Voici, je me tiens à la porte, et je frappe : si quelqu'un entend ma voix, et m'ouvre la porte, j'entrerai chez lui, et je souperai avec lui, et lui avec moi. Apocalypse 3 : 20
L'hôtellerie était-elle pleine ? Les parents de Jésus étaient-ils trop pauvres ? Ce qui est sûr, c'est qu'il n'y avait pas de place pour eux. À sa naissance, Jésus fut donc couché dans une crèche. Était-ce l'accueil que l'envoyé de Dieu aurait dû recevoir de la part des hommes ? Si autrefois Jésus n'a pas été reçu dans l'hôtellerie, aujourd'hui c'est dans notre cœur qu'il désire entrer. Avons-nous une place pour lui ? Voulons-nous le recevoir ? Le recevoir consiste simplement à croire en lui, à comprendre qu'il est mort à notre place, à l'aimer. Jésus a été crucifié pour subir le châtiment que nous méritions. Maintenant, il est vivant et, si nous le recevons, il vient habiter en nous par son Esprit. Chrétiens, interrogeons-nous. Quelle place Jésus a-t-il dans notre vie ? De quoi notre cœur est-il occupé, à quoi pensons-nous tout au long de la journée ? Si notre esprit est rempli de soucis, de pensées diverses, il n'y aura pas de place pour le Seigneur. Jésus est le don de Dieu. Prenons du temps pour l'accueillir, par la prière et en lisant la Bible. Jésus dit à Zachée : « Descends promptement : car il faut que je demeure aujourd'hui dans ta maison » (Luc 19:5). Vite, celui-ci descend et le reçoit avec joie. Il avait besoin de Jésus ; et nous ? Maintenant encore il pourrait nous dire : « Je veux loger chez toi ; fais-moi une place dans tous les domaines de ta vie : dans ton travail, dans tes loisirs... » Qu'allons-nous répondre ? Puissions-nous dire : « ...afin qu'il tienne le premier rang en toutes choses » (Colossiens 1 : 18).