrière, il est encore impropre à tout usage. Le sculpteur devra travailler longtemps en utilisant des outils multiples pour en tirer une statue agréable à regarder. Ainsi en est-il du croyant. À partir du moment où Jésus devient son Sauveur, il est semblable à ce bloc informe. Dieu va s'occuper de lui, et par le moyen de divers instruments, le façonner selon son désir. Il se sert de sa Parole pour l'instruire, mais il utilise aussi les circonstances de la vie et en particulier des épreuves : la maladie, un accident, un échec scolaire, professionnel ou sentimental... Tout est à sa disposition pour cela. Les outils de Dieu font souvent mal, mais n'oublions jamais que c'est sa main qui les manie pour notre bénédiction finale. Ainsi nous savons que rien n'arrive par hasard, que Dieu contrôle tout. Sa toute-puissance est au service du bien de ses enfants. Quelle tranquillité cela devrait nous donner quand l'épreuve nous assaille ! Et quel est le but que Dieu poursuit ? De même que le sculpteur a devant lui un modèle qu'il s'efforce de reproduire dans la pierre, Dieu a son modèle : son Fils, l'homme parfait. Il veut reproduire en nous ses caractères, nous rendre, comme lui, patients, humbles, sincères, charitables... et il prend son temps pour produire ce résultat dans votre vie et dans la mienne.

(La Bonne Semence)

vendredi 13 novembre 2015

La montagne Pelée

Dieu, sans tenir compte des temps d'ignorance, annonce maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu'ils aient à se repentir, parce qu'il a fixé un jour où il jugera le monde selon la justice, par l'homme qu'il a désigné, ce dont il a donné à tous une preuve certaine en le ressuscitant des morts... Actes 17 : 30-31
Il y a, aux Antilles françaises, dans l'île de la Martinique, près de la ville de Saint-Pierre, un sommet volcanique appelé '' la montagne Pelée ''. Au début de mai 1902, on pouvait entendre de sourds grondements en provenance du volcan. Les habitants de l'île en riaient et disaient : « Le vieux monstre de la montagne ronfle en dormant ». Ces bruits insolites furent bientôt suivis d'explosions. Des géologues vinrent examiner la situation et déclarèrent qu'il n'y avait rien à craindre. Le matin du 8 mai se leva, clair et ensoleillé. Soudain, une forte explosion se produisit dans les collines auxquelles était adossée la ville. On vit une immense fumée blanche fuser du cratère, puis d'énormes nuées ardentes en dévaler la pente à toute allure. En moins d'une minute, la ville fut détruite. Unique rescapé : un prisonnier protégé par les murs épais de sa prison. La Bible annonce que les jugements divins tomberont un jour sur tous les hommes, aussi soudainement qu'ils tombèrent sur les habitants de Saint-Pierre. Or la Parole de Dieu contient des avertissements précis auxquels beaucoup de gens restent sourds. Il est temps de les écouter avant qu'il ne soit trop tard. Le jugement va tomber sur le monde entier coupable d'avoir rejeté le salut offert par le Fils de Dieu, mort sur la croix, pour sauver le monde.

(La Bonne Semence)

jeudi 12 novembre 2015

Un bon serviteur : le temps

Vous me chercherez, et vous me trouverez, si vous me cherchez de tout votre cœur. Jérémie 29 : 13
Le temps que chacun de nous passe sur la terre a une valeur que nous n'imaginons pas. Pourtant, on entend dire : « Il faut bien tuer le temps ! » Pourquoi vouloir tuer ce serviteur qui ne demande qu'à travailler pour nous, si nous savons bien l'employer ? Dieu nous le donne, non pas pour le vivre le moins mal possible, mais pour que nous nous préparions à l'éternité. Surtout, ne pensons pas que le temps travaillera sans nous. À lui seul, il ne fait rien. Il ne fait que s'écouler silencieusement. Le temps n'a jamais créé un grain de blé ni quoi que ce soit. Pour récolter une moisson, il faut d'abord avoir mis dans la terre des graines que le temps fera germer, croître et mûrir. Pour avoir la vie éternelle, il faut croire. Ayant cru, état sauvés, justifiés, nés de nouveau (Jean 3 : 3), nous croîtrons, avec le temps, dans la connaissance de notre Seigneur et Sauveur Jésus Christ (2 Pierre 3 : 18). Et tandis que le temps use le monde qui nous entoure, notre être intérieur se fortifiera en attendant la venue de Christ et l'éternité près de lui. Alors le temps ne sera plus. Ne gaspillons donc pas le temps que Dieu nous accorde. Ne le laissons pas non plus glisser avec indifférence. Ne cherchons pas à le tuer par des distractions futiles. C'est le temps favorable pour chercher Dieu d'abord, pour le servir ensuite.

(La Bonne Semence)

mercredi 11 novembre 2015

Se ressourcer

Toute Écriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice, afin que l'homme de Dieu soit accompli et propre à toute bonne œuvre. 2 Timothée 3 : 16-17
Un de mes souvenirs les plus anciens est celui de ma mère qui, chaque matin, priait et lisait la Bible. Ses journées, bien remplies, étaient préparées par un moment de communion avec son Seigneur. Chrétiens, passons-nous du temps dans la compagnie du Seigneur Jésus ? Un moment dans la journée pour lui parler dans la prière et l'écouter par son Esprit et sa Parole ? Ainsi, nos pensées seront renouvelées, notre amour pour le Seigneur rafraîchi, notre foi encouragée. Dieu n'a pas voulu que la Bible soit un ensemble de vérités abstraites. Il veut nous communiquer un enseignement vivant, concret, et aux formes variées. Parfois Dieu parle directement. D'autres fois, il nous enseigne par la vie d'hommes et de femmes de foi. Nous découvrons leurs joies et leurs peines, leurs victoires et leurs défaites. Nous entendons leurs paroles de confiance et de louanges, leurs plaintes comme leurs cris d'espérance en Dieu. Et lorsque nous sommes confrontés aux épreuves de la vie, ces exemples nous encouragent et nous inspirent. Beaucoup de versets de la Bible sont un dialogue entre un croyant et son Dieu. Le premier but de la Bible est bien d'établir une relation entre l'homme et Dieu, et aussi entre les croyants. En effet la Bible nous invite à nous rassembler comme frères et sœurs chrétiens autour de Jésus pour être instruits par son Esprit, en lisant et en méditant ensemble ses enseignements.

(La Bonne Semence)

mardi 10 novembre 2015

Qu'apportent les sectes ?

