mardi 15 septembre 2015

10 règles pour une journée heureuse

Mais nous qui sommes enfants du jour, soyons sobres, ayant revêtu la cuirasse de la foi et de la charité, et ayant pour casque l'espérance du salut. 1 Thessaloniciens 5 : 8
 
1
Aujourd'hui, je ne rétorquerai pas. Si quelqu'un est bête, si quelqu'un est impatient, si quelqu'un est méchant, je ne répondrai pas de la même manière.
 
2
Aujourd'hui, je vais demander à Dieu de bénir mes ennemis. Si je rencontre quelqu'un qui me traite de manière injuste ou durement, je demanderai tout de suite à Dieu de bénir cette personne. J'entends par ennemi, que ça peut être un membre de ma famille, un voisin, un travailleur ou même un étranger.
 
3
Aujourd'hui, je ferai attention à ce que je dirai. Je vais choisir et garder mes mots avec minutie, faisant attention de ne pas répandre de commérages.
 
4
Aujourd'hui, je ferai le pas extra. Je trouverai des manières d'aider et de partager les fardeaux d'autre personne.
 
5
Aujourd'hui, je vais pardonner. Je vais pardonner toute douleur ou blessures qui me seraient envoyées.
 
6
Aujourd'hui, je ferai quelque chose de gentil pour quelqu'un mais je ne le ferai pas discrètement. Je vais chercher à aider anonymement et bénir la vie de quelqu'un, ouvertement.
 
7
Aujourd'hui, je vais traiter les autres de la manière dont j'aimerais être traité. Je vais pratiquer la règle d'or '' Fais aux autres ce que tu veux qu'ils te fassent '' avec tous ceux que je rencontrerai.
 
8
Aujourd'hui, je remonterai le moral d'une personne découragée. Mon sourire, mes paroles, ma manière de m'exprimer et de supporter, peuvent faire la différence pour quelqu'un qui mène un combat dans sa vie.
 
9
Aujourd'hui, je prendrai soin de mon corps. Je mangerai moins, je ne mangerai que des bons aliments et je rendrai grâce à Dieu pour ce qu'il m'a donné, corps et aliments.
 
10
Aujourd'hui, je vais grandir spirituellement. Je passerai plus de temps dans la prière ainsi que dans la parole, dans un endroit tranquille, afin de pouvoir entendre la voix de Dieu !

lundi 14 septembre 2015

Les désirs de la chair et de l'Esprit

Passage à lire : Galates 5 : 16 à 23
 
Car la chair a des désirs contraires à ceux de l'Esprit, et l'Esprit en a des contraires à ceux de la chair ; et ils sont opposés entre eux, afin que vous ne fassiez pas ce que vous voudriez. Galates 5 : 17
 
En chaque cœur de croyant il y a combat constant entre la vieille nature et la nouvelle. La vieille nature est très active et ne perd aucune occasion pour utiliser ses armes de mort contre le nouveau-né de la grâce, tandis que d'autre part la nouvelle nature est toujours en train de veiller pour résister et détruire son ennemie. La grâce en nous utilise la prière, la foi, l'espérance, et l'amour pour chasser le mal. Elle prend toutes les armes de Dieu pour lutter vaillamment. Ces deux natures opposées ne cesseront jamais de se combattre aussi longtemps que nous serons dans ce monde. La bataille du chrétien dure toute sa vie. L'ennemi est si bien retranché au dedans de nous qu'il ne peut jamais être extirpé tant que nous sommes sur cette terre ; mais bien que nous soyons entourés de toutes part, et souvent dans un douloureux conflit, nous avons un secours tout puissant, Jésus Christ lui-même, le capitaine de notre salut, qui est toujours avec nous, et qui nous assure que nous serons bien plus que vainqueur par Lui. Avec une telle assistance le nouveau-né spirituel peut résister efficacement à son ennemi. Es-tu en train de combattre aujourd'hui contre Satan, le monde et la chair, tous ligués contre toi ? Ne sois pas découragé, effrayé. Lutte ! Car Dieu lui-même est avec toi ! Jehova nissi est ta bannière, et il vaincra, car qui peut abattre l'Omnipotence ? Lutte ! Regarde à Jésus et quelle que puisse être la durée et la sévérité du conflit, la victoire sera douce, et la récompense promise sera glorieuse. Va de force en force ! Lutte, bas-toi, et prie, foule aux pieds les puissances des ténèbres et gagne le bon combat.
 
 
(Charles Spurgeon)

dimanche 13 septembre 2015

Sommes-nous prêts ?

Et quand il fut arrivé en ce lieu-là, il leur dit : « Priez afin que vous ne tombiez pas en tentation ». Luc 22 : 40
 
Connaissez-vous cette chanson qui dit : Bientôt le Seigneur va venir ! Es-tu prêt ? Bientôt le ciel, il veut t'ouvrir ! Es-tu prêt ? Es-tu prêt ? Es-tu prêt pour l'éternité ? Es-tu prêt ? Es-tu prêt ? Le Seigneur t'a-t-il racheté ?
 
Ma question est donc celle-ci : Sommes-nous prêts ? Quand Jésus viendra, serons-nous dignes qu'il nous prenne par la main ? Quand il viendra, serons-nous prit en flagrant délit de péché ? Respectons-nous, tous les commandements de Dieu ? D'ailleurs, Est-ce que nous les connaissons pour pouvoir dire que nous les respectons ? Quand pourrons nous dire : Je suis prêt ! Ça y est ! Quand nous commettons un péché, aussi petit soit-il, pouvons-nous dire que nous sommes prêts ? L'adultère est un péché ; Jésus a dit : « Vous avez entendu qu'il a été dit aux anciens : Tu ne commettras pas d'adultère. Mais moi, je vous dis que quiconque regarde une femme pour la convoiter a déjà commis dans son cœur un adultère avec elle » (Matthieu 5 : 27-28) Sommes-nous prêts mes frères ? Dans cette phrase de Jésus, j'y ai découvert un message (entre les lignes) qui est adressé aux femmes, et qui est : « Femmes, habillez-vous et comportez-vous décemment, de manière à ce que vos frères ne vous regardent pas avec du désir ! » Êtes-vous prêtes mes sœurs ? Chacun d'entre nous doit se poser la question : Suis-je prêt ? Comportons-nous de manière humble ! Avant de voir son voisin comme pécheur, posons-nous la question : Suis-je prêt ? Avant de se voir supérieur à son prochain, posons-nous la question : Suis-je prêt ? Avant d'aller faire du prosélytisme (ce qui n'est pas convenable de faire bien-sûr), posons-nous la question : Suis-je prêt ? Avant de commettre un péché, ou même, pendant que nous le commettons, posons-nous la question : Suis-je prêt ? Je pense que vous avez compris mon message : Prions, prions, et prions encore notre Père qui est aux cieux afin de marcher dans ses voies constamment et pour toujours !!! Malgré notre chrétienté, notre peu de foi, nos prières, nous péchons encore ! Est-ce normal ? Non ! Cela parce que nous ne vivons pas pleinement notre foi ! Nous ne sommes pas à chaque instant en phase avec notre Dieu ! Il nous arrive de l'oublier, de quitter ses sentiers pour emprunter celui du péché ! Il nous arrive de faire passer notre volonté avant la sienne ! Et cela le rend triste ! Nous sommes chrétiens et cela ne devrait plus avoir lieu ! Prions-le à chaque instant de la journée, qu'il nous donne la force de résister à la tentation, mais aussi la faculté de reconnaître le péché ! Car il nous arrive aussi de pécher sans le savoir. Je ne vous montre pas du doigt en disant cela, car je suis aussi concerné malheureusement ! Faisons donc attention, car satan a trouvé un moyen simple de nous éloigner de notre Père céleste : Le péché. Et son arme fonctionne très bien car, lorsque nous péchons, nous oublions Dieu ! N'avez-vous pas remarqué cela ? Ou encore, quand nous péchons, nous entendons l'appel de Dieu qui nous dit : Arrêtes cela mon enfant ! Et nous, que faisons-nous ? Nous bouchons nos oreilles pour ne pas entendre son cri d'amour. Mais heureusement, nous avons une arme beaucoup plus puissante que toutes les autres armes : Le nom de Jésus ! Quel conseil Jésus donna-t-il à ses disciples ? (Luc 22 : 40). Que dit-il encore : « Et tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin que le Père soit glorifié dans le Fils. Si vous demandez en mon nom quelque chose, je le ferai (Jean 14 : 13-14).
 
