Passage à lire : 1 Thessaloniciens 4 : 13 à 18
Ô mort, où est ta victoire ? Ô mort, où est ton aiguillon ? 1 Corinthiens 15 : 55
En attendant à l'extérieur de l'unité des soins intensifs que l'état d'un être cher s'améliore, je me suis rappelé que la mort touche tout le monde : jeunes et vieux, hommes et femmes, riches et pauvres. Dans 1 Thessaloniciens 4, l'apôtre Paul console ceux qui pleurent la mort d'êtres chers. Il leur dit que leur chagrin excessif découle d'un manque d'information. Pleurer à cause d'une perte est bon, mais nous ne devons pas pleurer comme ceux qui sont sans espoir. Nous devons plutôt dépendre de trois certitudes quant à la mort. La première certitude est que l'âme ne meurt pas. L'âme des croyants décédés est avec le Seigneur (v.14). Ils ont quitté ce monde problématique, et ils sont « endormis par Jésus. » Deuxièmement, Jésus viendra chercher tous les croyants. Qu'un chrétien soit vivant sur la terre ou endormi dans la mort, Jésus reviendra chercher tous ses enfants. (v.16,17). Troisièmement, il y aura une joyeuse réunion. « Ensuite, ensemble enlevés avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur » (v.17). Ces certitudes consolent les croyants quand leurs amis et bien-aimés meurent. Même si nous sommes séparés d'eux pour un temps, nous nous renverrons dans la présence de notre Seigneur. - A.L. -
Pensée : Quand le soleil se couche dans un pays, il se lève dans un autre.