Quiconque va plus loin et ne demeure pas dans la doctrine de Christ n'a point Dieu ; celui qui demeure dans cette doctrine a le Père et le Fils. 2 Jean verset 9-10
Si on vous interpelle dans la rue... Si on vous fait une visite à la maison... Si vous voulez vérifier la prétention d'un groupe de personnes de posséder la vérité... Voici quelques questions que vous pouvez poser :
  • Au nom de quelle autorité venez-vous ? Est-ce au seul nom de Jésus Christ ? La Bible le présente comme le Fils de Dieu (Romains 9 : 5). Il est le Créateur et non une créature.
  • Que m'apportez-vous ? En tant qu'être humain, j'ai une conscience et un cœur. Ma conscience a besoin de paix, de certitude et de vérité. Un jour j'aurai à répondre de ma vie. M'apportez-vous le pardon de Dieu ? Mon cœur a besoin d'amour. Pouvez-vous me parler de quelqu'un qui m'aime tel que je suis ? Me conduisez-vous au Fils de Dieu qui m'a aimé et s'est livré lui-même pour moi (Galates 2 : 20) ?
  • Où puisez-vous vos certitudes ? Est-ce exclusivement dans la Bible ? Elle est la Parole que Dieu a donnée aux hommes. La Bible, toute la Bible et rien que la Bible. Elle est l'unique fondement de la foi et de l'espérance chrétienne.
  • Vous-même, êtes-vous heureux ? D'anciens adeptes sont prêts à répondre : la secte rend esclave, elle réclame de l'argent elle veut mettre tout le monde dans le même moule... alors que la foi en Jésus Christ donne le salut. « Si donc le Fils de Dieu vous affranchit, vous serez réellement libre » (Jean 8 : 36).
(La Bonne Semence)

lundi 9 novembre 2015

Caché sous le lit

Éternel ! tu me sondes et tu me connais, tu sais quand je m'assieds et quand je me lève, tu pénètres de loin ma pensée ; tu sais quand je marche et quand je me couche, et tu pénètres toutes mes voies. Psaume 139 : 1 à 3
La scène se passe au Brésil. Un cambrioleur s'est introduit un soir dans une maison. Entendant du bruit, vite il se glisse sous un lit. À son grand effroi, tous les membres de la famille se rassemblent dans la chambre où il est caché. Et voilà que le père s'assied justement sur ce lit, prend un  livre, en lit une page à sa femme et à ses enfants. Ce sont de magnifiques paroles : jamais notre voleur n'en a entendu de pareilles. La lecture terminée, toute la famille se met à genoux pour la prière. Le père semble s'adresser à un ami présent. Jamais notre homme n'aurait pensé qu'on puisse parler à Dieu avec autant de confiance et de liberté. Puis la famille se retire et la maison devient silencieuse. Chacun s'est endormi. Alors l'intrus rampe hors de sa cachette et, encore tout tremblant, quitte précipitamment la maison sans emporter rien d'autre que... le mystérieux livre noir resté sur la table. C'est une Bible qu'il se met à lire avec assiduité. Au fur et à mesure qu'il lit, une conviction s'affirme en lui : le secret du véritable bonheur est dans ce livre ! Des mois s'écoulent, et un jour il s'approche de Dieu par Jésus-Christ, lui confesse ses péchés et obtient le pardon. Que lui reste-t-il à faire ? À rapporter la précieuse Bible à ses propriétaires en leur racontant son histoire. Alors, dans la même chambre, à genoux, le père de famille et le voleur remercient le Seigneur ensemble d'avoir fait d'eux des frères en Jésus-Christ.

(La Bonne Semence)

dimanche 8 novembre 2015

Plaire au Seigneur

C'est pour cela aussi que nous nous efforçons de lui être agréables, soit que nous demeurions dans ce corps, soit que nous le quittions. 2 Corinthiens 5 : 9
C'est le grand mobile qui doit conduire et déterminer les actions du croyant. Ne pensons pas que les travaux quotidiens, souvent pénibles et répétitifs, qui sont le lot de beaucoup d'entre nous, soient un obstacle au développement spirituel. Au contraire, dans ces travaux mêmes, nous pouvons servir le Seigneur, en les accomplissant aussi consciencieusement que possible. Si notre patron ou notre supérieur est sévère, exigeant, injuste, prions d'abord pour que Dieu nous rende capables de le supporter et, plus que cela, de considérer ce chef comme quelqu'un à qui Dieu s'intéresse. Accomplissons notre travail calmement comme pour le Seigneur qui, lui, est notre vrai Maître, afin que notre conduite soit comme un ornement de l'Évangile. Montrons que non seulement l'enfant de Dieu obéit à cette Parole, mais qu'il est heureux de le faire. Voilà le comportement qui devrait être chaque jour celui du chrétien. C'est ainsi qu'il pourra faire connaître son Seigneur. « Et quoi que vous fassiez, en parole ou en œuvre, faites tout au nom du Seigneur Jésus, en rendant par lui des actions de grâces à Dieu le Père » (Colossiens 3 : 17).

(La Bonne Semence)

samedi 7 novembre 2015

Pour résoudre nos problèmes

Dieu est puissant, mais il ne rejette personne ; il est puissant par la force de son intelligence. Job 36 : 5
Albert Einstein a passé aux États-Unis les dernières années de sa vie. Il travaillait à New York et habitait à Princeton, faisant chaque jour la navette en train entre les deux villes. On raconte qu'un soir, à son arrivée en gare de Princeton, il fut abordé par un garçon qui attendait depuis un bon moment l'arrivée du train. L'enfant s'approcha timidement du grand homme en lui demandant de bien vouloir lui expliquer un problème de maths qui faisait partie de ses devoirs scolaires. Bien que fatigué après une journée chargée, le professeur consentit en souriant. C'est ainsi que là, sur un banc du quai, au milieu de la foule qui allait et venait, le physicien le plus célèbre du monde voulut bien consacrer un quart d'heure à aider un enfant à faire ses devoirs ! Vous le trouvez peut-être bien effronté ce gamin qui s'est permis d'aborder avec un si petit problème quelqu'un d'aussi éminent. Mais l'enfant savait qu'il s'adressait à celui qui, mieux que personne, était capable de lui aider s'il voulait bien. Et il n'a pas été déçu. Nous avons accès auprès d'un Dieu puissant puisqu'il a résolu le plus grand de tous nos problèmes, celui du péché. Ne peut-il pas, à plus forte raison, nous aider dans les détails de notre vie quotidienne ? N'hésitons pas à nous approcher de lui par la prière. Nous savons qu'il nous écoute.

(La Bonne Semence)

vendredi 6 novembre 2015

Plus fort que la pierre tombale

(peuplier deltoïde)
Ne vous étonnez pas de cela : car l'heure vient où tous ceux qui sont dans les sépulcres entendront sa voix, et en sortiront. Ceux qui auront fait le bien ressusciteront pour la vie, mais ceux qui auront fait le mal ressusciteront pour le jugement. Jean 5 : 28-29
Dans un vieux cimetière de Hanovre, on voyait encore il y a quelques années une tombe d'un aspect très curieux. C'était celle d'une comtesse allemande qui se vantait de ne pas croire à la résurrection des morts. Elle avait pourtant, dans ses dernières volontés, demandé qu'on couvre son tombeau d'une épaisse dalle de granit, maintenue à une bordure par des crampons de fer. Une inscription y était gravée : « Défense d'ouvrir cette tombe qui a été achetée par concession à perpétuité ». Or voici qu'une graine de peuplier emportée par le vent vint se loger entre la bordure et la dalle du tombeau. La graine devint un arbre qui, croissant peu à peu, souleva le bloc de granit et fit céder les crampons, brisant la bordure de pierre. Une graine a suffi pour ouvrir le tombeau de la riche comtesse. Une parole du Seigneur suffira pour en tirer de la poussière son corps qui ressuscitera. Que la résurrection des morts heurte ou non la raison humaine, elle est un fait prouvé par la résurrection de Jésus Christ et une vérité fondamentale de la Parole de Dieu (1 Corinthiens 15). La résurrection donne au croyant une raison de vivre et à l'incroyant une raison de trembler. Refuser d'y croire n'empêchera pas l'événement de s'accomplir. Le dernier mot, c'est évidemment Dieu qui l'aura. Quelle folie de lui résister !