« Or la loi est intervenue afin que l'offense abonde, mais là où le péché a abondé, la grâce a surabondé, afin que, comme le péché a régné par la mort, ainsi la grâce règne par la justice pour conduire à la vie éternelle, par Jésus-Christ, notre Seigneur » (Romains 5 : 20-21).
 
 
Soyons prêt ! Alléluia !
 


Revenez au lieu secret !

Mais toi, quand tu pries, entre dans ta chambre, et ayant fermé ta porte, prie ton Père, qui est là dans ce lieu secret ; et ton Père, qui te voit dans ce lieu secret, te récompensera publiquement. Matthieu 6 : 6
 
Tout dans votre vie conspirera à vous tenir éloigné du '' lieu secret ''. Et chaque fois que vous succomberez, vous commencerez à échouer dans d'autres domaines. Pourquoi la lutte est-elle si dure me demanderez-vous ? Parce que le lieu secret est l'endroit où vous rencontrez Dieu chaque jour pour y être instruit, corrigé, purifié, aimé, édifié et préparé pour l'avenir. Cela peut être n'importe où, mais au moins quelque part ! Cela peut être à n'importe quel moment, mais ce doit être un moment précis. Cela doit devenir le rendez-vous le plus important de votre journée. Jésus est votre exemple : Il se levait souvent à l'aube pour prier, parce qu'il savait ce qui l'attendait. Ce qu'il recevait le matin lui permettrait de tout donner de lui-même, le reste de la journée. Si vous ne passez pas de temps dans le lieu secret, qu'aurez-vous à donner le reste de la journée ? Vous travaillerez de plus en plus dur, vous accomplirez de moins en moins parce que vous ne travaillerez qu'avec vos propres forces. Mais après avoir prié, vous combattrez de moins en moins et accomplirez de plus en plus, parce que votre travail sera avec sa force à Lui. Ne soyez pas tant occupé dans l'œuvre du Seigneur pour en négliger le Seigneur de cette œuvre. Rien ne peut naître sans intimité. Tout ce dont vous avez besoin se trouve dans la présence de Dieu. Y êtes-vous ?

La crainte de l'Éternel

La crainte de l'Éternel c'est la haine du mal. Proverbe 8 : 13 a
 
La crainte de l'Éternel est une source de vie pour se détourner des pièges de la mort. Proverbe 14 : 27
 
La crainte de l'Éternel conduit à la vie, et celui qui l'a, passe la nuit étant rassasié, sans qu'il soit visité par aucun mal. Proverbe 19 : 23
 
Perdre la crainte de l'Éternel crée en nous la perte de la crainte du péché... Quand nous perdons la crainte du péché, nous pouvons vivre en rébellion contre Dieu et sans apparemment en avoir conscience ! Nos yeux ne discernent plus les pièges de l'ennemi, tout n'est plus noir '' ténèbres '' ou blanc '' lumière '' mais des tons de gris s'infiltrent, tout autant que la tiédeur... La flamme n'est plus aussi apparente, brûlante de zèle, d'amour, de projets pour Dieu... Tout doucement l'amour du monde, la convoitise de la chair et le compromis s'infiltrent inexorablement. l'ennemi alors applique de la boue (provenant tout droit de l'enfer) sur nos yeux, notre bouche, nos mains et même nos pensées. Que regardes-tu, que dis-tu, que fais-tu ou que penses-tu en secret qui attriste l'Esprit saint ? Tu t'es laissée entraîner par les tentations de ce monde ! Reviens ! Laisse ton cœur se saturer de la divine crainte de l'Éternel, demande à ton Père de la déposer en ton cœur repenti. Il le fera car c'est lui qui crée en toi le vouloir et le faire. Tout comme David, adresse-lui cette prière : « Éternel, enseigne-moi tes voies et je marcherai dans ta vérité ; lie mon cœur à la crainte de ton nom » (Psaume 86 : 11). Ne perdons pas la crainte du Seigneur, car ça pourrait être notre perte à jamais. Il est facile de tomber, mais il est difficile de revenir !
 
(auteur inconnu)

mercredi 9 septembre 2015

Moi, j'ai le Christ

Mais Simon-Pierre lui répondit : « Seigneur ! auprès de qui nous en irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle : et nous avons cru, et nous avons connu que tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant. Jean 6 : 68-69
Il y a quelques années, une chrétienne faisait la traversée en bateau de Bristol à Cardiff, au pays de Galles. Selon son habitude, elle distribuait quelques tracts bibliques aux passagers. L'un d'eux, un ecclésiastique, refusa son offre avec ces mots : « Je vous remercie, mais moi, j'ai ma religion ». La dame lui répondit aimablement : « Moi, j'ai le Christ ». Deux ans après, la jeune femme, faisant le même trajet, rencontra à nouveau cet homme qui la reconnut aussitôt et lui dit : « Vous souvenez-vous que vous m'avez offert un tract il y a quelque temps, et le court échange que nous avons eu ce jour-là ? » « Oui, je m'en souviens » dit-elle. « Et bien ! répondit-il, votre réponse ne m'a laissé aucun repos jusqu'à ce que, par la grâce de Dieu, je puisse dire sincèrement : Moi aussi, j'ai maintenant le Christ dans ma vie. Je suis heureux de pouvoir vous le dire. » Il avait reconnu en Jésus le Sauveur et Maître dont il avait personnellement besoin. Il avait trouvé une merveilleuse paix alors que la stricte observation de sa religion n'avait pas satisfait les besoins de son cœur. La rédemption et la paix avec Dieu sont des dons de grâce, qui ne peuvent être obtenus que par la foi en Jésus Christ, mort pour des pêcheurs et ressuscité. Cette démarche personnelle, l'avez-vous faite ?

(La Bonne Semence)

mardi 8 septembre 2015

Ta foi est grande

Passage à lire : Matthieu 15 : 21 à 28
Alors Jésus répondant, lui dit : « Ô femme ! Ta foi est grande. Qu'il te soit fait comme tu le souhaites. ET, à l'heure même, sa fille fut guérie. Matthieu 15 : 28
Le silence de Jésus n'est pas dû à un manque de compassion, sa réponse à la fin du récit le prouve. Mais il veut faire briller la foi de cette femme et montrer à ses disciples que son amour à lui dépasse les limites d'Israël. Alors Jésus engage un dialogue avec cette étrangère qui le reconnaît comme Seigneur. Remarquons l'humilité et l'intelligence de cette mère. Elle ne se laisse pas décourager par un refus qui paraît méprisant. Sa foi vivante passe par-dessus cet obstacle et lui inspire ses réponses. Jésus ne lui adresse aucun reproche et ne juge son attitude ni impertinente, ni trop audacieuse. Au contraire, il apprécie la hardiesse de sa foi et il l'en félicite. Avant même de le constater, elle sait que sa fille est guérie. « Or la foi rend présentes les choses qu'on espère, et elle est une démonstration de celles qu'on ne voit pas » (Hébreux 11 : 1). Souvenons-nous de son exemple. Un silence apparent peut être la préparation d'une réponse divine inespérée. Le Seigneur répond à nos attentes les plus vives, mais à son heure.

