mardi 26 mars 2013

Prenez garde aux avertissements

Je vous avertis comme mes enfants bien-aimés. 1 Corinthiens 4:14b
 
Les Américains reçoivent des pluies d'avertissements. Les fabricants sont de plus en plus las de se faire poursuivre lorsque leurs produits sont mal utilisés, si bien qu'ils attachent des avertissements à des centaines d'articles. Ainsi, un costume de Batman porte l'avertissement suivant : « Parents, soyez vigilants - JOUET SEULEMENT. Le masque et la cape ne protègent pas ; la cape ne permet pas de voler ». Il y a tellement d'avertissements sur les articles qui se vendent en magasins, disent les experts, qu'ils ne sont plus efficaces. Alors que certaines personnes restent sourdes à ce genre d'avertissements, la Bible souligne l'importance de prendre garde aux avertissements de Dieu. Les propos d'Ézéchiel, au chapitre 3, établissent clairement qu'un avertissement est vital non seulement pour la personne qui le reçoit, mais aussi pour la personne qui le donne (v. 16 à 21). On doit prendre les paroles de Dieu au sérieux. « N'attristez pas le Saint-Esprit », nous dit-on (Éphésiens 4:30a). « Abstenez-vous de toute espèce de mal », nous rappelle-t-on » ( 1 Thess. 5:22). Jésus nous a mis en garde contre l'adultère et la convoitise (Matt. 5:27-28) et contre le fait de s'estimer meilleur que les autres (Matt. 7:1 à 5). Le Seigneur, qui nous a faits, sait comment nous devrions vivre. Il désire nous protéger des dangers. Assurons-nous que nous prenons tous ses avertissements au sérieux. - J.D.B. -
 
Pensée: Les avertissements de Dieu visent à nous protéger, pas à nous punir.

lundi 25 mars 2013

L'oeuvre d'art de Dieu

Revêtez l'homme nouveau, qui se renouvelles, dans la connaissance, selon l'image de celui qui l'a créé.
Colossiens 3:10

Vincent Van Gogh a acheté un miroir et a utilisé sa propre image pour plusieurs de ses tableaux. Rembrandt s'est également servi de lui-même comme modèle pour faire près de 100 autoportraits. Ces artistes avaient un bon exemple, celui de Dieu lui-même, qui a utilisé sa propre image comme modèle pour le joyau de sa création (Genèse 1:27).

Henry Ward Beecher, célèbre ecclésiastique du XIX siècle, a dit: «Chaque artiste trempe son pinceau dans sa propre âme, et peint sa propre nature dans ses tableaux.» Dans tout ce que nous créons - oeuvres d'art, musique, littérature, et même nos enfants - nous révélons un peu de nous-mêmes. Il en va de même pour Dieu; chacun de nous révèle un peu de lui. L'image est peut-être ternie, mais elle est toujours là et peut toujours être réparée. Les changements superficiels ne rétablissent pas ce qui ne va pas chez nous, toutefois. Les vêtements, les cosmétiques et les chirurgies peuvent nous faire ressembler à tout le monde, mais non au chef-d'oeuvre unique que Dieu a fait de chacun de nous. Nous avons besoin d'un tout nouveau «moi» (Colossiens 3:10), qui se renouvelle à son image et est revêtu de compassion, de bonté, d'humilité, de douceur et de patience ( Colossiens 3:12).

Pensée: Si vous voulez améliorer votre image, revêtez-vous du caractère de Dieu et reflétez son image dans toute sa gloire.

(J.A.L.)

dimanche 24 mars 2013

Suis-je encore charnel?

...puisqu'il y a parmi vous de la jalousie et des disputes, n'êtes-vous pas charnels? 1 Corinthiens 3:3
 
L'homme naturel ne sait pas ce que c'est que d'être charnel. Les désirs de la chair s'opposant à ceux de l'Esprit, après la régénération, le lui font découvrit. « Marchez selon l'Esprit » , dit Paul, « et vous n'accomplirez pas les désirs de la chair. » - Alors vous ne serez plus charnels. Êtes-vous irritable, facilement agacé par de petites choses? - « Oh! mais un chrétien n'est jamais comme ça! » Paul n'est pas de cet avis, il range ces choses parmi les ''convoitises charnelles ». Y a-t-il une vérité dans la Bible contre laquelle vous regimbez immédiatement? C'est une preuve que vous êtes encore charnel. Si la sanctification accomplit son oeuvre en vous, il ne reste pas trace de cet esprit-là. Si l'Esprit de Dieu découvre en vous quelque chose qui ne va pas, il ne vous demande pas de le corriger vous-même, mais seulement d'accepter que ce soit mis en lumière et il pourra le corriger. Un enfant de lumière ouvre son coeur devant Dieu et confesse immédiatement son péché; un fils des ténèbres dit : « je m'expliquerai là-dessus plus tard ». Soyez un enfant de lumière, et confessez-vous à Dieu; il s'occupera lui-même de ce qui ne vas pas. À quel signe reconnaît-on que l'on n'est plus charnel? Ne vous faites pas d'illusion : si la délivrance est réelle, sa réalité vous sautera aux yeux. Dieu vous donnera mille occasions de saisir le miracle accompli en vous par sa grâce. L'expérience vous le prouvera. « Si c'était arrivé autrefois, j'aurais été plein de ressentiment », direz-vous. Vous ne cesserez d'être le premier étonné de la transformation que Dieu aura opérée dans votre propre coeur.
 
(Oswald Chambers)

Chaque enfant apprend par l'exemple

Instruis le jeune enfant à l'entrée de sa voie; lors même qu'il sera devenu vieux, il ne s'en retirera point. Proverbe 22:6
 
-s'il vit entouré de critiques, il apprend à blâmer
-s'il vit entouré d'hostilité, il apprend à être agressif

-s'il vit de moquerie, il apprend à être timide

-s'il vit entouré de honte, il apprend à se sentir coupable

-s'il vit de tolérance, il apprend à être patient

-s'il vit d'encouragements, il apprend à agir

-s'il vit d'éloges, il apprend à complimenter

-s'il vit de probité, il apprend à être juste

-s'il vit d'approbation, il apprend à s'accepter

-s'il vit d'amitié, il apprend à aimer la vie

-s'il vit de prière, il apprend à prier


(Auteur inconnu)