(La Bonne Semence)

jeudi 5 novembre 2015

Échappatoires

Passage à lire : Luc 18 : 11 à 14
Quiconque s'élèvera sera abaissé, et quiconque s'abaissera sera élevé. Matthieu 23 : 12
« Quand nous voyons tout ce qui se passe autour de nous : violence, immoralité... » « Les gens sont tellement égoïstes... » « Si tout le monde y mettait du sien... » Ce sont là des réflexions que nous entendons souvent quand nous présentons l'Évangile à des personnes qui ne sont pas intéressées et qui pensent avoir trouvé une bonne excuse pour ne pas écouter. D'accord, vous avez un avis sur ce que devrait être la société, le gouvernement, le patronat, la jeunesse, et vous n'avez sans doute pas tort. Si tout le monde était raisonnable, c'est vrai, les choses iraient sûrement beaucoup mieux. Alors pourquoi ne pas commencer chacun par soi-même... ! Ce que pensent et font les autres, c'est leur problème, et ils auront à en rendre compte à Dieu. Mais permettez-nous d'être directs : Vous-même, avez-vous réalisé que, devant votre Créateur, vous êtes un pécheur perdu et que vous avez besoin d'un Sauveur ? Peut-être dites-vous : « Si seulement les gens suivaient un peu mieux l'exemple du Christ... » Mais est-ce que vous avez vous-même fait place à Jésus dans votre vie ? Est-il votre Sauveur personnel ? Est-ce que vous lisez la Bible qui, dans l'Ancien Testament, nous annonce sa venue, dans les évangiles nous montre sa vie su la terre, sa mort et sa résurrection, dans les épîtres nous fait connaître son enseignement ? Qui est Jésus Christ pour vous ?

(La Bonne Semence)


mercredi 4 novembre 2015

Quand tout bascule

Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. Matthieu 11 : 28
François est heureux. La fête avec les copains, c'est du passé. Il va être père... Mais il est depuis longtemps fatigué. Il a subi de nombreux examens. Et ce matin, le médecin l'a appelé à la maison, pour lui demander de prendre un rendez-vous au plus vite. Que se passe-t-il ? Dans le cabinet de consultation, François apprend qu'il est contaminé par le sida ! Tout s'effondre : ses projets, son avenir... Il a envie de tout abandonner, de fuir... Il est frappé de plein fouet, désemparé. L'angoisse lui noue la gorge. Et il est si fatigué. Peut-être vous êtes-vous trouvé devant la tension d'une situation sans issue, en proie à la peur et la déprime, quand la solution vous échappe. Où trouver la paix ? Comment se décharger de son fardeau ? Qui peut donner le vrai repos ? Médicaments, psychothérapies, philosophies et techniques diverses, vous avez tout essayé. Et vous cherchez quelqu'un qui s'intéresse à vous personnellement, qui soit concerné par votre problème, quelqu'un de suffisamment compatissant, qui vous aime tel que vous êtes, quelqu'un qui puisse vous guérir de votre stress. Existe-t-elle cette personne, qui serait un homme pour comprendre les besoins humains, mais aussi au-dessus e l'homme pour agir sans se tromper, comme Dieu par exemple ? Cette personne est près de vous, c'est Jésus Christ. Nous vous parlons, non de religion, mais d'une relation, une relation d'amour. Rencontrer personnellement Jésus Christ est la seule découverte qui peut transformer votre vie.

(La Bonne Semence)

mardi 3 novembre 2015

Le Christ vivant

Passage à lire : Actes  10 : 36 à 41
Dieu a oint du Saint-Esprit et de force Jésus de Nazareth, qui allait de lieu en lieu faisant du bien et guérissant tous ceux qui étaient sous l'empire du diable, car Dieu était avec lui. Actes 10 : 38
À sa naissance, il effraye un roi encore tout jeune, il surprend les théologiens les plus savants adulte, il montre qu'il commande à la nature en marchant sur les vagues et en imposant le calme à la mer démontée. Il ne possède ni champ de blé ni navire de pêche, mais il nourrit cinq mille personnes avec une telle abondance qu'on remplit ensuite douze corbeilles avec les restes des pains et des poissons. Il guérit les malades sans aucun médicament et ne réclame rien pour ses services. Il fait marcher les boiteux, rend la vue aux aveugles, chasse les démons , ramène des morts à la vie. Il n'a écrit aucun livre et pourtant toutes les bibliothèques du monde racontent ce qu'il a fait. Quand il est abandonné par Dieu, la nature, œuvre de ses mains, réagit à cette douleur unique dans l'histoire : la terre se couvre de ténèbres. Quand il meurt, elle tremble. Trois jours après, il sort du tombeau. Quoique près de deux mille ans se soient écoulés depuis sa mort sur la croix et sa résurrection, il vit toujours, proclamé Seigneur par Dieu lui-même, reconnu par les anges, redouté par les démons et adoré par ceux qu'il a sauvés. Jésus est-il pour vous un Sauveur vivant ?

(La Bonne Semence)

lundi 2 novembre 2015

En retard à l'école

Ne vous inquiétez de rien ; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. Philippiens 4 : 6
En visite dans une famille, l'évangéliste E. Dapozzo assiste un matin à ce petit drame. Alors que Martin se prépare pour l'école, il déchire la couture de son pantalon. C'est le seul pantalon présentable dont il dispose... Il ne peut partir comme ça ! Contraint d'attendre ­que sa mère raccommode le vêtement, Martin se tourmente à l'idée d'arriver en retard. Il se tourne alors vers l'évangéliste et implore : « Vous ne pourriez pas prier pour que je ne sois pas en retard ? » Le cours commence à huit heures. Or il est presque huit heures ! Martin devrait déjà être à l'école. Prier maintenant pour ne pas être en retard, n'est pas demander l'impossible ? Pourtant Dapozzo présente à Dieu tout simplement la requête de Martin. Lorsque l'enfant est enfin prêt, il est huit heures et quart. Le temps d'arriver à l'école, il s'écoulera encore quelques minutes... À midi, Martin est radieux. Il raconte : « Ce matin, la maîtresse avait oublié ses clés. L'école n'a commencé qu'à huit heures et demie ». Quelle belle réponse à cette simple prière, pour un cas désespéré ! Aurions-nous osé prier si simplement ? Bien sûr, il faut le faire avec une conscience libre et un cœur droit. Mais le Dieu qui, autrefois, avait fait reculer l'ombre sur le cadran solaire en réponse à la prière du roi Ézéchias (2 Rois 20 : 5 à 11), a tous les moyens dans sa main. Et il se plaît à répondre à la foi. Que l'expérience de Martin nous encourage à présenter nos requêtes à Dieu en toute situation !