(La Bonne Semence)

lundi 7 septembre 2015

Une lettre de Dieu

Passage à lire : 2 Timothée 3 : 14 à 17
J'écouterai ce que dira le Dieu Fort, l'Éternel. Psaume 85 : 8 (David Martin)
Pour retirer la plus grande aide possible de la Bible, nous devons la recevoir comme une lettre que Dieu nous adresse. Si nous appliquons sa Parole à notre vie, en nous attendant à ce que le Saint-Esprit nous corrige, nous guide et nous encourage, elle réchauffera notre cœur et renouvellera notre amour pour Dieu. John Bunyan a écrit '' Le voyage du pèlerin '', son allégorie immortelle, avoir maîtrisé les Écritures et ressenti que Dieu lui avait parlé à maintes et maintes reprises pas ce livre. Il a dit : « Même si vous n'avez pas de commentaire sous la main, continuez cependant à lire la Parole et prier; car une toute petite chose venant de Dieu est préférable à de grandes reçues des hommes. Un trop grand nombre de personnes se contentent d'écouter ce qui sort des lèvres des hommes, sans vraiment s'agenouiller devant Dieu pour connaître la vraie vérité. Ce que nous recevons directement de Dieu par l'étude de sa Parole provient de la '' chambre des trésors ''. Même les anciennes vérités sont nouvelles si elles nous arrivent avec l'odeur du ciel. » La Bible exprime ce que Dieu désire pour ses enfants. Nous sommes nés de la Parole (1 Pierre 1 : 23), nous grandissons par elle (1 Pierre 2 : 2), nous sommes purifiés par elle (Jean 15 : 3), éclairés par elle (Psaume 119 : 105) et rassasiés par elle (Psaume 119 : 103). Tout ce que notre Père céleste nous dit dans sa Parole se rapporte finalement à son Fils unique, le Seigneur Jésus, que l'Esprit de Dieu nous révèle. Consultons chaque jour cette merveilleuse '' lettre d'amour '', en priant avec un cœur ouvert : « J'écouterai ce que dira le Dieu Fort, l'Éternel. » - H.G.B. -
Pensée : Aimer l'auteur de la Bible est la meilleure préparation pour l'étude de la Bible.

(Le Pain Quotidien)

dimanche 6 septembre 2015

L'Église subsiste encore

Passage à lire : 1 Corinthiens 12 : 12 à 20
Et je te dis aussi, que tu es Pierre, et sur cette pierre j'édifierai mon Église ; et les portes de l'enfer ne prévaudront point contre elle. Matthieu 16 : 18
L'Église, souvent appelée le corps de Christ, est constituée de tous ceux qui reçoivent Jésus-Christ comme leur Sauveur et Seigneur. Ce n'est donc ni une chapelle ni une cathédrale. C'est un corps vivant, un organisme. Cette vérité est illustrée par ce qui se passe en Roumanie. Les fonctionnaires essaient de faire fermer la Deuxième Église baptiste d'Oradea. Ils ont ordonné aux gens de quitter les lieux et leur ont interdit de s'y rassembler. Ils ont ensuite coupé l'électricité, l'eau et l'aqueduc. Le gouvernement va peut-être démolir maintenant l'édifice afin de procéder à '' un nouveau développement du quartier '', selon leurs propres paroles. Cela voudra-t-il dire que l'Église n'existera plus ? Absolument pas ! Pourquoi ? Simplement parce que l'Église, ce n'est pas l'édifice mais les membres qui se réunissent. En fait, le mot Église n'est jamais employé dans le Nouveau Testament pour désigner un édifice. C'est toujours le corps des croyants, peu importe où ils se rassemblent. L'histoire montre que les efforts les plus déterminés des ennemis de l'Église n'ont pas réussi à la détruire. Nous avons vu cela en notre propre siècle, en notre propre génération. Même s'il a été persécuté, le peuple de Dieu a continué d'adorer Christ dans toutes sortes d'endroits. Christ a promis que l'Église continuerait d'exister, parce qu'il en est lui-même le pierre principale (Matthieu 21 : 42). Même si on détruit l'édifice, l'Église continue d'exister. Les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle. - D.C.E. -
Pensée : L'Église, plantée par Dieu, ne peut pas être déracinée par l'homme !

(Le Pain Quotidien)

samedi 5 septembre 2015

Il comprend

Passage à lire : Hébreux 4 : 9 à 16
Car nous n'avons pas un souverain sacrificateur qui ne puisse avoir compassion de nos infirmités ; mais nous avons celui qui a été tenté comme nous, en toutes choses, excepté le péché. Hébreux 4 : 15
Un homme plaça devant sa maison une affiche qui disait : '' Chiots à vendre ''. Parmi ceux qui vinrent s'informer, il y avait un jeune garçon. « S'il-vous-plaît, Monsieur, dit-il, j'aimerais acheter l'un de vos petits chiens, s'ils ne coûtent pas trop cher. » « C'est 25 dollars, mon gars. » Le garçon sembla déçu. « Je n'ai que 2.50 $. Puis-je les voir quand même ? » « Bien sûr ! Nous pourrons peut-être trouver un compromis », répondit l'homme. Les yeux du garçon brillèrent à la vue des cinq petites boules de fourrure. « J'ai appris que l'un d'entre eux a une patte brisée », dit-il. « Oui, j'ai bien peur qu'il sera infirme toute sa vie. » « Alors c'est celui que je veux. Puis-je payer un peu à la fois ? » L'homme répondit : « Mais il boitera toujours. » En souriant bravement, le garçon releva l'une de ses jambes de pantalon, révélant ainsi un appareil orthopédique. « Je ne marche pas très bien moi non plus. » En regardant tendrement le petit chiot, il poursuivit en disant : « Je crois qu'il aura besoin de beaucoup d'amour et de soins. Ce fut le cas pour moi. Il n'est pas facile d'être handicapé. » « Tiens, prends-le, dit l'homme. Je sais que tu t'en occuperas bien. Et oublie l'argent. » C'est une touchante illustration de la compréhension que le Sauveur a de notre condition humaine. Christ sait tout à ce sujet, parce qu'il a vécu autrefois sur terre comme un homme. Ayant souffert lui-même, il peut pleinement s'identifier à nous. Sa compassion dépasse de loin toute mesure humaine. Jésus est touché par votre détresse et votre peine. Remettez-vous-en à ses soins. Ses bras d'amour vous envelopperont et vous feront traverser chaque épreuve et chaque douleur. - H.G.B. -
Pensée : Le cœur de Dieu est touché chaque fois que le cœur d'un de ses enfants est éprouvé.