Moments d'extase

Jésus les conduisit seuls à l'écart sur une haute montagne.
Marc 9 : 2

Nous avons tous vécu des moments exaltants "sur la montagne" où nous pouvions voir toutes choses du point de vue de Dieu. Nous aurions voulu qu'ils durent toujours. Mais Dieu ne le permet pas. La preuve de la valeur de notre vie spirituelle, c'est notre aptitude à descendre de la montagne de la Transfiguration. Si nous savons seulement monter, c'est que nous ne sommes pas ce que nous devrions être. Il est merveilleux d'être au sommet de la montagne avec Dieu, mais ce séjour n'est utile que s'il nous rend capables de descendre ensuite au milieu des hommes pour les délivrer du pouvoir du diable. Nous ne sommes pas faits pour vivre continuellement sur les sommets, environnés de la beauté surnaturelle des rayons de l'aurore. Nous pouvons y séjourner seulement de courts moments, qui renouvellent notre inspiration. Nous sommes faits pour vivre dans la plaine, aux prises avec le terre à terre de l'existence : c'est là que nous devons faire nos preuves. L'égoïsme spirituel nous fait désirer d'être souvent sur la montagne. Il semble que, si nous pouvions y demeurer, nous saurions parler et vivre comme des anges. Les moments d'exaltation exceptionnels ont cependant leur place dans notre vie avec Dieu, mais veillons à ce que notre égoïsme spirituel ne nous pousse pas à les rechercher exclusivement. Nous nous imaginons volontiers que tout ce qui nous arrive doit être exploité en vue d'un enseignement utile. Non, avant tout, cela doit servir à produire un caractère fort. Le séjour "sur la montagne" n'a pas pour but de nous  instruire, mais de nous façonner. Il est dangereux de se demander : "A quoi cela sert-il ?" Dans le domaine spirituel, on ne peut faire de calculs de rentabilité. Dieu a un but lorsqu'il nous accorde, en de rares occasions, des moments passés "au sommet de la montagne".

(Auteur inconnu)

samedi 23 mars 2013

Savoir tordre

Il fallait qu'il passe par la Samarie. Jean 4:4
 
Jeune fille, je détestais certaines tâches, surtout laver la vaisselle. Le seul plaisir que j'y trouvais, c'était un défi que je me lançais secrètement : celui d'extraire la dernière goutte d'eau de la lavette. Mais, ma mère réussissait toujours à en extraire plus que moi, car les années de pratique avait renforcé ses mains. Quel que soit notre âge, la vie nous impose des obligations. Certaines personnes les refusent, tandis que d'autres se concentrent sur le défi qu'elles représentent, et cherchent à en extraire la dernière goutte de sens et de possibilité. Jésus s'est trouvé devant une telle nécessité quand, lors de son voyage de Judée en Galilée, il a dû traverser le territoire hostile de Samarie (Jean 4:4). Ses disciples ont dû se demander pourquoi ils devaient emprunter ce chemin, mais Jésus savait que c'était nécessaire. Pendant qu'il était en Samarie, il a annoncé l'Évangile à une Samaritaine et à son village. Quelqu'un de sage a fait la remarque suivante : « J'ai appris bien plus des choses que j'ai  faire, que ces choses que j'ai choisi  de faire ». Aimeriez-vous pouvoir dire cela? Alors, ne vous rebellez pas contre les choses que vous devez faire. Tirez-en plutôt de grandes leçons de vie. Et, n'oubliez pas que ce genre d'exercice nécessite des années de pratique. - J.E.Y. -
 
Pensée: Le devoir peut être plaisant quand on le voit comme une occasion divine. 

Se reposer dans le calme

Je les ferai reposer en sécurité. Osée 2:18

Oui Dieu donne la paix à son peuple ! Le passage de notre texte nous parle d'une « alliance avec les bêtes des champs, les oiseaux du ciel et les reptiles de la terre. » C'est la paix au milieu des ennemis terrestres, des épreuves mystérieuses, comme des petites contrariétés, choses qui peuvent mais ne doivent pas troubler notre repos. L'Éternel veut détruire tout ce qui menace son peuple. « Il brisera dans le pays l'arc, l'épée et la guerre. » C'est la paix assurée, puisque les éléments propres à la troubler auront été anéantis.

Cette paix sera suivie de repos. « Il donne le repos à celui qu'il aime. » Constamment soutenu par ce secours divin, le croyant peut demeurer dans une calme assurance. Ce repos sera accompagné de sécurité. Une chose est de reposer ; une autre de reposer en sécurité. Nous voici introduits dans le pays de la promesse, dans la maison du Père, dans la chambre de famille, et jusque sur le sein même de Christ. Là seulement nous pouvons « reposer en sécurité ». Et dans cette position tranquille nous sommes à l'abri de la fatigue que causent le mouvement et l'agitation. « Il nous fait reposer dans de verts pâturages et nous conduit auprès des eaux paisibles. » C'est là que le Consolateur veut amener toute âme qui s'abandonnera à lui.


(Charles Spurgeon)

vendredi 22 mars 2013

Savons-nous mettre de côté notre intérêt personnel ?

Si tu prends à gauche, j'irai à droite; et si tu prends la droite, j'irai à gauche. Genèse 13: 9

Aussitôt que vous commencez de vivre de la vie d'un enfant de Dieu, de magnifiques horizons s'ouvrent devant vous, et vous avez le droit de choisir là dedans tout ce qui vous convient. Mais si vous vivez par la foi, si vous êtes vraiment un enfant de Dieu, vous userez de votre liberté pour renoncer à tous vos droits, et vous laisserez Dieu choisir à votre place. Dieu vous placera peut-être, pour vous éprouver, devant un choix tel qu'à vues humaines, votre premier devoir serait de vous inquiéter de votre santé, de votre bien-être. Mais si vous vivez par la foi, vous renoncerez joyeusement à votre droit de choisir vous-même, et vous laisserez à Dieu le soin de choisir pour vous. C'est en pratiquant cette discipline d'obéissance totale à la voix de Dieu que vous verrez tout votre être naturel se transformer en un être spirituel. Toutes les fois que nous nous fondons sur notre droit, cela obscurcit en nous l'intuition de Dieu. Le plus grand ennemi de la vie en Dieu, ce n'est pas le péché, c'est le bien qui n'est pas tout ce qu'il devrait être. Abraham avait tous les droits pour choisir lui-même, c'était, semble-t-il, ce qu'il avait de mieux à faire et, dans son entourage, on a dû le taxer de
fou. Beaucoup d'entre nous ne font pas de progrès dans la vie spirituelle, parce que nous voulons choisir nous-mêmes ce qui vaut le mieux, au lieu de laisser Dieu choisir pour nous. Nous avons à nous habituer à regarder à Dieu pour toute chose.

(Auteur inconnu)

Soutenu dans la souffrance

 
 
Mon âme est triste jusqu'à la mort; restez ici, et veillez avec moi. Matthieu 26:38b
 
Les séquoias de Californie atteignent jusqu'à 90 mètres de hauteur. Étrangement, ces géants ont des racines très superficielles qui s'étendent dans toutes les directions pour saisir le maximum d'humidité de surface. Les arbres se soutiennent mutuellement grâce à l'enchevêtrement de leurs racines, ce qui leur permet de résister aux tempêtes. C'est pour cela qu'ils poussent habituellement en bosquets. Il est rare de voir un de ces arbres seul, parce que les vents violents ne tarderaient pas à le déraciner. Du soutien: c'est ce que Jésus voulait de Pierre, Jacques et jean dans le jardin de Gethsémané, avant le calvaire (Mattieu 26:37-38). Sur la croix, en portant les péchés du monde entier, il allait expérimenter la colère et l'abandon de son Père. Or, c'est justement cette coupe horrible qu'il demandait  à son Père d'éloigner de lui (v.39). En cette heure sombre, il comptait sur les prières et la compassion de ses disciples. Mais, comme ils l'ont déçu! La vue des disciples endormis a dû rendre son isolement de Gethsémané encore plus pénible (v.45). Si Jésus a demandé du soutien humain en son heure de crise, combien plus les chrétiens ont-ils besoin les uns des autres quand ils souffrent! Soyons prêts à demander à quelqu'un de prier pour nous et avec nous. Et soyons à l'affût d'occasions d'apporter notre soutien à d'autres qui souffrent. - D.J.D. -
 
Pensée: Ceux qui souffrent ont besoin de plus que de sympathie, ils ont besoin de compagnie.

jeudi 21 mars 2013

Je suis...