(La Bonne Semence)

dimanche 1 novembre 2015

La voix de la création

Les cieux racontent la gloire de Dieu, et l'étendue manifeste l'œuvre de ses mains. Psaume 19 : 1
Un chrétien de l'ex-République démocratique allemande raconte : « Nous avions au kolkhoze un supérieur très pénible. Un jour, il arriva au travail complètement transformé. Nous avons tous remarqué immédiatement ce changement. Il était bienveillant envers nous tous, ne jurait plus, et nous aidait beaucoup. Pendant la pause, il nous fit ce récit : '' Il y a quelques jours, je suis allé faire une promenade. Il était tard, il faisait déjà nuit, mais le ciel était tout étoilé. Cela m'a impressionné. Alors j'ai eu des doutes : Est-ce que tout cela a pu se créer tout seul ? Impossible ! Pour toute construction, il faut un architecte, un ingénieur... Et cet univers se serait créé tout seul ? Quelle terrible erreur ! Vaincu, je me suis alors incliné devant le Créateur. Mais Dieu a poursuivi l'œuvre qu'il avait commencée en moi : j'ai trouvé la paix en confessant mes péchés et en croyant en Jésus Christ. Maintenant, je veux servir Celui qui est mort pour moi et qui a appelé à l'existence cette merveilleuse nature. '' Ce changement consterna nos camarades. Toutefois ils respectèrent leur supérieur et nous, les chrétiens, nous avons vécu ce changement comme un cadeau de Dieu. Nous avions désormais dans ce chef un ami et un frère. Il nous apporta une aide appréciée et fut un témoin fidèle à son Seigneur. Dieu avait utilisé la voix de la création pour accomplir cette conversion miraculeuse. »

(La Bonne Semence)

samedi 31 octobre 2015

Sentiments et fidélité

Passage à lire : Psaume 36 : 6 à 13
Éternel ! ta bonté atteint jusqu'aux cieux, ta fidélité jusqu'aux nues. Psaume 36 : 6
Quand j'étais à l'université, mon compagnon de chambre était fiancé à une fille qui vivait à plus de 1200 km. Il était inquiet et pessimiste de nature, si bien qu'il se posait constamment des questions sur la qualité de leur relation. Il avait peur qu'ils s'éloignent l'un de l'autre. S'il passait une journée sans recevoir de lettre, il se convainquait qu'elle ne l'aimait plus et était sur le point de rompre. J'étais tellement fatigué par son inquiétude que j'insistais alors pour qu'il l'appelle. Il découvrait toujours que rien n'avait changé et qu'elle était ferme dans son amour. Grandement soulagé, il s'en voulait d'avoir douté, et il promettait de ne plus s'inquiéter - ce qui ne durait que trois jours ! Bien qu'il nous arrive de broncher dans notre foi et de douter de l'amour de Dieu pour nous, il reste fidèle. Même lorsque nous doutons de ses promesses, ou que nous ne nous sentons pas près de lui, ou que nous choisissons de pécher, sa fidélité atteint « jusqu'au nues ». Nous pouvons être certains que Dieu fera tout ce qu'il a dit qu'il ferait (1 Thessaloniciens 5 : 24 - 2 Thessaloniciens 3 : 3). Ses promesses sont appuyées par sa nature parfaite. Lorsque vous ne vous sentez pas près de Dieu, rappelez-vous que ses sentiments pour vous n'ont pas changé. Il ne faut pas regarder à ce que vous ressentez à un moment quelconque, mais à la fidélité inébranlable de Dieu. - D.C.E. -
Pensée : Croire en la fidélité de Dieu dissipe les craintes.

(Le Pain Quotidien)

vendredi 30 octobre 2015

Un verre de trop

Proverbes 23 : 15 à 21
 
Le vin est moqueur, les boissons fortes sont tumultueuses ; quiconque en fait excès n'est pas sage. Proverbes 20 : 1
 
Le missionnaire John G. Paton était invité à dîner chez un riche ami. Paton remarqua que le serviteur versait un verre de whisky à son hôte. Quelque peu embarrassé, l'homme expliqua : « J'obéis aux prescriptions de mon médecin : un peu de whisky pour ma toux. » Paton demanda : « Depuis combien de temps faites-vous cela ?» « Depuis huit ans », répondit l'autre. « Votre toux s'est-elle améliorée ? » demanda Paton. « Non », dut admettre l'hôte. « Bien, dit le missionnaire, si j'avais obéi aux prescriptions d'un médecin pendant huit ans et si cela ne m'avait pas aidé, je cesserais de suivre ses prescriptions et je me trouverais un autre médecin. » L'ami de Paton ne prenait probablement pas de l'alcool simplement pour des raisons médicales. Même s'il essayait de rendre son habitude acceptable, il jouait avec le feu. Les gens ne commencent habituellement pas à boire avec l'intention d'aller trop loin. Mais une chose que l'on peut maîtriser au  début peut devenir comme un boa constrictor et faire mourir sa victime. Il en est ainsi de l'alcool ; un '' petit verre '' peut devenir le premier anneau autour du cou d'une personne. À la fin, il ne peut plus s'en sortir. L'auteur des Proverbes a averti son fils de ne pas se tenir avec les buveurs de vin. Il savait que l'on peut rapidement devenir l'innocente victime des boissons fortes. Osée a donné l'avertissement suivant : « La prostitution, le vin et le moût, font perdre le sens » (Osée 4 : 11). Si l'alcool peut vous rendre esclave, ne vaudrait-il pas mieux d'y renoncer complètement ? Un grand nombre de ceux qui disent : « Un dernier verre » découvrent que c'est un verre de trop. - D.J.D. -
 
Pensée : Beaucoup de choses peuvent être préservées dans l'alcool, mais pas le caractère chrétien.

jeudi 29 octobre 2015

Le '' lever de soleil '' de la résurrection

Passage à lire : 1 Corinthiens 15 : 20 à 28
Et le premier jour de la semaine, de grand matin, elles se rendirent au sépulcre, comme le soleil venait de se lever. Marc 16 : 2
Pour moi, le lever du soleil est un symbole d'espoir pour le chrétien. Chaque matin, les premiers rayons du soleil nous rappellent que la longue nuit du péché et des ténèbres fera un jour place à une journée éternelle. Le lever du soleil est une image du moment où nos corps ressusciteront d'entre les morts pour s'unir à notre âme, transformés pour la vie dans le ciel. Pensez à ce que ce serait si nous nous couchions un soir en sachant que le soleil ne se lèvera pas le lendemain. Pensez au froid, à la noirceur sans fin, aux inéluctables doigts de la mort qui s'étendraient progressivement sur la terre. Les plantes flétriraient, les fleurs faneraient, les arbres mourraient et toute vie périrait par manque de soleil. Mais, grâce à Dieu, le soleil se lève chaque jour. Sa lumière chaude et vivifiante se déverse sur la terre. La '' mort '' du coucher de soleil est chaque jour suivie de la '' résurrection '' du lever de soleil le lendemain. Notre espérance est ainsi renouvelée. Ce qui est encore plus sûr que le lever du soleil, c'est la certitude de notre résurrection en Jésus-Christ. La sombre nuit de la mort s'est abattue sur lui, et son corps sans vie a été déposé dans le tombeau. Mais il est ressuscité ! Et dans sa résurrection nous avons la promesse de notre propre résurrection. L'apôtre Paul a déclaré : « De même aussi tous revivront en Christ » (1 Corinthiens 15 : 22). La prochaine fois que vous verrez le soleil se lever et ses rayons éclairer le ciel du matin, que votre cœur soit rempli d'espérance. C'est un rappel de votre propre résurrection ! - D.C.E. -
Pensée : La résurrection de Christ est le bourgeon de la promesse ; notre résurrection sera la fleur de l'accomplissement.

