Passage à lire : Apocalypse 3 : 14 à 22
Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu'un entend ma voix et m'ouvre la porte, j'entrerai chez lui, et je souperai avec lui, et lui avec moi. Apocalypse 3 : 20
Un couple âgé n'avait comme moyen de subsistance que le don hebdomadaire d'un homme de leur église. Un dimanche, l'église organisa une réunion spéciale dans l'après-midi. Le bienfaiteur du couple, qui demeurait assez loin, voulait demeurer dans la région pour la réunion de l'après-midi. Il dit donc au vieux couple : « Pourrais-je me joindre à vous pour dîner après la réunion de ce matin ? » Le couple pensa immédiatement à la demie miche de pain sec, au petit morceau de beurre et au petit carré de fromage qu'ils avaient dans leur placard et qui constituaient leurs seules vivres. Comment cet ami pourrait-il manger avec eux, se demandaient-ils ? Mais l'homme mit fin à leurs inquiétudes en ajoutant : « J'ai apporté un panier plein de bonnes choses et il y en aura suffisamment pour nous trois. » Lorsqu'ils arrivèrent à la pauvre petite maison, il déballa son panier. Les trois furent bientôt attablés devant du poulet frit, du jambon en tranche, du pain de ménage, du beurre de campagne et une tarte aux pommes. L'homme était non seulement venu dîner chez eux, mais il avait également apporté tout ce qu'il fallait pour le festin. Quelle belle illustration de la relation de Jésus avec nous ! Il désire avoir communion avec nous, et par sa puissance il nous donne tout ce dont nous avons besoin. Lorsque nous ouvrons la porte de notre cœur et que le Seigneur entre, nous avons le privilège de ''souper'' avec lui. Nous n'avons rien à offrir, mais il apporte toutes les richesses de sa grâce à notre pauvreté spirituelle. De quelle communion bénie nous jouissons quand Christ dresse sa table abondante devant nous et nous invite à souper avec lui ! - P.R.V. -
Pensée : La grâce, c'est tout pour rien pour ceux qui ne méritent rien.
(Le Pain Quotidien)
(Le Pain Quotidien)