Passage à lire : Ésaïe 40 : 27 à 31
Ne savez-vous pas que quand on court dans la lice, tous courent bien, mais un seul remporte le prix ? Courez donc tellement que vous le remportiez. 1 Corinthiens 9 : 24
Une étude faite par ordinateur sur 5000 chevaux de course a révélé une manière de prédire si un jeune cheval va ou non devenir un bon coureur. Un professeur du Massachusetts Institute of Technology s'est servi d'ordinateurs et de caméras grande vitesse pour analyser la course d'un bon cheval. Il a ainsi découvert que les pattes d'un cheval rapide fonctionnent beaucoup comme les rayons d'une roue, c'est-à-dire que chaque patte touche le sol seulement quand une autre patte le quitte. Cela engendre l'efficacité maximale de l'effort et la vitesse. Dans l'Ancien Testament, Ésaïe parle de bien courir dans la course de la vie. Il dit que celui qui court le mieux, c'est celui qui apprend à se confier en l'Éternel. Ainsi, il ne gaspille pas d'énergie à essayer de faire les choses par lui-même, mais trouve dans le Seigneur sa force et son espérance. Dans le Nouveau Testament, la vie chrétienne est comparée à une course. L'apôtre Paul indique que ceux qui courent bien se démarquent par la maîtrise de soi et l'autodiscipline. L'auteur d'Hébreux dit : « Nous donc aussi, puisque nous sommes environnés d'une si grande nuée de témoins, rejetant tout fardeau, et le péché qui nous enveloppe si aisément, poursuivons constamment la course qui nous est proposée ...» (Hébreux 12 : 1). Voulez-vous remporter une couronne impérissable ? Alors, confiez-vous au Seigneur, pratiquez la maîtrise de soi et rejetez les fardeaux du péché, car ce sont là les secrets pour bien courir. - M.R.D. -
Pensée : Ceux qui se confient en l'Éternel courent sans le fardeau du péché.