(Le Pain Quotidien)

mercredi 28 octobre 2015

Suivez le livre

Passage à lire : Josué 1 : 1 à 9
Que ce livre de la loi ne s'éloigne point de ta bouche ; médite-le jour et nuit. Josué 1 : 8
La procédure à suivre était simple. Débrancher tous les tuyaux et les fils, enlever le radiateur, retirer toutes les vis de fixation, puis sortir le moteur avec un palan à chaine. Je croyais avoir tout fait comme il faut, mais le moteur de quatre cylindres de mon Opel 1968 ne voulait pas sortir. Finalement, après plusieurs tentatives infructueuses, j'allai consulter '' M.Desoutils '' au garage Buick. Il me remit le manu d'entretien Opel. n lisant la section qui expliquait comment enlever le moteur, je découvris qu'il fallait faire descendre le moteur pour l'enlever par en-dessous. En suivant attentivement chaque étape, je réussis finalement. Le fait de suivre le manuel fit toute la différence entre le succès et l'échec. La Bible est le manuel d'entretien de la vie. Elle a été écrite par notre créateur et rédempteur, par l'entremise d'hommes inspirés. Nous connaissant à fond, Dieu nous montre comment réussir, non selon les normes du monde, mais selon les siennes. Son manuel définit le problème fondamental comme étant le péché et nous donne la solution de Dieu : la foi en Jésus comme notre Seigneur et Sauveur. Il nous dit que Christ est mort et ressuscité afin de payer la peine de nos péchés. Il nous assure que le Saint-Esprit qui habite en nous nous remplira et nous transformera à l'image de Christ, si toutefois nous nous soumettons à lui. Il nous donne des principes généraux de mêmes que des commandements précis qui, si nous les appliquons, nous aideront à vivre sagement. Il nous arrivera encore de nous salir les mains et de nous écorcher les jointures. Nous devrons méditer le manuel pour en comprendre les termes qui ne nous sont pas familiers. Mais le Saint-Esprit nous enseignera. Consultez-vous souvent le manuel de Dieu ? - D.J.D. -
Pensée : La valeur de la Bible ne consiste pas seulement dans le fait de la connaitre, mais dans le fait d'y obéir.

(Le Pain Quotidien)

mardi 27 octobre 2015

Suis-je prêt à tout ?

L'Éternel vit qu'il se détournait pour voir ; et Dieu l'appela du milieu du buisson, et dit : Moïse ! Moïse ! Et il répondit : Me voici ! Exode 3 : 4-5
 
Quand Dieu nous parle, combien d'entre nous sont comme les gens dans le brouillard, et ne répondent rien. La réponse de Moïse prouve qu'il était là, prêt à tout. Nous sommes avant tout préoccupés d'expliquer à Dieu où nous voudrions aller. Et pourtant, ce qui importe, c'est d'être tout prêt, à chaque instant, à faire ce que Dieu nous ordonne. Nous attendons qu'il se présente des circonstances dramatiques, exceptionnelles, et alors nous sommes prompts à dire : « Me voici. » Là où Jésus est glorifié, nous sommes prêts à marcher. Mais pour un devoir obscur, nous nous dérobons. Être prêt à tout, pour obéir à Dieu, c'est être prêt à faire les plus petites besognes, aussi bien que les plus grandes. Ne cherchons pas à choisir notre activité. Quel que soit le programme de Dieu, suivons-le. Quand le devoir est là devant nous, si nous entendons la voix de Dieu, comme Jésus entendait la voix de son Père, soyons tout prêts à obéir, avec l'empressement de l'amour. Jésus-Christ attend de nous la même obéissance qu'il avait à l'égard de son Père. Il peut nous donner, à son gré, des devoirs agréables ou des devoirs rebutants, parce que son Esprit est en nous : « Qu'ils soient un, comme nous sommes un. » Soyez prêts à recevoir les visites imprévues de Dieu. Celui qui est toujours prêt n'a jamais à se préparer. Que de temps nous gaspillons à nous efforcer d'être prêts, lorsque Dieu nous appelle ! Le buisson ardent est le symbole de tout ce qui encadre l'âme vigilante : elle est tout illuminée par la présence de Dieu.

lundi 26 octobre 2015

Destinés à la sainteté

 Vous serez saints, car je suis saint. 1 Pierre 1 : 16
 
N'oubliez jamais le but véritable de votre vie. La destinée de l'homme n'est ni le bonheur, ni la santé, mais la sainteté. De nos jours, beaucoup trop de choses nous attirent : ce sont peut-être des aspirations bonnes et légitimes, qui se réaliseront certainement un jour : mais pour le moment Dieu doit les contrarier. Car la seule chose qui compte, c'est notre attitude à l'égard du Dieu qui veut nous rendre saints. À tout prix, il faut que nous soyons véritablement unis à lui. Suis-je convaincu que j'ai besoin de devenir saint ? Est-ce que je crois que Dieu peut venir habiter en moi et me rendre saint ? Si votre prédication me prouve que je ne suis pas saint, j'en serai froissé. L'Évangile fait naître en moi du ressentiment, car il me révèle que je suis mauvais ; mais en même temps il éveille en moi un ardent désir de perfection. Car Dieu veut amener l'homme à la sainteté. Il veut créer des saints. Dieu n'est pas une machine à bénir, ce n'est pas par pitié qu'il les avait créés pour qu'ils soient saints. Grâce à la mort de Jésus-Christ, l'expiation permet à Dieu de rétablir une communion parfaite entre lui et moi, sans que subsiste aucune ombre. Par indulgence envers vous-même, n'acceptez jamais rien qui soit contraire à la sainteté de Dieu. La sainteté doit se manifester dans toutes nos démarches, dans notre langage, dans nos pensées - chaque détail de notre vie étant placé sous le regard de Dieu. La sainteté n'est pas seulement intérieur, elle doit se manifester au dehors.

dimanche 25 octobre 2015

Attendre... et veiller

(Suricate qui veille)

Passage à lire : 1 Thessaloniciens 5 : 1 à 11
Ne dormons donc pas comme les autres, mais veillons et soyons sobres. 1 Thessaloniciens 5 : 6

Un père alla chercher son fils après une réunion de jeunes. En entrant dans le stationnement, il aperçut son fils près de la porte - complètement inconscient de l'arrivée de son père. Le père décida d'attendre pour voir combien de temps s'écoulerait avant que son fils ne regarde autour de lui et ne s'aperçoive que son père était là. Il s'écoula vingt minutes avant que le père ne finisse par klaxonner pour attirer l'attention de son fils. « Où étais-tu ? » demanda son fils en montant dans la voiture. « Cela fait exactement vingt minutes que je suis ici », répliqua son père, au grand étonnement de son fils. Pensez-vous que nous ressemblerons à ce fils préoccupé lorsque Jésus viendra nous chercher ? Ce n'est pas que nous ne pourrons le voir lorsqu'il reviendra, car sa présence sera manifeste. Mais sommes-nous tellement préoccupés pas les détails de la vie que nous ne l'attendons pas et que nous ne nous préparons pas à sa venue ? Ou veillons-nous, désireux de le voir arriver ? Ce n'est pas facile de toujours penser en fonction du retour du Seigneur. Nous avons tellement de choses à faire que nous repoussons le retour de Christ à l'arrière-plan de nos pensées. Si tel est le cas : «  Ne dormons donc pas comme les autres, mais veillons et soyons sobres ». Pour nous préparer au retour de Christ, nous devons veiller activement, et être prêts. - J.D.B. -

Pensée : C'est en étant prêts à tout moment que nous serons prêts au dernier moment. -Bonar-

(Le Pain Quotidien)

samedi 24 octobre 2015

Pendant que tu es seul

 
Pendant que tu es seul, ne pense pas que tu es seul. Quelqu'un t'aime quelque part, il t'aime d'un amour incomparable, il a un plan de bonheur et non de malheur pour ton lendemain, il veut que tu sois heureux, béni épanoui.
 