(Le Pain Quotidien)

vendredi 4 septembre 2015

L'attrait de ce qui est interdit

Passage à lire : Genèse 2 : 15 à 17 et 3 : 1 à 6
La femme donc, voyant que le fruit de l'arbre était bon à manger, et qu'il était agréable à la vue, et que cet arbre était désirable pour donner de la science, en prit du fruit, et en mangea ; et elle en donna aussi à son mari qui était avec elle. Genèse 3 : 6
Une bonne d'enfants s'occupait d'un petit garçon. Lorsque celui-ci vit un beau vase en porcelaine dans une armoire, il voulut le prendre. La bonne l'en empêcha. Il se mit alors à crier, à hurler et à donner des coups de pied. Sa mère, en entendant ce tapage, vint voir quel était le problème. Prenant l'enfant dans ses bras, elle lui dit : « Que veux-tu, mon chéri ? » Il montra le vase du doigt, et sa mère le lui donna. Mais il n'était pas satisfait pour autant et se remit bientôt à pleurer. « Que veut maintenant mon petit chéri ? » demanda la mère. « Je veux... je veux, dit le garçon entre ses sanglots, je veux tout ce que je ne suis pas supposé avoir ! » Le désir d'avoir ce qui est interdit ne se limite pas aux enfants gâtés. C'est en chacun de nous le reflet d'une tendance qui remonte aux débuts de l'histoire de l'humanité. Le fruit de '' l'arbre de la connaissance du bien et du mal '' était interdit, et ce fait en rehaussait fort probablement l'attrait. En tant que chrétiens, lorsque nous essayons de vivre selon les principes bibliques, nous reconnaissons que nous devons rejeter un grand nombre d'habitudes et d'attitudes qui sont pourtant très répandues dans la société d'aujourd'hui. Mais cela rallume en fait la flamme du désir. Il est donc important que nous connaissions la volonté de Dieu, que nous puissions identifier les attraits du mal et que nous résistions à la tentation. « Au reste, mes frères, fortifiez-vous en notre Seigneur, et en la puissance de sa force. Soyez revêtus de toutes les armes de Dieu, afin que vous puissiez résister aux embûches du diable » (Éphésiens 6 : 10-11). Faites attention à l'attrait de ce qui est interdit ! - R.W.D. -
Pensée : Ne gardez pas un œil sur la tentation tout en priant de ne pas y céder.

(Le Pain Quotidien)

jeudi 3 septembre 2015

La paix qui surpasse toute intelligence

Ne vous inquiétez de rien ; mais en toutes choses présentez vos demandes à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. Et la paix de Dieu, laquelle surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos sentiments en Jésus-Christ. Philippiens 4 : 6-7
Chrétiens, nous sommes souvent exhortés à rester paisibles, malgré les difficultés. Nous nous y efforçons, et c'est une bonne attitude. Mais que dit le verset du jour ? La paix de Dieu gardera nos cœurs et nos pensées dans le Christ Jésus. Il n'est pas dit que nos cœurs garderont toujours cette paix mais que, lorsque nous aurons rejeté notre fardeau sur lui, par la prière, sa paix gardera nos cœurs. Dieu connaît à l'avance tout ce qui va nous arriver. Il n'est pas troublé par les événements qui surviennent. Ils font partie de ses plans, ils ne changent rien à son amour pour nous. Par grâce, nous bénéficions de ses tendres soins. Il nous écoute. Aussi, en toutes circonstances, au lieu de nous inquiéter et d'envisager le pire, présentons nos prières à Dieu en lui disant tout ce qui pèse sur notre cœur. Confiants en son amour parfait, nous pouvons lui adresser librement nos demandes : sa réponse sera toujours une réponse de grâce, même si elle n'est pas celle que nous attendons. Tenons ferme notre confiance : pour cela gardons présent à l'esprit que nous lui avons remis nos difficultés et croyons que lui-même est au-dessus de toutes les situations qui pourraient nous troubler. Nous réaliserons alors qu'il apaise notre cœur si lourd en nous communiquant sa paix '' qui surpasse toute intelligence ''. « C'est une délibération arrêtée, que tu conserveras la vraie paix : car on se confie en toi » (Ésaïe 26 : 3).

(La Bonne Semence)

mercredi 2 septembre 2015

Un abri sûr

Il ne permettra point que ton pied soit ébranlé : celui qui te garde, ne sommeillera point. L'Éternel est celui qui te garde, l'Éternel est ton ombre, il est à ta main droite.
Psaume 121 : 3 et 5
Des hirondelles avaient, dit-on, bâti leur nid dans la tente de l'empereur Charlemagne lors d'une campagne militaire. Au moment de lever le camp, celui-ci commanda qu'on laisse la tente en place jusqu'à ce que les oisillons soient en état de voler. Personne ne devait les toucher ni même leur faire peur. On est étonné de voir l'attention d'un chef de guerre à l'égard de ces oiseaux qui s'étaient réfugiés chez lui. On oublie peut-être que Dieu, bien plus puissant qu'un empereur, prend soin de toutes ses créatures, même des plus vulnérables, même des plus insignifiants aux yeux des hommes : « Le passereau même a bien trouvé sa maison, et l'hirondelle son nid, où elle a mis ses petits » (Psaume 84 : 3). Ne donne-t-on pas cinq petits passereaux pour deux pites ? et cependant un seul d'eux n'est point oublié devant Dieu. Tous les cheveux mêmes de votre tête sont comptés. Ne craignez donc point : vous valez mieux que beaucoup de passereaux (Luc 12 : 6-7). Il est Celui qui a pourvu à tout ce qui était nécessaire à l'homme avant de le placer sur la terre, celui qui l'a façonné de ses mains et qui connaît ses faiblesses, celui qui est descendu sur terre pour le rencontrer. Il nous a aimés, il a connu le rejet, la souffrance, jusqu'à donner sa vie pour nous. Ne prendrait-il pas soin de ceux qui se confient en lui ? Le roi David, une figure de Jésus Christ, disait à Abiathar venu se réfugier près de lui : « Demeure avec moi, ne crains point ; car celui qui cherche ma vie, cherche la tienne : certainement tu seras gardé avec moi » (1 Samuel 22 : 23). Quelle paix, quelle sérénité pour celui qui a placé sa confiance en Dieu et qui s'abandonne à ses tendres soins !

(La Bonne Semence)

mardi 1 septembre 2015

Suicide évité

Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous soulagerai. Matthieu 11 : 28
Cet ancien acteur américain était connu pour être un alcoolique invétéré. Il avait tenté plusieurs fois de se libérer de cette emprise ; il avait chaque fois rechuté et en était arrivé à la conclusion que toute délivrance était impossible. Désespéré, conscient du malheur qu'il avait semé autour de lui, auprès de sa femme et de ses deux filles, il décida un soir de se suicider. Avant d'appuyer sur la gâchette, il pensa à Dieu et se dit qu'il devait d'abord lui parler. Ce fut un long appel au secours. Dieu intervint, arrêta son geste et lui donna la force pour cesser de boire. Il découvert la puissance libératrice de Jésus Christ et la vie nouvelle qu'il donne. Que de circonstances tragiques et douloureuses peuvent faire sombrer dans le désespoir ! Accidents, catastrophes, maladies, deuils, déceptions, remords... la liste est longue. Des souffrances physiques, morales ou même simplement la peur de l'avenir peuvent ôter le goût de vivre. Mais Dieu, qui aime tous les hommes, peut donner un sens à notre existence. Nous avons tous besoin de l'amour de Dieu pour nous épanouir. « En ceci est manifestée la charité de Dieu envers nous : que Dieu a envoyé son Fils unique au monde, afin que nous vivions par lui » (1 Jean 4 : 9). La vie qu'il nous propose n'est pas sans difficultés, mais Jésus nous accompagne et sa présence nous donne la sérénité et le bonheur.

(La Bonne Semence)

dimanche 30 août 2015

Vieux mais toujours nouveau

Passage à lire : Jean 3 : 9 à 18
Car Dieu a tant aimé le monde, qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui, ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. Jean 3 : 16
Un homme âgé qui n'était jamais allé à l'école décida d'apprendre à lire. Son plus grand désir était de lire la Bible, afin que Dieu puisse lui parler par sa Parole. Mais il n'est pas facile d'apprendre à lire. Le simple fait de se familiariser avec l'alphabet est un dur labeur. Ce chrétien consacré persévéra pendant plusieurs années. Il put finalement lire, juste un petit peu au début, puis tout le Nouveau Testament. Quelques jours après avoir terminé le dernier livre de la Bible, il s'arrêta pour parler à un ami. Les yeux pleins de larmes, il dit : « Le simple fait de pouvoir lire Jean 3 : 16 valait bien tous ces efforts. » Pour la première fois, il pouvait enfin lire le livre inspiré. Quelle joie ! L'Évangile, même s'il a des centaines d'années, devrait toujours être nouveau pour chacun de nous. Si nous connaissons l'amour de Dieu par la foi personnelle en Jésus, nous dirons avec Catherine Hankey : « Parlez-moi de la vieille histoire de Jésus et de son amour. » Nous ne nous lasserons jamais de lire la plus merveilleuse histoire jamais contée. Nous avons besoin de renouveler chaque jour notre amour pour le Seigneur en communiant avec lui par la prière et en le laissant communiquer avec nous par sa Parole. Chaque fois que nous lirons l'histoire de sa naissance, de sa vie, de sa mort, de sa résurrection, de son ascension et de la promesse de son retour, nous le ferons avec une piété et un intérêt nouveaux. Nous n'entendrons jamais une phrase plus passionnante que celle-ci : « Dieu a tant aimé le monde ». C'est la bonne nouvelle qui ne vieillit jamais. - P.R.V. -
Pensée : Une Bible lue est le signe d'une âme bien nourrie.

