lundi 21 décembre 2015

Avez-vous mis le comble à votre amour pour Jésus ?

Mais Jésus dit : « Laissez-la. Pourquoi lui faites-vous de la peine ? Elle a fait une bonne action à mon égard. Marc 14 : 6
Si l'amour humain ne peut pas emporter l'homme au-delà de lui-même, ce n'est pas de l'amour. Si l'amour est toujours discret, toujours raisonnable, toujours sensé et calculateur, jamais extravagant ni impétueux, ce n'est pas de l'amour. C'est peut-être de l'affection, ou un sentiment de tendresse, ce n'est pas de l'amour. M'est-il arrivé, par amour pour Dieu, d'être emporté, poussé à faire quelque chose, non par devoir, ni par nécessité, mais tout simplement pour lui témoigner mon amour ? La pensée m'est-elle venue que je puisse donner à Dieu des choses qui ont de la valeur à ses yeux ? Ou bien, est-ce que je rêve à la magnificence de la Rédemption, alors qu'il y a tant à faire ? Peut-être pas des choses sublimes ou colossales qu'on pourrait raconter avec émerveillement, mais des actions toutes simples et ordinaires, qui prouveront à Dieu que je suis à lui ? Ai-je donné au Seigneur Jésus la douce joie que Marie de Béthanie lui a procurée, ce jour-là ? Il semble parfois que Dieu aspire à recevoir, de notre part, des preuves d'un amour authentique. S'abandonner à Dieu vaut mieux que rechercher la sainteté personnelle qui nous amène à être hypnotisés par notre propre pureté. Dans la crainte d'offenser Dieu, nous sommes préoccupés par la manière dont nous marchons, parlons ou regardons. Or, l'amour parfait chasse toutes ces craintes ! Ne nous demandons plus si nous sommes utiles ou non. La question n'est pas d'être utile, mais d'avoir une valeur aux yeux de Dieu. Alors il se servira continuellement de nous, si nous savons nous abandonner à lui.

(Oswald Chambers)

La véritable origine de Noel (partie 11)

L’origine des couronnes, de la bûche et du gui

 
L’Encyclopedia Americana dit : « Le houx, le gui, la bûche de Noël…sont des vestiges de l’ère pré-chrétienne. » Autrement dit, du paganisme ! La bûche (de Noël) faisait partie d’un rite Teuton d’adoration de la nature. Le livre de Frederick J. Haskins ajoute : « Les autorités croient que l’utilisation des couronnes de Noël tire leur origine des coutumes païennes de décoration d’édifices et des endroits de culte pendant la fête qui se tenait pendant la même période que Noël. » L’Encyclopédie Britannique, sous la rubrique « Celastrales », révèle l’origine des couronnes : « Les païens d’Europe apportaient dans leurs demeures des gerbes, offrant ainsi aux êtres féériques des bois un refuge pendant la dure période hivernale. Pendant les saturnales, la fête hivernale romaine, des branches de houx étaient échangées en gage d’amitié. Les premiers chrétiens romains auraient apparemment utilisé le houx en tant que décoration pendant la période de Noël. » Il existe des douzaines de types de houx. Presque tous se présentent sous une variété mâle ou femelle comme la « Blue Prince et Blue Princess », ou la « Blue Boy et la Blue Girl » ou la « China Boy et China Girl ». Les plantes de houx femelles ne peuvent porter de fruits à moins qu’un plant mâle à proximité les ait pollenisées. Il est aisé de voir pourquoi la couronne de houx a été adoptée dans les rituels païens en tant que signe d’amitié et de FERTILITÉ ! Noël ne serait pas complet pour certains à moins d’échanger « un baiser sous le gui ». Cette coutume païenne allait de soi lors d’une nuit de festivités tenue dans un esprit d’ivrognerie. Tout comme aujourd’hui, les « baisers » étaient échangés au tout début des célébrations des saturnales, ou, de nos jours, de Noël. Je n’oublierai jamais l’obligation à laquelle j’étais tenu d’embrasser la mère de mes amis en entrant dans chacune de leur maison le jour de Noël. C’était la première chose que nous faisions. Je détestais cela, mais c’était quelque chose qu’il « fallait faire » !Le gui était supposé avoir des pouvoirs de guérison spéciaux pour ceux qui « s’amusaient » en dessous. L’Encyclopédie Britannique, sous la rubrique « Santalales » dit : Le gui européen est supposé avoir eu une signification rituelle spéciale lors des cérémonies druidiques et possède toujours, dans le folklore d’aujourd’hui, un statut particulier, en tant que gui de Noël, qui nous vient du temps des Anglo-Saxons ». Le gui est un parasite qui vit sur le chêne. (Rappelez-vous que les druides adoraient les bocages de chênes). Les anciens Celtes (associés aux druides) avaient pour habitude de donner du gui en tant que remède aux animaux stériles afin de les rendre fertiles. Sa signification en langue celte est toujours : « la plante qui guérit tout ». Tout comme le gui, les fruits de houx étaient considérés sacrés pour le dieu soleil. La « bûche du soleil » originelle (sun log) en est venue à être appelée la bûche de Noël (yule log) simplement parce que le mot « Yule » (bûche) signifie « roue », symbole païen qui depuis longtemps représente le soleil. Quelle que soit la culture, l’origine de la fête est la même. Seuls certains symboles diffèrent selon les cultures. Voici ce que dit l’Encyclopedia Universalis au sujet de Noël : « Fête solennelle de la naissance de Jésus-Christ, Noël est célébré le 25 décembre dans toutes les Églises chrétiennes depuis le IVe siècle. À cette époque, cette date était alors celle de la fête païenne du solstice d’hiver appelé « Naissance (en latin, Natale) du soleil », car celui-ci semble reprendre vie lorsque les jours s’allongent… ». (« Natale » est la racine du mot Noël).