Pendant que tu es seul, profite de ce moment pour voir les merveilles de Dieu dans ton passé, glorifie-le pour ton futur et livre-toi à son service.
 
Pendant que tu es seul, sache qu'Adonaï t'a réservé un partenaire avec qui tu le serviras. Ce dernier sera auprès de toi une aide un amour et un sujet de consolation.
 
Pendant que tu es seul, sache que le Seigneur t'appelle dans ta vie pour consoler le cœur des affligés, donner à manger à l'orphelin et soulager la veuve dans ses tribulations. N'oublies pas que ce moment de solitude est une bénédiction, une école et une épreuve pour te permettre de faire le bon choix.
 
Pendant que tu es seul, compte les bienfaits de l'Éternel, adore-le d'un cœur pur, laisse passer tes intérêts personnels pour celui qui t'a aimé le premier.
 
Pendant que tu es seul, n'oublies pas qu'un livre de vie est ouvert au ciel pour que ton nom y figure, un livre de souvenirs est tenu par ton rédempteur pour toutes les bonnes œuvres que tu accomplis pour ton créateur et ton prochain.
 
Pendant que tu es seul, n'oublies pas que ton avenir est devant et non derrière toi.
 
Pendant que tu es seul, abandonne ta vie, tes projets, tes soucis à celui qui a dit : « Déchargez-vous sur moi de tous vos soucis (fardeaux) ! »
 
Et lorsque tu seras comblé quand tu ne seras plus seul, n'oublies pas celui sans qui tu ne peux rien. Oui, c'est difficile d'être seul, mais sache qu'après la pluie c'est le beau temps, après l'hiver, il y a le printemps, après les pleurs, c'est le rire, après le malheur, c'est le bonheur et après la mort, la vie éternelle.
 
Ma prière est que ton ciel soit toujours bleu, que les nuages qui tous les jours assombrissent ton ciel cèdent la place à l'Étoile brillante du matin et que ta vie soit une louange, un parfum de bonne odeur. Mon(ma) cher(e) ami(e), tu n'es pas seul, Yeshoua t'aime et moi aussi.
 
(Auteur inconnu)

vendredi 23 octobre 2015

Affectionnez-vous aux choses d'en-haut

Passage à lire : Colossiens 3 : 1 à 4
 
Mais cherchez premièrement le Royaume de Dieu et sa justice ; et toutes ces choses vous seront données par-dessus. Matthieu 6 : 33
 
Le chrétien doit constamment et avec persévérance rechercher le royaume de Dieu et la justice de Dieu. Le verbe grec traduit par '' cherchez '' indique une constante et continuelle recherche... comme un assoiffé recherche de l'eau, comme un affamé recherche de la nourriture, nous devons rechercher ces choses. Un vrai croyant recherche toujours la face de Dieu et désire continuellement le connaître encore mieux. Dieu est sa priorité, il investit du temps pour cultiver une relation de qualité avec lui. Tout ce qui est mit devant Dieu est une idole, cela peut être une personne, une carrière professionnelle, des possessions matérielles, une passion etc... Dieu doit être en premier dans la vie du chrétien. Connaître Dieu et sa volonté doivent être notre priorité. Jésus dit que ce sont ceux qui ne connaissent pas Dieu qui devrait s'inquiéter au sujet du boire et du manger, mais ceux qui ont soif des choses du royaume et qui recherche continuellement et constamment le royaume et la justice de Dieu verront leurs besoins d'ordre matériel s'ajouter dans sa vie. En recherchant sincèrement les choses d'en-haut, nos désirs commencent à s'harmoniser avec la volonté de Dieu, au lieu de désirer les choses de cette terre, nous commençons à désirer ce qui plaît à Dieu '' repentance, consécration et sanctification ''. L'apôtre Paul dit aux Colossiens « affectionnez-vous aux choses d'en-haut ». J'aime cette autre traduction qui dit  : « De toute votre pensée, tendez vers les réalités d'en-haut ». e pense que nous devrions continuellement veiller à ce que nos priorités soient bien en place. Mettre Dieu en premier est l'un des principes bibliques le plus important et nous devons veiller, en examinant notre propre cœur, à ce que rien n'usurpe sa place dans notre cœur, dans nos pensées et dans notre vie.
 
(Auteur inconnu)

jeudi 22 octobre 2015

Quelqu'un t'aime


Tu es aimé !

« Je t'aime ! je me réjouis de ce que tu existes ! » Ces paroles, quand elles nous sont adressées, nous remplissent de joie. Elles nous donnent des ailes. En effet, quel bonheur lorsqu'une personne nous dit : « Je te trouve formidable, je t'aime. » Cela donne un sens à notre vie. On a l'impression de commencer à vivre parce qu'il y a là quelqu'un pour qui l'on compte. Tout d'un coup, la vie est belle et prend une nouvelle valeur. On prend goût au travail. Tout marche comme sur des roulettes. On est motivé. Plus rien ne devient trop long, ni trop lourd. C'est avec d'autres yeux que l'on considère le monde, la vie, les gens, la nature. Seulement parce qu'il y a là quelqu'un qui me voue son intérêt et son amour.
 
Sans amour, inapte à la vie
 
L'être humain a besoin d'amour pour vivre ! Voici le résultat frappant d'une expérience faite sur ordre de Frédéric le Grand : il fit recruter dix bébés. Cinq d'entre eux reçurent tous les soins et l'hygiène nécessaires et furent nourris très régulièrement. Seulement, il fut interdit à leur nurse de leur parler. Les cinq autres bébés ne furent pas nourris d'une manière aussi précise et on ne leur prodigua pas des soins aussi méticuleux. Par contre, il fut permis à leur nurse de leur parler, de rire et de chanter avec eux. Les cinq premiers bébés tombèrent malades et devinrent de plus en plus apathiques. Ils n'étaient pas aptes à vivre. Les cinq autres enfants croissèrent et se développèrent admirablement. Ce ne sont pas l'ordre et la propreté qui assurent le maintien de la vie, c'est la relation affective qui compte ! Avoir assez à manger ne rassasie pas, ce qui apaise la faim existentielle de l'individu, c'est l'amour ! Abondance et richesse ne garantissent pas non plus une vie heureuse et satisfaite, mais être aimé apporte le bonheur et engendre la satisfaction.
 
Être aimé, être estimé !
 