 Je suis la lumière
Et vous ne me voyez pas

Je suis la route
Et vous ne me suivez pas

Je suis la vérité
Et vous ne me croyez pas

Je suis la vie
Et vous ne me cherchez pas

Je suis le maître
Et vous ne m'écoutez pas

Je suis votre grand ami
Et vous ne m'aimez pas

Je suis votre Dieu
Et vous ne me priez pas

Si vous êtes malheureux
Ne me le reprochez pas!


(Auteur inconnu)

Êtes-vous préoccupé de vous-même ?

Venez à moi. Matthieu 11:28

Dieu veut que notre vie ait pour centre Jésus Christ; mais nous subissons, par moments, des pressions extérieures, et nous retombons alors dans l'introspection, dont nous pensions être délivrés. Cette préoccupation de nous-mêmes est la première chose qui vient troubler la plénitude de notre vie en Dieu, et elle provoque une lutte continuelle. La préoccupation de nous-mêmes n'est pas un péché; elle peut résulter d'un tempérament nerveux, ou du choc inopiné de circonstances nouvelles. La volonté de Dieu, c'est que nous soyons parfaits en lui  (parfaits = complets, complétés... par Lui). Tout ce qui trouble notre sérénité doit être corrigé, et le remède n'est pas d'ignorer le mal, mais d'aller à Jésus. Si nous allons à lui, et que nous lui demandons de remplacer en nous la préoccupation de nous-mêmes par la recherche de Sa Présence, Il le fera, jusqu'à ce que nous ayons appris à demeurer en lui .

Ne consentez jamais à ce que votre vie en Christ soit diminuée, ou partagée, sans y porter remède. Ne laissez rien venir entre le Christ et vous, ni vos amis, ni vos circonstances. Ne laissez rien perdre, rien échapper de votre communion directe avec lui. Vous risqueriez de retomber dans la préoccupation de vous-même. Rien n'est plus important que de rester honnête avec soi-même dans le domaine spirituel. Le remède souverain est tout simple : "Venez à moi." Notre vraie valeur, sur le plan intellectuel, moral et spirituel, est révélée par ces quelques mots. Si quelque chose en nous n'est pas vrai, nous sommes tentés de discuter plutôt que d'aller simplement à Jésus.


(Auteur inconnu)

mercredi 20 mars 2013

Rien qu’un mot

 
Rien qu’un mot de colère, mais il a blessé un cœur sensible.

Rien qu’un mot dur de reproche, mais il a fait couler des larmes.

Rien qu’un mot impatient et irréfléchi, mais il a assombri un jour qui s’annonçait radieux.

Rien qu’un mot malveillant et moqueur mais la guêpe a laissé son aiguillon.

Rien qu’un mot de bonté mais il a soulagé un cœur qui souffrait.

Rien qu’un mot de sympathie mais une âme en détresse a été consolée

Rien qu’un mot d’encouragement mais un chemin obscur a été illuminé

Rien qu’un mot d’espérance et de foi et le jour tout entier en a été transformé.
 

 (Auteur inconnu)

Et si ce lieu existait vraiment...

 
C'est l'enfer! Voici une expression des plus populaires utilisée par les Québécois. On l'entend partout: au travail, à l'école, à la maison et même dans les médias. On l'emploie à toutes les sauces, autant pour décrire un évènement heureux qu'un malheur. Nous sommes tous familiers avec cette expression si profondément ancrée dans notre vocabulaire, mais qu'en est-il de sa réalité?

Autrefois, lorsqu'ils parlaient de l'enfer, les gens le définissaient comme un lieu réservé pour les damnés, un mot qui en faisait grincer plusieurs des dents. Aujourd'hui, les gens disent que l'enfer est démodé. « Mais voyons donc, y'en a plus de damnés aujourd'hui. L'enfer, c'est sur terre. Après la mort, c'est la tombe. Alors vivons comme bon nous semble.» Pour vous lecteur, ce sujet peut vous sembler irrationnel et totalement exagéré. Mais que ferez-vous si l'enfer existe réellement et que la majorité des gens se trompent en prenant cette vérité à la légère?
Ne vous risquez pas de dire: « On verra rendu de l'autre côté», CAR IL SERA TROP TARD! C'est ce que la Bible nous confirme. Plusieurs de ses écrits concernant les questions de l'au-delà nous mettent en garde: «...il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement, ...» Hébreux 9:27. Dieu nous jugera selon non péchés et personne ne pourra y échapper car nous sommes tous pécheurs: «... il n'y POINT de juste, PAS MÊME UN SEUL.» Romains 3:10 C'est le péché qui nous séparera de Dieu pour nous conduire en enfer. Dieu ne peut accepter un être souillé par le péché en sa présence: « Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les débauchés, les magiciens, les idolâtres et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang brûlant de feu et de soufre ...» Apocalypse 21:8. OUI, l'enfer existe, et cela, même si vous ne voulez pas y croire. Vous pouvez toutefois éviter ce lieu et obtenir l'assurance d'aller rejoindre Dieu un jour. Dans son amour, Dieu a pourvu une solution au problème de nos péchés. Il a envoyé son Fils unique, Jésus-Christ, mourir sur la croix. Il a pris nos péchés sur lui à la croix pour nous faire éviter l'enfer. Et il est ressuscité des morts pour nous donner la vie éternelle: « Dieu en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. Celui qui croit en lui n'est pas jugé; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, ...» Jean 3 : 18-19

«Celui qui croit au Fils à la vie éternelle; celui qui ne se confie pas au Fils ne verra pas la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui.» Jean 3 :36 Nous devons nous détourner de nos péchés et mettre notre foi dans le sacrifice de Jésus pour avoir le pardon de nos péchés et la vie éternelle. TU PEUX LE FAIRE MAINTENANT.

Si vous rejetez la parole de Dieu et son Fils Jésus, alors l'expression « C'est l'enfer! » sera le sujet de votre éternité!
 
(Auteur inconnu)

Un nouveau berger ??

 
Ma télévision est mon berger, je ne voudrais pour rien en manquer. Elle me fait reposer dans un fauteuil confortable, elle me dirige près d’une vie inutile mais tranquille. Elle divertit mon âme et je me délecte de l’injustice à cause d’elle. Quand je suis menacé par les conséquences de mes choix, j’ignore tout mal, car tu m’aveugles. Ton écran et tes programmes, voilà tout ce qui m’intéresse.
Tu dresses devant moi une table où je fraternise avec mes adversaires. Tu remplis ma tête d’illusions et mon âme évidée se laisse vivre par tes idées. Oui, le plaisir et la futilité m’accompagneront aussi longtemps que tu existeras, mais je n’habiterai jamais dans la maison du Seigneur, car tu m’en fermes la porte toutes les soirées de ma vie !
 