(Le Pain Quotidien)

samedi 29 août 2015

Le mauvais Dieu

Passage à lire : Deutéronome 6 : 1 à 5
Tu aimeras donc l'Éternel, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme et de toutes tes forces. Deutéronome 6 : 5
Beaucoup de gens finissent mal parce qu'ils adorent les mauvais dieu. Certains sont méchants parce qu'ils ont fait du plaisir sensuel leur dieu. D'autres ont une vie plus décente, mais ils adorent également le mauvais dieu. Je me demande si c'était le cas d'un jeune fermier qui s'est suicidé après avoir échoué en agriculture. Je dis cela à cause d'un commentaire de son épouse. Elle a dit : « L'agriculture n'était pas seulement un travail pour Floyd. C'était son identité, sa nationalité, sa religion. Travailler la terre nous donnait à tous deux l'impression d'être en communion avec le Tout-Puissant. Mais les choses ont mal tourné et Floyd a attenté à ses jours. » Je suis touché par des gens comme Floyd. Ils ont une profonde appréciation du monde naturel créé par Dieu et sont prêts à travailler dur. Mais chaque fois qu'une occupation ou une chose temporelle prend la première place dans notre vie, elle devient alors notre dieu. L'apôtre Jean nous adressé l'exhortation suivante : « N'aimez point le monde, ni les choses qui sont au monde ; si quelqu'un aime le monde, l'amour du Père n'est point en lui. Car tout ce qui est au monde, c'est-à-dire, la convoitise de la chair, la convoitise des yeux, et l'orgueil de la vie, n'est point du Père, mais est du monde. (1 Jean 2 : 15-16). Cela s'applique à tout ce qui devient central dans notre vie. Si vous aimez une chose plus que le Dieu vivant et vrai révélé dans la Bible, vous adorez cette chose alors. Quoi que ce soit, cela ne durera pas. Et cela ne vous sera d'aucun secours lorsque vos plans s'écrouleront, que votre santé faiblira ou que la mort approchera. Seul le vrai Dieu peut vous aider à ce moment-là. Assurez-vous de l'aimer et de l'adorer, lui, le Seigneur, votre Dieu.
- H.V.L. -
Pensée : Le '' monde '', c'est tout ce qui refroidit votre ardeur pour Christ.

(Le Pain Quotidien)


vendredi 28 août 2015

Il peut être douloureux de se mettre en colère

Passage à lire : Genèse 4 : 1 à 8
Caïn fut fort irrité, et son visage fut abattu. Genèse 4 : 5
J'ai entendu dire que, si un serpent à sonnettes est pris au piège, il peut devenir si forcené qu'il se mordra lui-même accidentellement avec ses propres crocs mortels. De la même manière, lorsqu'une personne entretient de la haine et de la rancune dans son cœur, elle est souvent blessée par le poison de sa propre malice. En manifestant sa colère, elle s'imagine faire du tort à ses ennemis, mais c'est à elle-même qu'elle s'inflige le plus grand mal. La colère peut également nous amener à dire et à faire des choses que nous pouvons regretter amèrement. George W. Martin raconte l'histoire suivante : « Je me souviens d'un gars qui écrivit un jour une lettre déplaisante à son père. Puisque nous travaillions dans le même bureau, je lui conseillai de ne pas l'envoyer, parce qu'elle avait été écrite dans un mouvement de colère. Mais il la scella et me demanda de la mettre à la poste. Au lieu de cela, je la mis simplement dans ma poche et la gardai jusqu'au lendemain. Le matin suivant, il avait l'air très préoccupé lorsqu'il arriva au bureau. '' George, dit-il, je voudrais bien ne pas avoir envoyé cette lettre à mon père hier. Cela me blesse profondément, et je sais qu'il en aura le cœur brisé en la lisant. Je donnerais bien 50 dollars pour la récupérer ! '' Sortant l'enveloppe de ma poche, je la lui remis et lui expliquai ce que j'avais fait. Il était si content qu'il voulait me donner les 50 dollars ! » On ne gagne rien en laissant libre cours aux noires passions de la rancune et de la colère. Lorsque quelqu'un nous fait du trot, nous devons apprendre à pardonner et demander à Dieu de laisser l'amour de Christ remplir notre cœur. C'est la seule façon de ne pas être blessé par la rancune et la colère. - H.G.B. -
Pensée : Le pardon nous épargne les frais de la colère, le coût de la haine et un gaspillage d'énergie.

(La Pain Quotidien)

jeudi 27 août 2015

Qu'est-ce qui fait qu'un mariage fonctionne ?

Passage à lire : Éphésiens 5 : 22-23
Et outre tout cela, soyez revêtus de la charité, qui est le lien de la perfection. Colossiens 3 : 14
Une homme de 104 ans et sa femme de 96 ans ont récemment célébré leurs 80 ans de mariage. Elle s'était mariée à l'âge de 16 ans, et le mariage avait été arrangé par leurs familles. Ils ne s'étaient pas fréquentés : ils n'avaient donc pas eu la chance de '' tomber en amour '' selon les normes d'aujourd'hui. Tant de choses étaient contre eux. Ils ont cependant élevé cinq enfants, surmonté la Crise de 1929 et vécu jusqu'à une époque où presque la moitié des mariages se terminent par un divorce. Pourquoi tant de gens vivent-ils avec le regret de mariage brisés, de foyers brisés, de familles brisées et de promesses brisées ? C'est peut-être le temps de regarder à nouveau les valeurs qui font que les mariages fonctionnent, des valeurs comme la miséricorde, la bonté, l'humilité, la douceur, la patience, le pardon (Colossiens 3 : 12-13). Cela vous parait-il vieux jeu ? Peut-être, mais ça marche. Et ce sont les valeurs dont nous avons encore besoin. Seigneur, aide-nous à prendre conscience du coût terrible de se détourner de toi et de tes instructions. Par ton Esprit, attire-nous à toi et à ces valeurs éternelles qui font qu'un mariage fonctionne. - M.R.D. fils -
Pensée : L'amour durera si vous le gardez pur.