Tant de personnes - jeunes et moins jeunes - m'ont avoué : « Personne ne m'a jamais vraiment aimé. Personne ne s'intéresse à moi. » Combien je suis heureuse alors de pouvoir leur dire : « Tu es aimé ! Dieu te fait une déclaration d'amour ! » Dieu te dit dans la Bible, dans Ésaïe 43 : 4 : « Parce que tu as du prix à mes yeux, tu es honoré et je t'aime ». « Tu es pour moi très précieuse. Tu es pour moi comme un trésor fabuleux » - Voilà ce que dit le Dieu Tout-Puissant, à toi et à moi, personnellement. L'amour de Dieu, ce n'est pas seulement des mots - c'est un actes. L'amour de Dieu se nomme : Jésus ! En Jésus, nous voyons Dieu à cœur ouvert. Dieu a donné son fils Jésus en sacrifice, afin que nous ayons la paix, afin que nos fautes soient effacées. Ainsi, jour après jour, nous pouvons vivre du pardon de Dieu. À travers Jésus, nous sommes estimés et honorés de la part de Dieu. Il prend soin de nous et s'inquiète de nous. Il pense à nous et s'occupe de toutes les choses de notre vie. Christ est le vivant et le ressuscité. Il vient à nous, au milieu de notre solitude, et nous ne sommes plus seuls. Il nous écoute et parle avec nous.
- K.B. -
 


mercredi 21 octobre 2015

Un soldat mourant trouve la vie


La question

« Jean a été touché, il est tombé ! » crie Jacques. Il se rend compte que la blessure de Jean est fatale. C'était en France, pendant la Première Guerre mondiale. Le combat était intense tout au long de la tranchée. Jacques s'efforce d'arrêter l'hémorragie de son camarade lorsque soudain il l'entend dire : « Peux-tu m'indiquer le chemin du ciel ? » Jacques se penche sur le blessé. « Je regrette, Jean. Je ne sais pas le chemin. Mais je vais demander aux autres ». Partant en courant le long de la tranchée, il interroge les hommes qui se trouvent là, mais personne ne peut lui répondre. La question est transmise à seize hommes successivement. Aucun d'entre eux ne connaît le chemin du ciel. Pensez donc ! Ces jeunes soldats d'un pays dit '' christianisé '' ne peuvent pas aider leur ami mourant. Ils sont tous exposés à la mort, mais pas un d'entre eux ne connaît le chemin qui mène au ciel ! Quand un homme est près de mourir sur le champ de bataille, il a besoin de la vérité. Nos pensées, nos conclusions ou nos suppositions ne servent absolument à rien. Les bonnes œuvres, le baptême, la confirmation, la communion et les pénitences ne peuvent pas aider Jean qui est en train de mourir dans un fossé quelque part en France. C'est d'un Sauveur qu'il a désespérément besoin. Auriez-vous pu indiquer le chemin du ciel à Jean ? Auriez-vous su ouvrir la Bible et exposer le plan de salut de Dieu ? Il s'y trouve exprimé en termes clairs. Mais savez-vous dans quels passages ?
 
La réponse

Dans la tranchée, la question continue à courir le long de la ligne : « Jean va mourir et il aimerait savoir le chemin du ciel. Qui peut le lui indiquer ? » Enfin un soldat répond : « Je connais le chemin, mais je ne peux pas quitter mon poste ». Il tire de sa poche une petite bible, l'ouvre et dit : « Lisez ce verset à Jean. Dites-lui d'écouter attentivement. C'est le chemin qui mène au ciel ». Rapidement le message et la bible remontent dans la tranchée jusqu'à Jacques qui retourne vers son ami. « J'ai la réponse, Jean. Écoute bien. Voilà le chemin du ciel. '' Dieu a tant aimé le monde, qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle '' (Jean 3 : 16)». Jean ouvre de grands yeux. « Relis-le ! » Retenant ses larmes, Jacques répète les paroles qui communiquent la vie. Une expression de paix se dessine sur le visage de Jean alors qu'il dit dans un souffle : « quiconque croit ». Un moment plus tard, sa face s'illumine. Avec un sourire, il murmure : « Je crois », puis il expire : il a quitté le champ de bataille pour être avec Christ ! Jean a trouvé le chemin du ciel à la dernière minute.

N'attendez pas

Pendant que je servais comme soldat, j'ai trouvé moi aussi que Jésus Christ est le seul chemin qui mène au ciel. Il dit : « Moi, je suis le chemin, et la vérité, et la vie ». Et aussi : « Moi, je suis la porte : si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé » (Jean 14 : 6-10-19). La Bible affirme : « Il n'y a point d'autre nom sous le ciel... par lequel il nous faille être sauvés » (Actes 4 : 12). Et encore : « Qui croit au Fils (de Dieu) a la vie éternelle » (Jean 3 : 36). Il n'y a qu'un seul chemin qui mène au ciel. N'attendez pas le moment de votre mort pour recevoir Jésus comme votre Sauveur. Peut-être n'aurez-vous pas la même occasion que Jean. « Cherchez l'Éternel tandis qu'on le trouve » (Ésaïe 55 : 6). « Si tu confesses de ta bouche Jésus comme Seigneur et que tu crois dans ton cœur que Dieu l'a ressuscité d'entre les morts, tu seras sauvé » (Romains 10 : 9).

mardi 20 octobre 2015

S'éclipser

Passage à lire : Éphésiens 5 : 1 à 13
 
Mais toi, homme de Dieu, fuis ces choses, et recherche la justice, la piété, la foi, la charité, la patience, la douceur. 1 Timothée 6 : 11
 
Et si un jour tous les disciples de Christ devaient subitement disparaître ? Et si nous nous évanouissions tout simplement. Je ne parle pas des chrétiens quittant la planète Terre. Je parle de quelque chose que nous pourrions contrôler. Et si subitement tous les chrétiens disparaissaient des lieux de divertissement où ne devraient pas être des enfants du Père céleste ? Par exemple, qu'arriverait-il si les chrétiens refusaient de regarder les émissions de télé dans lesquelles l'immoralité est présentée sous forme de divertissement ? Et si nous ne regardions plus de films impies ou dont les personnages se servent du nom de Dieu en vain et prennent à la légère les normes de Dieu ? Notre absence ferait-elle une différence ? Les gens d'Hollywood remarqueraient-ils notre absence ? Je pense que oui. Mais ce n'est pas vraiment cela qui importe. Notre responsabilité dans la vie, c'est de vivre chaque moment en communion avec Dieu. Cela veut dire que nous ne laissons rien dans notre vie interrompre cette communion. C'est notre relation intime avec Dieu qui est en jeu. Fuyons les foules qui sont influencées par les divertissements impies. Et même si personne ne le remarque sauf Dieu, c'est vraiment tout ce qui importe. - J.D.B. -
 
Pensée : Si vous marchez avec Dieu, vous ne courrez pas avec le monde. 

lundi 19 octobre 2015

Pendant que tu croyais que je ne regardais pas...

 
Pendant que tu croyais que je ne regardais pas...
 
Je t'ai vu accrocher ma première peinture sur le frigo et j'ai eu envie d'en faire une autre.
 
Je t'ai vu nourrir un chat errant et j'ai pensé que c'était bien d'être bon avec les animaux.
 
Je t'ai vu préparer mon gâteau favori juste pour moi et j'ai su que les petites choses font toute la différence.
 
Je t'ai entendu dire une prière et j'ai su qu'il y avait un Dieu à qui je pourrais toujours parler.
 
J'ai senti que tu m'embrassais pour me souhaiter bonne nuit et je me suis senti aimé.
 
