Ma parole n'est-elle pas comme un feu, dit l'Éternel, et comme un marteau qui brise la pierre ? Jérémie 23 : 29
Au cours d'une explication du chapitre 4 de la lettre de Paul aux Éphésiens, le récit authentique suivant a été donné par un ami chrétien : Un jeune homme entre un jour dans une salle de réunion où l'évangile est annoncé. Saisi d'une façon extraordinaire par le message de la grâce divine, il confesse ses péchés et reçoit la pleine certitude du pardon de Dieu. Il ressort complètement délivré, ayant trouvé la paix dans son âme. Le lendemain, il se rend comme d'habitude à la forge ou il travaille. Dès son arrivée, il prend son marteau et s'adresse à ses camarades : « Voyez, mes amis, mon cœur était aussi dur que cette enclume ». Puis, la frappant d'un coup violent, il ajoute : « Dieu a brisé ma volonté ! » Les jours suivants, il subit beaucoup de moqueries de la part des ouvriers non-croyants. Mais il continue à montrer une foi vivante et une joie paisible. Quand il doit quitter cet atelier pour un autre travail, un moqueur vient inscrire sur la porte de son armoire vide : '' Jésus est parti ! '' Quel témoignage rendu à la transformation complète du jeune homme ! Avant sa conversion, le cœur de ce jeune était, comme celui de ses camarades, dominé par l'incrédulité et rebelle à la volonté divine. Mais la Parole de Dieu n'est-elle pas '' comme un marteau qui brise la pierre '' ? Et sa conduite totalement changée a prouvé qu'il appartenait à un nouveau maître. Il est passé '' de la puissance de Satan à Dieu '' (Actes 26 : 18), il a '' revêtu le nouvel homme '', c'est-à-dire Christ (Éphésiens 4 : 24).