(
R.Hurter)

mardi 19 mars 2013

Se reposer sur une promesse

La terre sur laquelle tu es couché, je la donnerai à toi et à ta postérité. Genèse 28:13

« Aucune promesse n'est d'une interprétation particulière ». Elles ne s'adressent pas à quelques saints seulement, mais à tous les croyants. Ainsi mon frère, si tu peux t'appuyer sur cette promesse et t'en faire comme un oreiller, elle est pour toi. Le terrain sur lequel Jacob reposait était celui dont il prit possession plus tard. Alors qu'il étendait ses membres fatigués sur le sol dont les pierres mêmes faisaient son oreiller, il se doutait peu qu'il entrait par là même en possession du pays. Toutefois il en fut ainsi. Pendant son sommeil lui apparut cette échelle merveilleuse qui, pour tout vrai croyant, unit la terre au ciel. Il y avait là pour lui comme un gage de propriété de la terre sur laquelle reposait le pied de l'échelle, qui, du ciel, descendait jusqu'à lui.

« Toutes les promesses sont oui et amen en Jésus, » et même que Christ est à nous, de même chacune de ses promesses devient nôtre aussi, si nous nous reposons sur elle avec une foi ferme et tranquille.

Viens, pauvre âme fatiguée ; prends la parole de ton Dieu pour ton oreiller. Repose en paix. Songe à lui uniquement. Jésus est l'échelle lumineuse dressée entre toi et ton Dieu. Sois seulement assurée que la promesse faite à Jacob t'est aussi donnée par Dieu lui-même. Ce n'est point une usurpation de te l'appliquer personnellement, comme si elle avait été prononcée pour toi seul.
 
(Charles Spurgeon)

lundi 18 mars 2013

Des bras éternels

Le Dieu d'éternité est un refuge, et sous ses bras éternels est une retraite. Deutéronome 33:27
 
Après une répétition au Carnegie Hall, à New York, Randall Atcheson était assis sur la scène seul. Il avait magnifiquement réussi à interpréter les compositions complexes de Beethoven, de Chopin et de Liszt inscrites au programme de la soirée, et il voulait jouer une autre pièce pour lui-même. Et ce qui est sorti de son coeur et de ses mains, c'est un vieux cantique : « De quoi aurais-je crainte, de quoi aurais-je peur, appuyé sur mon Seigneur tout près, appuyé sur les bras éternels.» Ces mots rappellent la vérité de la bénédiction finale de Moise : « Nul n'est semblable au Dieu d'Israël, il est porté sur les cieux pour venir à ton aide, il est avec majesté porté sur les nuées. Le Dieu d'éternité est un refuge, et sous ses bras éternels est une retraite » (Deutéronome 33:26-27). Quel don nous avons entre nos propres bras et mains, qui peuvent manier un marteau, tenir un enfant ou aider un ami. Si notre force est limitée, la puissance illimitée de Dieu s'exprime en notre faveur avec force et douceur. « Non, la main de l'Éternel n'est pas trop courte pour sauver » (Ésaïe 59:1). « Comme un berger, (...) il prendra les agneaux dans ses bras, et les portera dans son sein » (Ésaïe 40:11). Quelle que soit la difficulté ou la possibilité qui est devant vous, la sécurité et la paix se trouvent dans les bras éternels de Dieu. - D.C.M. -
 
Pensée: Les bras du Père céleste ne se lassent jamais de porter ses enfants.

dimanche 17 mars 2013

La première promesse de la Bible

Et je mettrai inimitié entre toi et la femme ; entre ta postérité et la postérité de la femme ; cette postérité t'écrasera la tête, et tu la blesseras au talon. (Genèse 1:15)
Telle est la première promesse faite à l'homme tombé. À Elle seule elle contient l'Évangile tout entier et exprime l'essence même de l'alliance de grâce. Nous la voyons déjà accomplie dans une grande mesure : la semence de la femme a été blessée au talon en la personne de Jésus-Christ et de quelle terrible blessure ! Combien terrible aussi sera l'écrasement final de la tête du serpent ! Cette prophétie a été virtuellement accomplie une première fois quand Jésus a porté le péché de l'humanité, vaincu la mort et brisé la puissance de Satan.
(Charles Spurgeon)

Suis-je un de ces "heureux" ?

"Heureux les mendiants d'esprit...; heureux les affligés...; heureux les doux...; heureux... " Matthieu 5:3-10

La première fois que nous lisons les enseignements de Jésus, nous trouvons cela merveilleusement simple et évident, et nous ne nous sentons pas vraiment concernés. Par exemple, les Béatitudes nous paraissent être de beaux principes, faits pour des gens vivant loin du monde, inadaptés à la vie moderne, hors du monde rude et affairé dans lequel nous vivons. Cependant, nous découvrons bientôt que les Béatitudes contiennent la dynamite du Saint-Esprit. Elles explosent au contact direct des circonstances de notre vie. Lorsque le Saint-Esprit nous rappelle une Béatitude, nous sommes mis en demeure de prendre une décision : soit d'accepter, soit de refuser le bouleversement spirituel que produira l'obéissance à ces paroles. C'est ainsi qu'agit le Saint-Esprit. Nous n'avons pas besoin d'être né de nouveau pour mettre en pratique les Béatitudes dans leur sens littéral, c'est un jeu d'enfant. Par contre, leur interprétation par le Saint-Esprit, qui les applique aux circonstances de notre vie, est le rude labeur du chrétien fidèle. L'enseignement de Jésus n'a rien de commun avec notre façon humaine de comprendre la vie; c'est pourquoi, de prime abord, il nous étonne et nous déconcerte. Nous devons progressivement adapter notre conduite et nos paroles à ces préceptes, que le Saint-Esprit applique à notre cas particulier. Le Sermon sur la Montagne n'est pas un recueil de lois et de règlements; c'est une description de ce que le Saint-Esprit va faire en nous.

(Auteur inconnu)

samedi 16 mars 2013

Jeux cérébraux

Ne vous conformez pas au siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l'intelligence.
Romains 12:2
 
Les scientifiques qui étudient le cerveau humain ont l'habitude de dire : « Utilisez votre cerveau avant de la perdre.» Nous avons le pouvoir de maintenir notre cerveau en bon état de fonctionnement. Le Dr Lawrence Katz, neurologue à l'université Duke, exhorte les gens à faire des exercices mentaux tous les jours, comme se brosser les dents avec la main non dominante ou emprunter un nouveau trajet pour se rendre au travail afin de contribuer à stimuler le cerveau et à le garder en bonne santé. L'objectif est de remplacer les automatismes par une nouvelle sensibilité et un nouveau centre d'intérêt. Il y a là une leçon pour nous, disciples de Jésus-Christ. Même les disciplines spirituelles les plus précieuses, telles la lecture de la Bible et la prière, peuvent devenir si habituelles que notre intelligence n'y participe plus aussi pleinement. Pour éviter de tomber dans une routine spirituelle, pourquoi ne pas ajouter la mémorisation de l'Écriture à votre culte personnel quotidien? Il s'agit d'un exercice mental qui vise à produire un changement spirituel, selon ce que le psalmiste a écrit : « Je serre ta parole dans mon coeur, afin de ne pas pécher contre toi » (Psaume 119:11). Paul a dit : « Ne vous conformez pas au siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l'intelligence, afin que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable et parfait » (Romains 12:2). Mémoriser et méditer la puissante Parole de Dieu est plus qu'un jeu cérébral. - D.C.M. -
 
Pensée: Laissez la Parole de Dieu remplir votre mémoire, régner sur votre coeur et guider vos pieds.