J'ai vu des larmes dans tes yeux et j'ai su que parfois on a mal et que c'est bien de pleurer.
 
J'ai su que tu faisais de ton mieux et j'ai voulu aller au bout de mes moyens.
 
Pendant que tu croyais que je ne regardais pas, j'ai regardé... et j'ai voulu dire merci pour toutes ces choses que j'ai vues pendant que tu croyais que je ne regardais pas.
 
 
(Mary Rita Schilke Korzan)

Si j'avais...

 
Un homme dit un jour : « Si j'avais assez d'argent, j'en donnerais à ceux qui en ont besoin. Mais hélas, je n'en ai que juste assez pour mes besoins et ceux de ma famille. » Il dit aussi : « Si seulement j'avais du temps libre, j'en donnerais au Seigneur. Mais, malheureusement, chaque minute de ma journée est occupée par mon travail, mes activités et ma famille, chaque minute. » Il dit de plus : « Si j'avais du talent, je l'utiliserais pour le bien du travail du Seigneur, mais ce n'est pas le cas. Je ne suis pas un grand chanteur, je n'ai pas la parole facile, je n'ai pas de formation en un métier spécialisé, il n'y a pas grand chose que je peux faire. » Dieu fut touché de ce témoignage et par sa providence permit à cet homme d'acquérir de l'argent en abondance, d'avoir beaucoup de temps libre et aussi de développer de beaux talents nouveaux. Puis Dieu attendit, et attendit, et attendit encore. Finalement, l'homme perdit tout son argent et fut vraiment obligé de consacrer tout son temps pour pourvoir au strict nécessaire et, ainsi faisant, laisser rouiller ses beaux talents nouvellement acquis. Après un certain temps, l'homme dit, avec un soupir : « Si seulement j'avais une partie de cet argent que j'ai perdu, je le donnerais à ceux qui en ont besoin. Si j'avais juste une partie du temps libre que j'avais, je l'accorderais au Seigneur. Oh, si je pouvais redécouvrir ce merveilleux talent, je m'en servirais pour le Seigneur. » Et Dieu lui dit : « Non, tu ne le ferais pas. » En parlant avec des amis, l'homme dit : « Vous savez, je ne suis pas tellement certain de toujours croire en Dieu. »

dimanche 18 octobre 2015

Réveillons-nous, voici l'époux

Et comme l'époux tardait à venir, elles s'assoupirent et s'endormirent toutes. Or à minuit il se fit un cri, disant : Voici, l'époux vient, allez à sa rencontre ! Alors toutes ces verges se réveillèrent et préparèrent leurs lampes.
Matthieu 25 : 5 à 7
 
Difficile d'attendre sans rien faire ! L'assoupissement, puis le sommeil arrivent presque inéluctablement. Mais Dieu ne nous demande pas d'attendre sans rien faire ! Au contraire, il nous invite à être actifs jusqu'au retour du Seigneur. Pas de danger alors de s'endormir ! Les Thessaloniciens l'avaient compris, eu qui s'étaient tournés des idoles vers Dieu, pour, à la fois, le servir et attendre le retour du Seigneur. Leur amour pour Dieu était à l'origine aussi bien de leur service que de leur attente (1 Thessaloniciens 1 : 9-10). Ils étaient devenus imitateurs de Paul et du Seigneur, c'est-à-dire qu'ils déployaient un grand zèle pour annoncer l'Évangile. Si nous aimons le Seigneur, nous n'avons pas besoin de regarder aux événements, pourtant si éloquents, pour savoir que son retour est proche (Apocalypse 20 : 22). Si nous sommes imitateurs de Dieu, nous voulons aussi que « tous les hommes soient sauvés et qu'ils viennent à la connaissance de la vérité » (1 Timothée 2 : 4). Si nous sommes imitateurs de Paul, « nous vous supplions donc pour l'amour de Christ de vous réconcilier avec Dieu ! » (2 Corinthiens 5 : 20). Croyez-vous qu'il soit alors encore possible de s'endormir ? Sommes-nous endormis ? Réveillons-nous, et comme les vierges sages qui avaient de l'huile, ranimons nos lampes, comportons-nous comme des enfants de lumière, soyons des porteurs de lumière dans le monde, présentons la parole de vie. Commençons par briller ainsi dans notre entourage immédiat ; encourageons nos frères et sœurs à se réveiller avec nous ; soutenons-nous les uns les autres dans ce travail d'amour ; prions pour que ce travail en commun donne à l'affection fraternelle beaucoup d'occasions de se manifester et de se renforcer. Quelle joie pour le Seigneur si, à la veille de son retour, ses rachetés se réveillent par amour pour lui et l'attendent en le servant fidèlement !
 


samedi 17 octobre 2015

Le devoir de vigilance du soldat de Christ

Passages à lire : Apocalypse 3 : 3 - Marc 14 : 38 - Habakuk 2 : 1 - Nahum 2 : 1
 
Spirituellement, chaque chrétien doit être sur ses gardes et prompt à réagir en toutes circonstances. Nous devons observer ce qui nous entoure, être alertes face au danger et être prêts à y répondre. « Veillez, soyez fermes dans la foi, agissez courageusement, fortifiez-vous. Que toutes vos affaires se fassent avec charité » (1 Corinthiens 16 : 13-14). Nous devons protéger notre âme et notre esprit contre l'erreur, l'égoïsme, l'indifférence et, tant que faire se peut, contre le péché. Nous devons garder le contact avec les gens autour de nous, mais nous devons rester vigilants afin de ne pas être entraîner dans leurs turpitudes. Nous devons aider les gens, mais nous devons aussi les enseigner en leurs parlant du plan de salut de Dieu, et tenter de les influencer à mener une vie plus droite, plus conforme aux préceptes de la Parole de Dieu. Nous avons le devoir individuel de nous prémunir contre n'importe quel approche de l'ennemi, n'importe quel danger spirituel, n'importe quel corruption morale ou compromis infâme avec l'adversaire. « Soyez sobres et veillez : car le diable, votre adversaire, tourne autour de vous comme un lion rugissant, cherchant qui il pourra dévorer. Résistez-lui donc en demeurant fermes dans la foi, sachant que les mêmes souffrances s'accomplissent dans la compagnie de vos frères qui sont dans le monde » (1 Pierre 5 : 8-9). Nous ne portons pas de fusil dans l'armée du Christ, mais nous sommes armés de l'épée de l'Esprit, qui est la Parole de Dieu, la Bible (Éphésiens 6 : 17). Nous n'avons pas de lieutenants terrestres à qui obéir, mais nous avons le capitaine de notre salut, Jésus-Christ, à qui nous devons obéissance aveugle et respect total (Hébreux 2 : 10). « Ne dormons donc pas comme les autres, mais veillons et soyons sobres. Car ceux qui dorment, dorment la nuit, et ceux qui s'enivrent, s'enivrent la nuit. Mais nous qui sommes enfants du jour, soyons sobres, ayant revêtu la cuirasse de la foi et de la charité, et ayant pour casque l'espérance du salut. Car Dieu ne nous a pas destinés à la colère, mais à l'acquisition du salut par notre Seigneur Jésus-Christ, qui est mort pour nous, afin que soit que nous veillons, soit que nous dormions, nous vivions avec lui » (1 Thessaloniciens 5 : 6 à 10).
 
 
(Pascal Cusson)