(Le Pain Quotidien)

mercredi 26 août 2015

Plus vite que le télégraphe

Passage à lire : Daniel 9 : 3 à 6 et 17 à 23
Et il arrivera qu'avant qu'ils crient, je les exaucerai ; et lorsque encore ils parleront, je les aurai déjà ouïs.
Ésaïe 65 : 24
Il y a de nombreuses années, l'installation de la première ligne de télégraphe dans les îles Shetland donna lieu à des réactions bizarres de la part des gens. Par exemple, au moment où quelqu'un regardait les ouvriers installer les fils sur les poteaux, un homme d'affaires lui dit : « Quelle merveille que cette nouvelle invention ! Lorsqu'elle sera installée, nous pourrons envoyer un message à plus de 300 km et recevoir une réponse en moins d'une heure ! » L'autre homme ne semblait pas impressionné. « Il n'y a rien de bien formidable dans tout cela », répondit-il. « Ah non ? Connaissez-vous quelque chose qui soit meilleur et plus rapide ? » demanda l'homme d'affaires. L'autre, qui était bien fondé dans les Écritures, pensa à Ésaïe 65 et répliqua : « Avez-vous déjà reçu une réponse avant même d'envoyer le message ? » L'homme sembla abasourdi et se dit que ce n'était qu'un commentaire dénué de sens. Il ne se rendait pas compte de la sagesse de cette réponse pertinente. Dieu lit dans notre cœur et connaît nos besoins. Souvent, lorsque nous sommes encore en train de parler, la bénédiction désirée est déjà en chemin. Un poète inconnu a écrit : « Avant que nous ne puissions énoncer nos désirs, sa puissance et son amour peuvent nous bénir ; à ceux qui prient, il accorde souvent plus que ce qu'ils peuvent exprimer. » Le prophète Daniel encore en train de présenter sa requête quand Gabriel quitta rapidement le trône de Dieu avec la réponse du ciel (Daniel 9 : 20 à 23). Oui, la prière monte vers Dieu plus rapidement que tout message télégraphique. Utilisons souvent cette rapide voie de communication ! - H.G.B. -
Pensée : L'aide de Dieu n'est qu'à une prière de distance.

(Le Pain Quotidien)

mardi 25 août 2015

Consolateurs

Passage à lire : Ésaïe 41 : 1 à 10
Chacun a aidé à son prochain, et a dit à son frère : Fortifie-toi. Ésaïe 41 : 6
Un officier naval britannique raconta comment il fut sauvé du déshonneur lors de sa première expérience au combat. Il était midshipman et n'avait même pas encore 20 ans. Le tir de l'ennemi était si terrifiant qu'il avait l'impression d'être sur le point de s'évanouir. C'est à ce moment-là qu'un officier vint à ses côtés, plaça son bras autour de lui et lui dit : « Courage, mon garçon. Tout ira bien. J'ai ressenti la même chose à mon premier combat. » Réfléchissant à ces paroles, le jeune homme dit plus tard : « C'était comme si un ange était venu me donner une force nouvelle. » À partir de ce moment, sa peur disparut et il fut aussi brave que l'officier le plus expérimenté. Cet encouragement était exactement ce dont il avait besoin. Même si la plupart des gens ne seront jamais dans des situations comme celle-ci, tous vivront des crises qui exigeront une force et un courage spéciaux. Dans ces moments-là, les gens apprécient un bras sur l'épaule, une tape dans le dos et une parole d'encouragement. Cela me fait penser aux paroles que Paul adressa aux autres passagers sur un vaisseau battu par la tempête, alors qu'ils avaient tous perdu l'espoir de s'en tirer. Il leur dit : « C'est pourquoi, ô hommes ! ayez bon courage : car j'ai cette confiance en Dieu, que la chose arrivera comme elle m'a été dite. » (Actes 27 : 25). Des personnes découragées et déçues croiseront peut-être notre route aujourd'hui. Par une parole d'encouragement, un compliment sincère ou une expression d'appréciation, soyons des consolateurs !
- R.W.D. -
Pensée : Un petit encouragement peut susciter un grand effort.

(Le Pain Quotidien)

lundi 24 août 2015

L'arithmétique du péché

Passage à lire : Romains 1 : 16 à 32
Car comme ils ne se sont pas souciés de connaître Dieu, aussi Dieu les a livrés à un esprit dépourvu de tout jugement, pour commettre des chose qui ne sont nullement convenables. Romains 1 : 28
En rendant visite à des prisonniers, je les au souvent vus hocher mélancoliquement la tête et dire : « Je n'aurais jamais pensé que cela finirait ainsi. » Ils m'ont dit que, lorsqu'ils ont commencé à enfreindre des lois peu importantes, ils avaient pleinement l'intention de changer leurs voies avant d'avoir de graves problèmes. Mais au lieu de cela, une chose les poussait à une autre, et ils ont ainsi été de plus en plus impliqués dans le crime. Ils languissent maintenant en prison, devant faire face à un long emprisonnement. Ce que ces hommes n'ont pas réalisé, c'est que le péché progresse toujours. Quand nous faisons fi des lois de Dieu dans un domaine de notre vie, une sorte de loi mathématique d'addition et de multiplication entre en jeu. D'autres aspects de notre vie en sont bientôt affectés. Il est insensé de penser que nous pouvons empêcher un seul péché de prendre de l'ampleur. Ce péché prendra de l'expansion et se répandra, à moins que vous ne vous en occupiez de façon radicale. C'est pourquoi Jésus a parlé de couper la main qui pèche et d'arracher l'œil qui commet des offenses (Matthieu 18 : 8-9). En employant une image aussi saisissante, il disait en fait de faire tout ce qui est nécessaire pour arrêter. Nous ne pouvons pas nous permettre de jouer avec le péché. À trois reprises dans le premier chapitre de Romains, Paul dit à propos des incroyants que « Dieu les a livrés » à leurs mauvaises voies. Autrement dit, il laisse la méchanceté suivre son cours jusqu'à ce que le jugement s'abatte et qu'il n'y ait plus d'issus. Si vous n'avez pas encore accepté Jésus comme votre Sauveur, vous pouvez éviter l'arithmétique inévitable du péché en mettant dès maintenant votre confiance en lui. Il s'additionnera ensuite à votre vie une puissance plus grande que celle du péché. - H.V.L. -
Pensée : Personne n'est devenu malfaisant tout d'un coup.

(Le Pain Quotidien)

dimanche 23 août 2015

Quelqu'un nous surveille-t-il ?

Passage à lire : Jérémie 32 : 16 à 25
Tu es grand en conseil et puissant en actions ; tes yeux sont ouverts sur toutes les voies des fils des hommes, pour rendre à chacun selon ses voies, et selon le fruit de ses œuvres. Jérémie 32 : 19
Dans certains États américains, les agents de probation peuvent garder la trace de criminels non-violents sans avoir à les emprisonner. Au moyen d'appareils de surveillance électronique, ils expérimentent une forme d'assignation à résidence. Un de ces systèmes consiste en un transmetteur électronique placé autour de la cheville du contrevenant. Une alarme est déclenchée si l'homme enfreint les règles de sa sentence en quittant la maison trop tôt le matin, en revenant trop tard ou en essayant de fausser le dispositif. Un contrevenant a dit : « Je n'ai pas l'impression d'être en prison, mais j'ai cependant l'impression d'être surveillé. » Dans un sens, c'est l'impression que nous devrions tous avoir. Que nous soyons en prison, dans la rue, au travail ou à la maison, nous sommes tous surveillés. Même lorsqu'il n'y a pas de voiture de police en vue ni de caméra dans un magasin, Dieu nous surveille constamment. Les yeux de l'Éternel sont sur nous. Aucune obscurité, aucun mur, aucune porte verrouillée ne peut l'empêcher d'être continuellement au courant de nos pensées, de nos motifs et de nos actes. Comment devrions-nous réagir à cela ? À la fois avec sérieux et grande confiance. Nous devrions nous consacrer à nouveau à tout faire pour la gloire de Dieu. Et nous devrions nous éloigner de tout ce qui jette du discrédit sur son nom. Mais ce qui est le plus important, c'est que nous devrions ressentir un profond sentiment de sécurité, parce que nous savons que le Dieu qui nous voit est aussi celui qui prend soin de nous. Seigneur, pardonne-nous de ne penser qu'à nous-mêmes. Aide-nous à vivre en étant conscients que tu nous surveilles. - M.R.D. fils -
Pensée : Gardez les yeux sur le Seigneur ; il ne détourne jamais les yeux de vous.