Plénitude

Je vous donnerai du Repos. Matthieu 11:28

Chaque fois que quelque chose vient affaiblir votre communion avec Jésus-Christ, tournez-vous aussitôt vers Lui, et demandez-lui de vous donner Sa sérénité. Ne tolérez pas que quoi que ce soit en vous, trouble cette paix. Traitez tout élément de discorde qui s'insinue entre Jésus et vous, comme une chose à combattre et non à supporter. Demandez au Seigneur de mettre Sa nature en vous, et votre propre nature disparaîtra : Il sera tout en vous. La préoccupation de soi engendre insensiblement la pitié pour soi-même, qui vient de Satan. "On ne me comprend pas ! Sur ce point-là, on me doit des excuses ! Il faut que ce soit tiré au clair !" Laissez donc les autres tranquilles, et demandez au Seigneur de mettre en vous la nature du Christ. Il vous soutiendra, jusqu'à ce que vous soyez rempli de Sa plénitude.

La vie chrétienne parfaite est celle de l'enfant. Quand je me préoccupe trop de ce qui se passe en moi, cela va mal. C'est le malade qui connaît la valeur de la santé. L'enfant de Dieu ne se préoccupe pas de savoir ce qu'est la volonté de Dieu, car il est lui-même dans la volonté de Dieu. Quand nous nous écartons si peu que ce soit de la volonté de Dieu, nous nous mettons à lui dire: "Quelle est ta volonté ?" Un enfant de Dieu ne prie pas pour que Dieu lui démontre qu'il répond à la prière; il est sans inquiétude, sachant que Dieu répond toujours.

En essayant de combattre notre égoïsme par les méthodes dictées par le bon sens, nous le développons au contraire. Jésus dit: "Venez à moi, et je vous donnerai du repos"; c'est-à-dire : la nature de Christ prendra la place de notre propre nature. Partout où Jésus passe, il apporte le repos; le repos d'une activité parfaite, d'où tout amour de soi-même est absent.
 
(Auteur inconnu)

La vie chrétienne

 
Notre vie chrétienne n'est pas un état, mais une marche. Le chemin de la sainteté n'est pas non plus un état, c'est une progression. La sanctification n'est pas quelque choses que l'on atteint à un certain stade de notre expérience chrétienne, et que l'on possède ensuite définitivement. C'est une vie qui doit être vécue jour après jour, et heure après heure. Nous pouvons nous détourner un instant de notre chemin, mais notre écart ne change rien au chemin lui-même. Nous pouvons instantanément nous y engager de nouveau. Dans notre marche par la foi, il peut y avoir des chutes momentanées. Certes, elles sont regrettables et très attristantes. Mais si nous savons comment nous en sortir, nous pouvons garder notre âme dans une attitude d'entière consécration et de parfaite confiance en Dieu.

(Auteur inconnu)

vendredi 15 mars 2013

Nos priorités

 
Tout se précipite, le temps est si court, la vie si trépidante. Les agendas sont souvent si remplis que le risque est grand pour un chrétien de négliger la lecture de la bible et la prière. Le matin, c'est la course pour ne pas être en retard, et le soir, la fatigue est là! Il arrive que les semaines passent sans un contact réel avec le Seigneur. Si le début de nos journées lui est consacré, les heures qui suivront le seront probablement aussi. Mais si nous laissons passer ce moment privilégié, toute la journée risque d'être perdue pour le Seigneur. Ne nous cherchons pas d'excuses, remettons nos priorités dans le bon ordre et nous pourrons affronter la journée dans la paix et la victoire de la foi. En négligeant la lecture de la Parole de Dieu, nous ressentons un vide. Peut-être tentons-nous de le combler par ce qu'offre le monde, mais cela ne fait pas le compte. Mettons notre confiance en Dieu qui nous a réservé quelque chose de meilleur: la joie de la présence de Jésus. Prenons le temps de prier et de lire notre bible. Cherchons Jésus. Puisque lui de son côté nous cherche, nous ne pouvons pas ne pas nous rencontrer. Plus qu'une activité, la prière est avant tout une attitude. Elle exprime notre relation avec Dieu, une relation de confiance et d'amour. Un chrétien disait: « Un moment passé avec Dieu dans la prière éclipse de loin les plaisirs et les joies de cette terre». Est-ce notre expérience?

(Auteur inconnu)

Vous pouvez compter sur lui

Si nous recevons le témoignage des hommes, le témoignage de Dieu est plus grand. 1 Jean 5:9a
 
Le prince Albert d'Angleterre a un jour visité le laboratoire d'un scientifique du nom de Lyon Playfair. D'après le biographe de Playfair, lorsque le prince et l'homme de science furent près d'un chaudron de plomb en ébullition, Playfair aurait dit : « Votre Altesse Royale croit-elle à la science ? » « Certainement », répondit le prince Albert. Playfair lava la main du prince dans une solution spéciale et lui demanda ensuite de s'en servir pour puiser du métal chaud. Le prince plongea la main dans le chaudron et en ramena du métal dans sa main - sans éprouver le moindre mal. Si le prince Albert pouvait avoir une telle foi en un scientifique de renom, combien plus nous devrions croire la parole de Dieu! Abraham croyait en la promesse de Dieu de faire de lui une grande nation, bien que lui et sa femme aient été âgés (Genèse 15:5-6 ; Hébreux 11:8-12). Il a donné un exemple que nous devrions suivre. « Il ne douta point, par incrédulité, au sujet de la promesse de Dieu; mais il fut fortifié par la foi, donnant gloire à Dieu » (Romains 4:20). Il n'est pas toujours sage de croire aux affirmations d'êtres humains faillibles, mais nous pouvons certainement croire aux enseignements, aux promesses et aux avertissements de Celui qui est véritablement digne de confiance. - V.C.G. -
 
Pensée: Les promesses de Dieu n'ont pas de date d'expiration.


jeudi 14 mars 2013

Avez-vous atteint la maturité?

Si un travail que vous avez commencé vous est enlevé pour être donné à quelqu'un d'autre, et que vous ne ressentez pas d'amertume: ça c'est de la maturité.

Si quelqu'un vous adresse des critiques, même sans gentillesse, et que vous pouvez écouter et en recevoir quelque enseignements sans ressentir de rancoeur: ça c'est de la maturité.

Si vous voyez une personne commettre un acte qui est contre vos principes chrétiens, et que vous pouvez ne pas vous sentir supérieur: ça c'est de la maturité.

Si un autre est choisi pour un poste lorsque vous êtes le mieux qualifié, et que vous n'êtes pas blessé dans votre orgueil: ça c'est de la maturité.

