lundi 4 mars 2013

Une ballade avec mon chien

Il me dirige. Psaume 23:2
 
Mon chien et moi aimons nous balader tôt le matin dans les bois. Il court devant moi tandis que je me promène, en méditant ou en priant. Je sais où nous allons; lui, n'en est pas certain. Je reste sur le sentier et il file devant, reniflant, explorant et faisant quelques incursions dans la forêt pour pourchasser des écureuils véritables ou imaginaires. Bien qu'il me devance, c'est moi qui dirige. De temps à autre, il regarde pour voir où je suis. Si j'ai fait demi-tour pour rentrer à la maison ou si j'ai emprunté un autre sentier, j'entends son pas lourd et sa respiration forte, tandis qu'il court pour me rattraper. Si je me cache derrière un buisson, il se précipite au dernier endroit où il m'a vu et finit par me retrouver. Puis, nous reprenons la route ensemble. C'est la même chose quand Dieu nous dirige. Il connaît le chemin parce qu'il l'a préparé. Mais parfois, nous ne le voyons plus, et alors nous faisons de notre mieux pour aller où il veut en suivant les directives de sa Parole. D'autres fois, on dirait qu'il se cache. Il n'avance peut-être pas aussi vite que nous aimerions, ou  bien nous désirerions qu'il ralentisse. De même que mon chien regarde continuellement où je suis, nous devons regarder Dieu et sa Parole à chaque moment important de notre vie, car nous devons dépendre de la direction de son Esprit. C'est à cela que j'ai pensé aujourd'hui en me baladant avec mon chien. - D.C.E. -
 
Pensée: Si vous voulez que Dieu vous conduise, soyez prêt à le suivre.

Le tribunal suprême

Car nous devons tous comparaître devant le tribunal du Christ. II Corinthiens 5:10

Tous, dit Paul, prédicateurs aussi bien qu'auditeurs, nous aurons à comparaître. Si vous apprenez dès maintenant à vivre dans la pure lumière du Christ, lorsque viendra le jugement, vous aurez la joie de constater ce que Dieu aura fait dans votre âme. Pensez sans cesse à ce tribunal du Christ. Marchez de votre mieux dans le chemin de la sainteté.
Mais si vous vous laissez aller à critiquer les autres, vous aurez beau être un saint, c'est l'esprit de Satan qui sera en vous. Il suffit d'un seul jugement de ce genre, et l'enfer envahit votre cour. Si vous vous êtes laissé aller à un jugement pareil, arrachez-le sans tarder, exposez-le au grand jour, dites à Dieu: "Mon Dieu, j'ai été coupable." Si vous ne le faites pas, vous vous endurcirez. Tout péché porte en lui sa propre punition, qui est l'endurcissement dans le péché. Au châtiment qui vient de Dieu s'ajoute ce renforcement du péché qui vient de lui-même, avec abondance. Ni vos efforts ni vos prières ne pourront vous arrêter sur la pente fatale: l'endurcissement vous aveugle, et vous ne sentez plus votre péché. Aucun pouvoir ne vous en délivrera, sinon l'entrée en vous du Saint-Esprit.

"Mais si nous marchons dans la lumière, comme lui-même est dans la lumière... Dans bien des cas, nous croyons marcher dans la lumière, alors que nous jugeons notre prochain selon nos propres vues. Le pire pharisaïsme aujourd'hui n'est pas l'hypocrisie, c'est l'inconscience qui perd pied, et n'est plus dans la réalité.
 
 
(Auteur inconnu)