(Le Pain Quotidien)

samedi 22 août 2015

À chaque jour suffit sa peine

Ne vous inquiétez donc pas pour le lendemain ; car le lendemain prendra soin de lui-même. À chaque jour suffit sa peine. Matthieu 6 : 34
Le verset d'aujourd'hui n'est pas une excuse pour être imprévoyant. Il est tout à fait normal d'assumer nos responsabilités et de nous préparer pour le lendemain, depuis les volets à fermer pour se protéger de la tempête jusqu'aux devoirs scolaires à faire avec soin afin de réussir à l'examen. Il est juste d'envisager les problèmes qui peuvent survenir, de prévoir nos besoins ou de préparer ce qui va nous être demandé. Mais se faire du souci, c'est autre choses : c'est être préoccupé exagérément par le lendemain, par cette tempête qui risque d'arriver ou par cet examen ; c'est être inquiet en imaginant le pire. Le souci focalise nos pensées vers les événements et non vers Celui qui les contrôle. Il a ainsi des effets négatifs sur notre esprit et même sur notre corps. Il peut même nous paralyser, nous accabler. Mais l'ordre de Dieu est bien clair : Ne soyez pas en souci ! Nous avons un Père tout-puissant qui nous aime et qui a la haute main sur tout. Si nous avons des difficultés aujourd'hui, Dieu nous donne la force et ses directions pour les affronter aujourd'hui, mais il ne nous les donne pas à l'avance pour faire face aussi aux épreuves de demain. Pourquoi ? Si nous avions déjà la réponse, nous cesserions probablement de nous confier en lui demain. Il veille à entretenir en nous, jour après jour, cette foi si précieuse pour lui puisque sans elle il est impossible de lui plaire (Hébreux 11 : 6).

(La Bonne Semence)

vendredi 21 août 2015

Fidèle jusqu'à la mort

Sois fidèle jusqu'à la mort, et je te donnerai la couronne de vie. Apocalypse 2 : 10 c
 
Né dans une famille noble d'Écosse, le jeune Patrick Hamilton (1504-1528) fut envoyé par son père à Paris pour poursuivre ses études universitaires. Là, il chercha avec ardeur la vérité, découvrit le vrai sens du message de l'évangile et éprouva une grande paix. À la mort de son père, il revint en Écosse, persuadé que son pays avait besoin d'entendre la Parole de Dieu, et il se mit à prêcher l'évangile. Apprécié par certains, il rencontra toutefois une vive opposition. Ses ennemis trouvèrent bientôt une occasion pour le faire arrêter et il fut condamné à mort. On lui offrit la vie sauve s'il reniait sa foi ; mais, obéissant à Dieu plutôt qu'aux hommes, il répondit : « Il vaut mieux que mon corps brûle dans les flammes de votre bûcher pour avoir confessé mon Sauveur que de renier celui qui m'a aimé ». Il fut exécuter le lendemain et mourut en demandant à Dieu d'ouvrir les yeux de ses concitoyens afin qu'ils connaissent la vérité. Mais la méchanceté de Satan n'eut pas le dernier mot. La foi des chrétiens qui avaient assisté au martyre du jeune Patrick fut réveillée, et beaucoup se mirent à proclamer avec plus de hardiesse que Jésus était le Sauveur. Aujourd'hui encore, des chrétiens sont placés devant des choix difficiles, qui engagent leur carrière professionnelle ou même leur vie. L'apôtre Paul dit à Timothée : « Mais pour toi, tu as pleinement compris ma doctrine, ma conduite, mon intention, ma foi, ma douceur, ma charité, ma persévérance. Et tu sais les persécutions et les afflictions qui me sont arrivées à Antioche, à Icone et à Lystre. Quelles persécutions n'ai-je pas supportées ? Et comment le Seigneur m'a délivré de toutes » (2 Timothée 3 : 11-12).

jeudi 20 août 2015

Nos fardeaux

C'est dans la tranquillité et dans la confiance que sera votre force. Ésaïe 30 : 15
On a l'habitude, paraît-il, dans certaines palmeraies en Arabie, de placer sur la couronne de feuilles des jeunes palmiers une lourde pierre pour les empêcher de pousser trop en hauteur. Le tronc en devient plus épais, le bois plus dur et les fruits plus abondants. Les épreuves qui nous sont envoyées par le Seigneur sont toujours pour notre bien spirituel. Traversées avec lui, elles nous rendent plus forts, plus capables de résister à de mauvais influences. Nous somme amenés à prier plus souvent. Il se peut que nous ne comprenions pas tout de suite l'utilité d'un tel fardeau. Mais plus tard nous verrons que nous avons progressé, qu'il y a un résultat (Hébreux 12 : 11). On dit aussi que dans certaines tribus d'Afrique centrale, ceux qui ont à traverser une rivière à gué le font en portant une lourde charge sur la tête. Ce poids rend leurs pas plus sûrs et les aide à se maintenir en équilibre. N'est-ce pas ce que nous expérimentons quelquefois au cours d'une épreuve ? Le fardeau ne nous écrase pas, il nous maintient même debout dans le courent d'une vie parfois bien agitée, parce que la compagnie du Seigneur nous est indispensable. Au lieu de nous efforcer de nous débarrasser au plus vite de nos problèmes et de nos soucis, demandons plutôt au Seigneur force et patience pour les supporter et les traverser avec lui.

(La Bonne Semence)

mercredi 19 août 2015

Silence, et non absence

Plaise à Dieu que vous gardiez le silence, que vous gardiez le silence ; et cela vous servirait de sagesse. Job 13 : 5
La Bible nous rapporte l'histoire de Job qui a été éprouvé par le silence de Dieu. Frappé subitement par le deuil, la maladie, la souffrance, Job est resté muet pendant une semaine. Puis il a dû faire face aux paroles accusatrices de ses amis. Ils essayaient de trouver des raisons à ses malheurs. Que de discours inutiles face à ceux qui traversent la souffrance ! Que de paroles vides de sens, qui montrent notre incapacité à comprendre ! Difficile d'accepter de se taire alors que l'on aimerait se décharger de ses fardeaux et trouver la compréhension chez ses amis. En présence du silence de Dieu, Job ne reste pas silencieux. Il parle d'abord, il crie, il dit à Dieu sa colère, son malheur. Puis il se tait et Dieu lui parle ; il apprend alors que Dieu ne se réduit pas l'idée qu'il se faisait de lui (Job 42 : 3 à 6). Dans nos conflits intérieurs, Dieu veut nous amener à regarder à lui, à éprouver sa paix, « Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos sentiments en Jésus-Christ (Philippiens 4 : 7). Le silence de Dieu n'est pas l'absence de Dieu. Et l'épreuve qu'il nous fait traverser a peut-être pour but d'accomplir en nous un profond changement. Dans le silence de l'épreuve, pensons au silence que Jésus a connu sur la croix de la part de son Père, justement pour que nous ne soyons plus jamais seuls.

(La Bonne Semence)

mardi 18 août 2015

L'oiseau-cloche

Et quand il a fait sortir toutes ses brebis dehors, il marche devant elles ; et les brebis le suivent, parce qu'elles connaissent sa voix. Jean 10 : 4 (BJC)
Égaré dans la jungle, un homme cherchait son chemin. Ses forces diminuaient, quand il crut entendre au loin le tintement d'une cloche. Pensant être près d'un village, il reprit courage ; mais plus il avançait, plus le son s'éloignait. Il finit par tomber pour ne plus se relever. Il avait été victime de l'oiseau-cloche : cet oiseau d'Amérique du Sud doit son nom au fait que son cri retentit comme un carillon d'église. Il est très peu sociable et s'enfuit toujours à l'approche des hommes. Le cri de cet oiseau était innocent mais il nous fait penser à la façon dont le diable agit pour égarer les hommes, pour les entraîner au mal. Sa tactique se résume à nous empêcher d'écouter la voix de Dieu et celle de notre conscience. Il fait entendre toutes sortes de bruits trompeurs. Il s'adapte aux penchants de chaque individu pour lui proposer de nouvelles occupations ou des plaisirs multiples. Son but, en définitive, est de les priver de toute relation avec Dieu et de son amour, pour les conduire à la mort, aux tourments éternels (2 Thessaloniciens 1 : 9). Et les mois, les années passent sans qu'on prenne le temps de réfléchir au sens de la vie et au but qu'on poursuit. Prenons garde, tous les chemins ne mènent pas au ciel. Jésus a dit : « Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi » (Jean 14 : 6). Chrétiens, qui connaissons la voix de notre Sauveur, que la Parole de Dieu soit toujours notre référence. Si quelque chose n'est pas en accord avec ce qu'elle nous enseigne, méfions-nous, même si cela sonne bien.