Si une personne persiste à argumenter un point de vue qui est contraire au vôtre, et que vous pouvez ne pas vous sentir ''satisfait'' de vous-même: ça c'est de la maturité.

Si vous pouvez subir une douleur agaçante et persistante, tout en gardant vos sentiments pour vous-même pour le bien-être d'une autre personne: ça c'est de la maturité.

Si vous pouvez vous déranger pour rendre service sans vous dire ''Moi, je suis pas mal bon '' :ça c'est de la maturité.

Si l'une de vos connaissances vous ignore volontairement, et que vous pouvez lui trouver des excuses pour ses actions: ça c'est de la maturité.

Si vous pouvez sortir du lit à une heure matinale pour prier, tout simplement que vous réalisez que c'est par la prière que la puissance de Dieu agit en vous: ça c'est de la maturité.

Si vous pouvez écouter l'autre avec votre coeur, vos yeux et vos oreilles, tout en l'évaluant avec amour et compréhension, sachant aussi quitter sans ouvrir la bouche: ça c'est de la maturité.

Si on vous dénigre, vous accuse faussement, vous ridiculise publiquement, vous range parmi les malfaiteurs, et que vous pouvez réagir sans être rempli d'amertume:
vous avez enfin atteint la maturité.

(Auteur inconnu)

mercredi 13 mars 2013

Comment affronter une autre journée

C'est ici la journée que l'Éternel a faite: qu'elle soit pour nous un sujet d'allégresse et de joie! Psaume 118:24
 
Pablo Casals, violoncelliste connu mondialement, a un jour rendu le témoignage percutant que voici: « Cela fait 80 ans que je commence chaque journée de la même manière. Je m'assieds au piano et je jour deux préludes et fugues de Bach. Je ne peux imaginer faire autrement. C'est une bénédiction pour la maison. Mais ce n'est pas sa seule signification pour moi. C'est une redécouverte du monde dont j'ai la joie de faire partie ».
Si un musicien consciencieux commençait ainsi ses journées, nous chrétiens - par la grâce fortifiante du Saint-Esprit - pouvons certainement consacrer chaque nouvelle journée à notre Seigneur. Où que nous soyons et quelle que soit notre situation, chaque jour nous pouvons décider de consacrer les heures devant nous à la gloire de Dieu, selon ce que David a écrit: « C'est ici la journée que l'Éternel a faite: qu'elle soit pour nous un sujet d'allégresse et de joie! » (Psaume 118:24) Si vous luttez avec la solitude ou la souffrance en soulevant une fois de plus votre fardeau, vous pouvez compter sur les ressources du Seigneur et être un témoignage vivant de ce qu'il pourvoit à tous vos besoins. Si vous êtes rempli d'actions de grâces et de louanges, vous pourrez parler aux autres de la bonté de Dieu. Jacques nous rappelle que nous ne savons pas ce qui arrivera demain (Psaume 4: 14). Raison de plus pour consacrer chaque journée à vous réjouir dans le Seigneur. - V.C.G. -
 
Pensée: Quand on connaît Jésus, on a toujours une raison de se réjouir.

L'épreuve de notre foi

"Mes frères, regardez comme un sujet de joie complète les diverses épreuves auxquelles vous pouvez être exposés, sachant que l'épreuve de votre foi produit la patience. Mais il faut que la patience accomplisse parfaitement son œuvre, afin que vous soyez parfaits et accomplis, sans faillir en rien."
(Jacques. 1.2-4)

Certains croient que les chrétiens fidèles sont exemptés des épreuves qui sont le lot du commun des mortels. Or, le seul moyen connu, c'est de ne pas venir au monde, et pour nous, c'est trop tard de toute façon ! L'Écriture ne nous enseigne pas cela. Elle nous affirme, au contraire, que l'épreuve est normale, et nous invite à considérer les bienfaits qu'elle peut nous apporter : "Bien-aimés, ne soyez pas surpris, comme d'une chose étrange qui vous arrive, de la fournaise qui est au milieu de vous pour vous éprouver. Réjouissez-vous, au contraire, de la part que vous avez aux souffrances de Christ, afin que vous soyez aussi dans la joie et dans l'allégresse lorsque sa gloire apparaîtra." (1 Pi. 4.12-13) Bien loin de regarder les épreuves comme un motif d'accablement et de découragement, aussi bien Jacques que Pierre nous invitent à nous en réjouir. Non, ce n'est pas du masochisme, mais une vision à long terme. Dans 1 Co. 9.24-25, Paul fait allusion au sportif qui accepte de souffrir en vue d'une couronne dans le stade. Comment les constructeurs d'hélicoptères osent-il suspendre tout l'engin avec sa lourde charge à un simple axe d'acier dont le diamètre, si vous le voyiez, vous laisserait rêveur ? Tout simplement parce que cet acier a subi de nombreux tests et contrôles. C'est un métal éprouvé ! Comment connaître la qualité de notre foi ? Par l'épreuve. L'apôtre Pierre, parlant de notre héritage céleste dit : "C'est là ce qui fait votre joie, quoique maintenant, puisqu'il le faut, vous soyez attristés pour un peu de temps par diverses épreuves, afin que l'épreuve de votre foi, plus précieuse que l'or périssable (qui cependant est éprouvé par le feu), ait pour résultat la louange, la gloire et l'honneur, lorsque Jésus-Christ apparaîtra, lui que vous aimez sans l'avoir vu, en qui vous croyez sans le voir encore, vous réjouissant d'une joie ineffable et glorieuse, parce que vous obtiendrez le salut de vos âmes pour prix de votre foi." (1 Pi. 1.6-9) Alors, allons-nous continuer à nous plaindre ? Fins de mois difficiles ; vieilles douleurs par temps de pluie ; patron et collègues injustes ; machine à laver qui fuit ; belle-mère hargneuse ; culasse de voiture qui rend l'âme, et j'en passe ! Faut-il encore rappeler que "toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu" (Rom. 8.28) ?
 
(Auteur inconnu)

mardi 12 mars 2013

Quand la main de Dieu est sur nous

Maintenant je suis heureux des souffrances que j'endure pour vous; je complète en ma chair ce qui manque aux souffrances du Christ, pour son corps, qui est l'Église. Colossiens 1: 24

Nous croyons sentir des appels dans notre vie de consécration, mais quand Dieu nous saisit véritablement, il envoie promener tous ces faux appels, il nous empoigne en nous faisant atrocement souffrir, et nous met tout à coup en présence d'une tâche dont nous n'avions aucune idée. Dans un éclair éblouissant nous voyons ce qu'Il veut de nous, et nous disons, comme Ésaïe : "Me voici, envoie-moi!"

Un tel appel n'est pas fondé le moins du monde sur notre sanctification personnelle : Dieu met Sa main sur nous, et fait de nous le pain rompu, le vin répandu. Pour écraser la grappe, il faut bien peser dessus. Nous protestons vivement contre les personnes ou les événements que Dieu charge de nous écraser. Si Dieu voulait seulement m'écraser Lui-même, de Sa propre main! Mais nous devons accepter les conditions où il plaît à Dieu de nous mettre au pressoir. Car la grappe ne donnera du vin qu'une fois écrasée.

