L'arrogance précède la ruine, et l'orgueil précède la chute. Proverbes 16 : 18
L'homme et ses limites
La projection d'un film à grand succès a remis en mémoire la naufrage le plus populaire de tous les temps, celui du Titanic. Représentons-nous ce prestigieux paquebot réputé insubmersible, au point qu'un nombre insuffisant d'embarcations de sauvetage avait été prévu et que des diamantaires avaient confié au Titanic le transport de fabuleux trésors. Ses puissantes chaudières lui permettaient de battre des records de vitesse. Sécurité, mais aussi confort : luxueux appartements privés, salons, salle de concert un vrai palais flottant ! La première traversée (Angleterre-Amérique) s'annonçait triomphale. Le départ resta fixé au 10 avril 1912, malgré une mise en garde contre le danger d'icebergs. Deux mille deux cents personnes se trouvaient à bord, parmi lesquelles de nombreuses célébrités. La compagnie s'attacha à en faire une fête continuelle. La soirée du 14 s'achève dans l'euphorie. LA mer est calme, glaciale, à moins un degré. Soudain la vigie sonne trois fois la cloche d'alarme et hurle : « Iceberg droit devant ! » On tente une manœuvre désespérée. Trop tard ! Le navire est légèrement secoué, « comme si un doigt géant avait frotté ;a coque tout du long », dira un rescapé. Après quelques instants de surprise, le navire continue de filer majestueusement la fête reprend, tandis que l'eau s'engouffre dans le bateau à la cadence de cinq tonnes par seconde.
En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m'a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie. Jean 5 : 24
Une dure leçon d'humilité
Minuit cinq : le capitaine Edward Smith se rend à l'évidence : l'impossible s'est produit, le Titanic sombre ! Il ordonne le rassemblement des passagers sur le pont. Une heure moins le quart : on met à l'eau la première chaloupe, à moitié remplie seulement, car les passagers ne croient pas encore au naufrage. Mais le drame se précise et les scènes de séparation sont indescriptibles! Deux heures dis : un violoniste joue ce cantique : « Mon Dieu, plus près de toi...». Déjà le Titanic dresse sa proue en l'air. Puis il se brise par le milieu. Dix minutes après, il disparaît les cris de mille cinq cents personnes s'éteignent! Leur détresse ! Leur détresse nous bouleverse encore aujourd'hui. L'homme, intelligent, sage, fort, imagine qu'il n'y a pas de limite au développement de ses capacités. Ne saura-t-il pas résoudre lui-même toutes ses difficultés ? De fait, c'est à Dieu qu'il lance ses défis, bien plus qu'à la nature. Alors Dieu rappelle qu'il est Dieu, lui seul, présent, vivant, puissant, dominant tout. Il le dit dans la Bible. Dans les circonstances, heureuses ou malheureuses, il n'y a ni chance, ni hasard, ni fatalité le Dieu souverain intervient. Prenons garde à ses avertissements ils n'accordent pas toujours un délai de deux heures et demie ! Dieu dit : « C'est pourquoi, vous aussi, tenez-vous prêts, car le Fils de l'homme viendra à l'heure où vous n'y penserez pas » (Matthieu 24 : 44).
(La Bonne Semence)
L'homme et ses limites
La projection d'un film à grand succès a remis en mémoire la naufrage le plus populaire de tous les temps, celui du Titanic. Représentons-nous ce prestigieux paquebot réputé insubmersible, au point qu'un nombre insuffisant d'embarcations de sauvetage avait été prévu et que des diamantaires avaient confié au Titanic le transport de fabuleux trésors. Ses puissantes chaudières lui permettaient de battre des records de vitesse. Sécurité, mais aussi confort : luxueux appartements privés, salons, salle de concert un vrai palais flottant ! La première traversée (Angleterre-Amérique) s'annonçait triomphale. Le départ resta fixé au 10 avril 1912, malgré une mise en garde contre le danger d'icebergs. Deux mille deux cents personnes se trouvaient à bord, parmi lesquelles de nombreuses célébrités. La compagnie s'attacha à en faire une fête continuelle. La soirée du 14 s'achève dans l'euphorie. LA mer est calme, glaciale, à moins un degré. Soudain la vigie sonne trois fois la cloche d'alarme et hurle : « Iceberg droit devant ! » On tente une manœuvre désespérée. Trop tard ! Le navire est légèrement secoué, « comme si un doigt géant avait frotté ;a coque tout du long », dira un rescapé. Après quelques instants de surprise, le navire continue de filer majestueusement la fête reprend, tandis que l'eau s'engouffre dans le bateau à la cadence de cinq tonnes par seconde.
En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m'a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie. Jean 5 : 24
Une dure leçon d'humilité
Minuit cinq : le capitaine Edward Smith se rend à l'évidence : l'impossible s'est produit, le Titanic sombre ! Il ordonne le rassemblement des passagers sur le pont. Une heure moins le quart : on met à l'eau la première chaloupe, à moitié remplie seulement, car les passagers ne croient pas encore au naufrage. Mais le drame se précise et les scènes de séparation sont indescriptibles! Deux heures dis : un violoniste joue ce cantique : « Mon Dieu, plus près de toi...». Déjà le Titanic dresse sa proue en l'air. Puis il se brise par le milieu. Dix minutes après, il disparaît les cris de mille cinq cents personnes s'éteignent! Leur détresse ! Leur détresse nous bouleverse encore aujourd'hui. L'homme, intelligent, sage, fort, imagine qu'il n'y a pas de limite au développement de ses capacités. Ne saura-t-il pas résoudre lui-même toutes ses difficultés ? De fait, c'est à Dieu qu'il lance ses défis, bien plus qu'à la nature. Alors Dieu rappelle qu'il est Dieu, lui seul, présent, vivant, puissant, dominant tout. Il le dit dans la Bible. Dans les circonstances, heureuses ou malheureuses, il n'y a ni chance, ni hasard, ni fatalité le Dieu souverain intervient. Prenons garde à ses avertissements ils n'accordent pas toujours un délai de deux heures et demie ! Dieu dit : « C'est pourquoi, vous aussi, tenez-vous prêts, car le Fils de l'homme viendra à l'heure où vous n'y penserez pas » (Matthieu 24 : 44).
(La Bonne Semence)