(La Bonne Semence)

lundi 17 août 2015

Vous connaissez le Père

Mes bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons n'est pas encore manifesté ; or nous savons que lorsqu'il apparaîtra, nous serons semblables à lui, car nous le verrons tel qu'il est. 1 Jean 3 : 2
Une dame attend son mari à la sortie du travail. À côté d'elle, un enfant d'environ un an somnole dans sa poussette. Les employés sortent, un flot d'inconnus défile devant l'enfant. Mais soudain, son visage s'illumine. Il s'agite et tend les bras vers quelqu'un qui vient d'arriver. Répondant à cette demande muette, mais si claire, le nouvel arrivant se penche sur l'enfant et le prend dans ses bras. A-t-on fait des discours à cet enfant pour lui indiquer qui était son père ? Lui a-t-on dicté l'attitude convenable ? Bien sûr que non ! Mais son élan spontané montre qu'il connaît son papa, bien qu'il ignore tout de ses occupations. Sa filiation est tout aussi réelle maintenant que dans quelques années, quand il sera en état de parler et de comprendre. Il est enfant, à part entière, dès sa naissance. Il en est de même pour un croyant qui commence sa vie chrétienne. L'apôtre Jean s'adresse aux petits enfants dans la foi avec des mots rassurants : « Jeunes enfants, je vous écris parce que vous avez connu le Père » (1 Jean 2 : 13). Un croyant nouvellement converti est dans cet était de petit enfant. Il ne sait peut-être pas parler : ses prières sont encore bien hésitantes. Il a beaucoup à apprendre, mais l'Esprit de Dieu lui communique cette connaissance nouvelle de Dieu comme Père. Dès sa nouvelle naissance, il est enfant de Dieu à part entière, privilège infiniment doux qui lui appartient personnellement.

(La Bonne Semence)

dimanche 16 août 2015

Jésus est à la porte



Veillez donc : car vous ne savez ni le jour, ni l'heure en laquelle le Fils de l'homme viendra. 
Matthieu 25 : 13


Jésus est effectivement à la porte. On entend ça depuis tellement d'années et jamais il n'est venu encore. Soyez en assurer frères et sœurs, notre délivrance approche et notre rencontre avec notre époux est sur le point d'arrivée ! Je voulais simplement vous exhortez à rester réveiller. Ne nous laissons pas endormir par les diverses doctrines des hommes, les soucis de la vie, mais accrochons-nous à notre Seigneur. Ayons une intimité avec lui, apprenons à le connaître, aimons-le. Jésus est à la porte, soyons toujours prêt, chaque jour, chaque heure, chaque minute et chaque seconde. Passons continuellement nos vies en examen pour voir où nous en sommes avec Jésus-Christ. Bientôt, tout ce que nous vivons présentement sera enfin du passé. Il ne faut pas oublier que nous sommes simplement des étrangers, des voyageurs sur cette terre, ne souhaitons pas prendre racine dans ce monde, veillons ! Notre adversaire le diable rôde autour de nous jour et nuit pour nous faire perdre la place que nous avons en Christ, soyons encore plus persévérant que lui et surtout plus intelligent que lui.

(MlleG)


samedi 15 août 2015

La lettre de Christ

Car il est manifeste que vous êtes la lettre de Christ, gravée par notre service, non avec de l'encre, mais avec l'Esprit du Dieu vivant, non sur des tables de pierre, mais sur les tables de chair, qui sont vos cœurs. 2 Corinthiens 3 : 3
Presque tout le monde a entendu parler de Jésus, de sa bonté, de son humilité, de son dévouement... Et ceux  qui ne croient pas en lui reprochent volontiers aux chrétiens de ne pas lui ressembler. C'est vrai, nous qui sommes chrétiens, sommes souvent de bien mauvais témoins du Christ ! Quel écart entre ce que Dieu a fait de nous : la lettre de Christ, et ce que nous montrons ! Nous avons besoin de revenir au Seigneur, d'écouter sa parole et de nous laisser former par son amour. L'Église selon la Bible n'est pas une institution. Elle est l'ensemble de tous ceux qui croient au Seigneur Jésus. Ce n'est pas une communauté d'intérêts, mais une communion d'amour et de vie puisque chacun a le Christ pour Sauveur et Seigneur. La vie chrétienne au quotidien est en soi un message. L'évangile est rendu visible par la manière dont les croyants mettent en évidence les caractères de Dieu (amour, lumière, sainteté...) dans leur vie. Ce n'est pas par des techniques de communication que nous serons la lettre de Christ, mais en vivant chacun la vie de Christ. Le pardon, l'entraide, l'écoute, l'encouragement caractériseront alors nos relations. Le Seigneur Jésus a lié dans une même famille tous les enfants de Dieu. De cet ensemble vivant devrait jaillir un message puissant d'amour, de compassion et de sainteté.

(La Bonne Semence)

vendredi 14 août 2015

Citoyens des cieux

Passage à lire : Philippiens 3 : 17 à 21
Mais pour nous, notre cité est dans les cieux, d'où nous attendons aussi le Sauveur, le Seigneur Jésus-Christ. Philippiens 3 : 20
En tant que croyants, nous sommes citoyens des cieux. Ici-bas sur terre, nous ne sommes que des pèlerins en route vers notre demeure éternelle. Trop souvent cependant, nous agissons comme si ce monde était notre demeure permanente. Il y a de nombreuses années, un officier militaire britannique en poste dans la jungle africaine reçut la visite d'un ami de longue date. Un jour, alors que l'ami entrait dans la hutte de l'officier, il fut très surpris de le voir vêtu de sa tenue de cérémonie et assis devant une table magnifiquement dressée avec de l'argenterie et de la fine porcelaine. Le visiteur, s'imaginant que son ami avait peut-être perdu la raison, lui demanda pourquoi il était habillé de cette façon et assis devant une table aussi somptueusement dressée au milieu de nulle part. L'officier expliqua ce qui suit : « Une fois par semaine, j'observe ce cérémonial. Je le fais simplement pour me rappeler qui je suis : un citoyen britannique. Je veux maintenir les coutumes de mon vrai foyer et vivre selon le code de conduite britannique, peu importe comment vivent ceux qui m'entourent. Je veux éviter de remplacer la culture de ma mère-patrie par celle d'une terre étrangère. » Les chrétiens devraient avoir un souci semblable. Parce que nous sommes citoyens des cieux, il est de la plus grande importance que nous évitions de substituer la culture étrangère du monde à celle de notre vraie patrie. La Bible nous dit de ne pas nous conformer au monde (Romains 12 : 2). Nous ne devons ni suivre ses voies pécheresses no adopter ses valeurs. Nous devons vivre de façon à ce que les autres voient que nous sommes différents. N'oublions jamais que nous sommes des étrangers dans ce monde et des citoyens des cieux ! - R.W.D. -
Pensée : Le chrétien qui vit au-dessus du monde s'approche des cieux.

(Le Pain Quotidien)