Qui sait quelle est la main que Dieu avait chargée de vous saisir pour vous écraser? Vous ne vous êtes pas laissé faire, vous avez glissé entre les doigts, comme une bille. Le raisin n'est pas mûr : si Dieu vous avait écrasé, le vin aurait été âpre, terriblement. Pour servir d'instrument à la grâce de Dieu, il faut que Dieu vous ait transformé. Laissez Dieu agir, et il fera de vous le pain rompu et le vin répandu dont vos frères, les autres enfants de Dieu, pourront se nourrir.
 
(Auteur inconnu)

lundi 11 mars 2013

L'erreur

Ce qui m'est arrivé a plutôt contribué aux progrès de l'Évangile. Philippiens 1:12b
 
Une fois que nous décidons d'obéir à Dieu complètement, il est facile de présumer que la vie sera plus douce. Et, quand c'est le cas, nous pensons que cela prouve que nous sommes dans la volonté de Dieu. Si nous rencontrons des obstacles, toutefois, nous avons tendance à conclure que nous sommes  hors de la volonté de Dieu. Au lieu de remettre en question notre façon d'évaluer la situation, nous remettons en question notre consécration et parfois même Dieu. Un jour, un chrétien mû a dit: « C'est une erreur de croire que si nous obéissons à Dieu, tout ira bien. Être consacré à Dieu signifie le suivre, même quand les choses vont mal. En fait, a-t-il dit avec assurance, l'Évangile progresse à force de désastres et de souffrances.» Bien que Paul ait été emprisonné lorsqu'il a écrit aux Philippiens, ses épreuves ne l'ont pas alarmé. Son objectif était de prêcher l'Évangile, et il ne remettait pas en question cet objectif uniquement parce qu'il avait été arrêté. Il a profité au maximum des circonstances et proclamé Christ à ses ravisseurs. Ses chaînes avaient contribué aux progrès de L'Évangile (Phil. 1:12 à 14). Considérez vos dons et vos objectifs spirituels. Croyez-vous qu'ils sont de Dieu lorsque tout va bien, et les remettez-vous en question quand vous avez des difficultés? Ne vous laissez pas duper par l'erreur sur laquelle la vie est facile quand on obéit à Dieu. Dieu n'ôte pas les difficultés; il s'en sert pour votre bien et pour sa gloire. - J.E.Y. -
 
Pensée: Les mers calmes ne forment pas d'habiles marins.

La joie dans le désespoir

Quand je le vis, je tombai comme mort à ses pieds. Apocalypse 1:17
 
Même si, comme l'apôtre Jean, vous connaissez Jésus intimement, il peut arriver qu'il vous apparaisse soudain avec un aspect tout nouveau, et tel que vous tombiez comme mort à ses pieds. Il y a des moments où Dieu ne peut se révéler à nous que dans sa majesté. C'est cette terrible majesté qui produit en nous la joie dans le désespoir: courbés jusqu'à terre, nous savons que la main de Dieu seule pourra nous relever.

"II posa sur moi sa main droite." Dans notre accablement, nous sentons tout à coup le contact de Jésus-Christ. Ce n'est pas la main du juge, c'est la main de notre Père céleste. Ce contact à lui seul est un réconfort, une paix ineffable. "Les bras éternels sont au-dessous de toi" pour te soutenir, te consoler, te fortifier. Dès qu'on a senti ce contact, aucune crainte n'est plus possible. Du haut de sa gloire éternelle, le Seigneur Jésus s'abaisse jusqu'à moi, le plus insignifiant de ses disciples, pour venir me dire: "Ne crains pas, crois seulement". Quelle douceur et quelle tendresse!

Le désespoir ordinaire ne contient aucune joie, aucune espérance de quelque chose de meilleur. Mais il y a de la joie dans mon désespoir quand "je sais qu'en moi, c'est-à-dire dans mon être terrestre, on ne peut rien trouver de bon". Ma joie c'est de sentir que je n'ai plus, tel que je suis, qu'à m'anéantir devant Dieu, et que Lui seul pourra me relever. Dieu ne peut rien faire pour moi tant que je n'ai pas reconnu mon incapacité radicale.
 
(Auteur inconnu)

dimanche 10 mars 2013

La marque d'engagement de la grâce

Et l'Éternel ton Dieu circoncira ton coeur, et le coeur de ta postérité, pour que tu aimes L'Éternel ton Dieu de tout ton coeur et de toute ton être, afin que tu vives. Deutéronome 30:6
 
Nous voyons ici qu'est la vraie circoncision. L'Auteur en est '' l'Éternel, ton Dieu ''. Lui seul peut agir efficacement dans notre coeur, le dépouiller de ce qu'il a de charnel et de souillé. Faire que nous aimions Dieu de tout notre coeur et de toute notre âme est un miracle de grâce que, seul, le Saint-Esprit peut opérer. Pour cela, regardons au Seigneur uniquement, et ne soyons jamais satisfaits tant que nous resterons en deçà.
 
Cette circoncision ne s'opère pas sur la chair, mais sur le coeur. Elle est la marque essentielle de l'Alliance de grâce. L'amour de Dieu est le signe indélébile donné à la race élue. Par ce sceau secret, l'élection de grâce est confirmée au croyant. Que notre confiance ne repose pas sur un rite extérieur; qu'elle soit scellée dans notre coeur par l'opération du Saint-Esprit. Or Dieu veut faire cela en toi, '' afin que tu vives ''. L'affection de la chair donne la mort. Par la victoire sur la chair nous trouvons la vie et la paix. Si nous marchons selon l'Esprit, nous vivrons. Que L'Éternel notre Dieu achève son oeuvre de grâce dans notre nature, afin que dans le sens le plus complet du mot, nous puissions vivre pour le Seigneur.
 
(Auteur inconnu)

Les munitions du chrétien

Alors que tu étais sous le figuier, je t'ai vu. Jean 1:48.

Nous devons adorer Dieu partout où nous sommes, à chaque occasion, sous le figuier ou ailleurs. Nous nous imaginons que si nous étions tout à coup soumis à une grande épreuve, nous serions tout de suite à la hauteur. Mais l'épreuve ne créera rien de nouveau en moi, elle ne fera que révéler ce qui s'y trouve déjà. Vous ne serez à la hauteur, à ce moment-là, que si vous avez été fidèle dans la période de préparation, dans l'humble laboratoire de la vie quotidienne. II vous faut, à chaque instant, vous acquitter fidèlement de votre humble tâche, et quand l'épreuve viendra, elle fera voir ce qu'il y a en vous.

L'adoration, la prière, la communion avec Dieu, ce sont là nos munitions essentielles. Le moment viendra pour vous où vous ne pourrez plus vous recueillir sous votre figuier, où vous serez pris tout entier dans le fracas et dans le tumulte de la bataille, et où vous ne serez bon à quelque chose que si vous vous êtes entraîné dans votre solitude tranquille, sous votre figuier. Préparez-vous en ne négligeant aucune occasion pour entrer en communion avec Dieu, et quand la bataille viendra, Dieu pourra compter sur vous.

