samedi 12 décembre 2015

Marquer des buts : le but d'une vie ?

Car là où est votre trésor, là aussi sera votre cœur.
Luc 12 : 34 (BJC)
Tous les quatre ans, le mondial de football enflamme le monde sportif. On estime qu'un milliard de la population du globe a pris part, en 2010, à cet événement ultra-médiatisé. Et que d'enfants se prennent à rêver d'un avenir aussi glorieux que leurs idoles du ballon rond ! Célébrité, richesse, honneurs sont assurés pour les footballeurs des équipes gagnantes. Pourtant, marquer des buts n'est pas l'essentiel dans la vie de certains d'entre eux. Argent et gloire n'ont pas réussi à combler leurs aspirations profondes :
- Wynton Rufer, néo-zélandais, '' le footballeur océanien du siècle '' : « Ce sport a littéralement été ma religion et Pelé était mon dieu. Entre-temps, la Bible est devenue mon livre de chevet. Elle m'a ouvert la porte du ciel et donné accès à l'amour inconditionnel de Dieu ».
- Nicola Legrottaglie, italien, défenseur de la Juventus : « En Janvier 2006, j'ai rencontré une personne qui a totalement transformé ma vie : Jésus Christ. Désormais je règle ma vie sur les directives de la Bible, la Parole de Dieu. J'ai enfin compris qu'il est vital d'entretenir une relation personnelle avec Jésus ».
- Cacau, international allemand d'origine brésilienne : « À quoi te sert-il de marquer un but devant 70 000 spectateurs, si tu n'as pas la vie éternelle ? »
- Zé Roberto, international brésilien, club de Hambourg : « Ma décision de confier ma vie à Jésus est devenue plus importante que ma passion pour le football. Me savoir aimé de Dieu me donne la force de faire face à toutes les situations. »

(La Bonne Semence)

La véritable origine de Noel (partie 2)

Origine païenne


En 1990, la commission scolaire de Solon, (banlieue de Cleveland) en Ohio, a interdit les représentations de la nativité ou de Noël sous prétexte qu’elles violaient le principe de la séparation de l’Église et l’État. Les parents, outragés par leur décision, traînèrent la commission devant les tribunaux. Ces personnes se sentaient lésées car, disaient-elles, on volait le Noël qui appartenait à leurs enfants et à la communauté. La Commission perdit sa cause ! Les citoyens avaient plaidé que Noël était une tradition universelle qui ne faisait partie d’aucune religion car elle la transcendait. On jugea que c’était une fête séculière qui faisait partie de toutes les cultures à travers le monde. La décision de la Cour stipulait que Noël n’avait aucune racine chrétienne ! Par contre, selon l’opinion de la Cour, la lecture de la Bible et la prière étaient évidemment associées au christianisme — une admission toute à fait remarquable ! La Cour conclut que l’observance de Noël et les scènes de nativité pouvaient continuer car elles ne faisaient pas partie réellement du christianisme ni de la religion — mais que la prière et la lecture de la Bible, qui elles sont « religieuses » devaient demeurées exclues des écoles. Pratiquement tout dans la célébration de Noël a ses racines dans les coutumes et la religion romaines. Lisez ce qu’en a dit un important journal américain (The Buffalo News, 22 novembre 1984) : « :La référence la plus ancienne à la célébration de Noël un 25 décembre, est datée du second siècle après la naissance de Jésus-Christ. On croit que les premières célébrations de Noël se tinrent en réaction aux saturnales romaines, un festival des moissons à l’occasion du solstice d’hiver —le retour du Soleil — et pour honorer Saturne, le dieu des semailles. Les saturnales étaient une période plutôt chahuteuse à laquelle s’opposaient fermement les chefs austères de la secte chrétienne encore minoritaire de l’époque. La fête de Noël, dit un érudit, a pris de l’ampleur parce qu’elle servit à remplacer l’adoration du soleil (sun) par l’adoration du Fils (Son). En 529 ap. J.-C.., après que le christianisme fut devenu la religion d’état, l’empereur Justinien fit de Noël une fête officielle. La célébration de celle-ci atteint son summum — certains diront son point le plus bas — pendant la période médiévale lorsqu’elle devint une période de consommation incontrôlée et de festivités encore inégalées. » Considérez ces citations tirées de l’Encyclopédie catholique, édition 1911, sous la rubrique « Noël ». « Noël n’était pas une des premières fêtes de l’Église…les premières preuves de son existence proviennent d’Égypte. » De plus, « Les coutumes païennes de la période des calendes de janvier se déplacèrent vers Noël. » Sous le titre « jour de la nativité », Origène, un des premiers écrivains catholiques admet. : « …Dans les Écritures, on ne voit personne fêter ou tenir un grand banquet le jour de son anniversaire. Ce ne sont que les pécheurs (comme Pharaon et Hérode) qui tiennent de grandes réjouissances l’anniversaire du jour où ils sont nés dans ce monde » (Partout c’est nous qui traduisons et qui soulignons).
L’Encyclopédie Americana, édition 1956, ajoute : « Noël… ne fut pas observée pendant les premiers siècles puisque l’usage était, en général, de célébrer la mort de personnes importantes plutôt que leur naissance…une fête fut établie pour cet événement (la naissance du Christ) au quatrième siècle. Au cinquième siècle l’Église de l’Ouest ordonna que la fête soit célébrée perpétuellement le jour des rites mithriaques de la naissance du Soleil ainsi qu’à la fin des saturnales, puisqu’il n’y avait aucune certitude quant à la date exacte de la naissance du Christ. » Impossible de faire erreur sur l’origine moderne de la célébration de Noël. Nous pourrions citer plusieurs autres sources. Nous y reviendrons plus loin. Commençons par rattacher ensemble certains
faits. Cela a pris 300 ans avant que l’Église romaine observe Noël et ce n’est qu’au cinquième siècle qu’elle ne devint obligatoire dans tout l’empire en tant que festival officiel en l’honneur du « Christ ».