"Je ne puis pas, dites-vous, dans mes circonstances actuelles, vivre une vie spirituelle; je n'ai pas assez de temps pour prier, ni pour lire la Bible. Quand j'en aurai la liberté, tout ira bien." Eh bien, non, vous vous trompez. Si vous n'avez pas su profiter toujours de toutes les occasions pour adorer et pour prier, une fois sur le champ de bataille, non seulement vous ne serez bon à rien, mais vous serez, pour vos collaborateurs, un obstacle, un terrible embarras. C'est dans l'intimité de ses entretiens avec Dieu que le chrétien fabrique ses munitions.


(Auteur inconnu)

samedi 9 mars 2013

Le bien que la souffrance peut faire

Il m'est bon d'être humilié, afin que j'apprenne tes statuts. Psaume 119:71
 
L'affliction, quand on l'accepte avec humilité, peut être instructive, une discipline qui engendre une vie plus profonde et plus épanouie, selon ce que David a écrit: « Avant d'avoir été humilié, je m'égarais; maintenant j'observe ta parole » (Ps.119:67). Pierre renchérit en disant que l'affliction nous amène non pas à vivre pour nous-mêmes, « mais selon la volonté de Dieu » (1 Pierre 4:2). Loin d'être un obstacle à notre croissance spirituelle, la souffrance peut en être l'instrument - si nous nous laissons former par elle. Elle peut nous pousser plus près de Dieu et plus profondément dans sa Parole. C'est un moyen par lequel, dans sa grâce, il nous transforme à la ressemblance de son Fils, en nous donnant graduellement la compassion, le contentement, la tranquillité et le courage que nous désirons et demandons dans nos prières. Sans la souffrance, nous ne serions pas tout ce que Dieu veut que nous soyons. Sa force est la plus évidente dans la faiblesse humaine. Dieu vous a-t-il attiré à l'écart aujourd'hui pour vous instruire au moyen de la souffrance et de la douleur? Supportez patiemment cette formation, car il peut changer l'épreuve en bénédiction. Il peut s'en servir pour vous attirer plus près de son coeur et dans sa Parole, pour vous enseigner les leçons qu'il désire que vous appreniez et pour vous accorder sa grâce. Dieu fait de vous bien plus - quelque chose de bien mieux - que vous ne pensiez possible.
- D.H.R. -
 
Pensée: Tout ce que Dieu nous enseigne par la souffrance est un gain.

Ne doute pas, marche seulement

Pierre, marchant sur les eaux, s'avança vers Jésus. Mais, voyant que le vent était fort, il eut peur... Matthieu 14:29-30

Le vent était fort, les vagues étaient hautes avant que Pierre sortit de la barque pour aller vers Jésus. Mais Pierre n'y prenait pas garde : son Maître était là, il l'appelait à lui; Pierre, sans voir autre chose, marchait vers Jésus. Mais en chemin, il réfléchit que le vent était fort, et immédiatement il se mit à enfoncer. Pourtant le Seigneur pouvait lui donner le pouvoir de marcher dans le creux des vagues aussi bien qu'à leur sommet. Mais la condition indispensable, dans les deux cas, c'était de regarder au Seigneur Jésus et de se fier à Lui. Il nous arrive à nous aussi, de nous avancer pour aller vers Dieu; et tout à coup, nous réfléchissons au danger que nous courons, et nous nous mettons à enfoncer. Si vous avez clairement entendu l'appel du Seigneur, vous n'avez pas à vous préoccuper des circonstances qu'il a disposées et organisées pour vous. Elles sont là, c'est vrai, mais vous n'avez pas à vous laisser hypnotiser par elles, car alors vous seriez englouti, vous auriez perdu de vue votre Maître, et vous l'entendriez vous dire: "Homme de peu de foi, pourquoi as-tu douté ?" Quelles que soient vos circonstances, restez les yeux fixés sur Jésus, ayez en Lui pleine confiance. Si vous hésitez, ne fût-ce qu'une seconde, quand Dieu vous a parlé, tout est perdu. Surtout ne vous mettez pas à dire: "M'a-t-il vraiment parlé?" Jetez-vous en avant, sans penser à rien d'autre. Vous ne savez pas d'avance quand Dieu vous parlera. Mais dès qu'Il le fait, si faiblement que vous perceviez Sa voix, abandonnez-vous à Lui, et Sa voix deviendra toujours plus distincte.

(Auteur inconnu)

vendredi 8 mars 2013

Dans la banalité du terre à terre

...par beaucoup de patience, dans les tribulations, dans les calamités, dans les détresses. 2 Corinthiens 6:4
 
Il vous faut la grâce toute-puissante de Dieu pour avancer, lorsque vous n'avez ni vision, ni encouragement extérieur. Comment faire un pas en avant dans la piété, un pas de plus dans l'étude ou la lecture de la Bible, tout comme dans le travail à la cuisine? Comment faire un pas en avant dans l'accomplissement de votre devoir, quand vous n'avez ni inspiration, ni enthousiasme, et point de spectateurs? Pour faire ce simple pas, il faut beaucoup plus de grâce, s'accrocher bien plus encore à Dieu qu'il ne le faut pour prêcher l'Évangile.
Chaque chrétien doit, dans sa vie, participer à ce qui fut l'essence-même de l'Incarnation; il doit vivre cela dans la chair et le sang, y travailler dans la pratique. Nous sommes « à plat » quand nous ne sentons plus en nous ni élan, ni inspiration, mais seulement la monotonie de la vie quotidienne, des tâches banales et matérielles. La seule chose qui compte, dans notre longue marche au service de Dieu et des hommes, c'est le travail constant, persévérance et caché; et pour ne pas être écrasé par la vie, vivons en regardant sans cesse à Dieu. Demandez-lui de garder vos yeux sur le Christ Ressuscité, et les tâches les plus banales ne vous décourageront plus. Dégagez-vous continuellement de la mesquinerie, de la petitesse d'esprit, et ayez votre pensée fixée sur Jésus lavant les pieds de ses disciples.
 
(Oswald Chambers)

Vous arrive-t-il d'être troublé ?

Je vous laisse la paix, je vous donne Ma Paix. Jean 14:27

Nous pouvons à certains moments nous croire en paix, par pure ignorance des maux qui nous environnent. Mais quand nous avons pris contact avec la vie réelle, alors la paix intérieure est impossible pour nous, si nous ne la recevons pas directement du Seigneur Jésus. Quand notre Seigneur nous parle de paix, elle se réalise immédiatement pour nous, car ses paroles sont "Esprit et Vie". Ai-je reçu de Jésus ce calme parfait que Lui seul peut donner? Je vous donne Ma Paix. C'est une paix qui vient en nous lorsque nous regardons Son visage et que nous sommes illuminés par Sa sérénité.

Êtes-vous en ce moment douloureusement troublé? Êtes-vous ballotté sur les flots, dans la tourmente? Ou bien vous sentez-vous au milieu d'un désert aride, où vous grattez le sol, où vous retournez les rochers, sans pouvoir découvrir la moindre petite source? De toute manière, vous êtes altéré de paix, de joie, de réconfort. Regardez au Seigneur Jésus et recevez de Lui sa paix sereine. La preuve que vous êtes à Dieu, c'est justement que vous pouvez librement regarder à Jésus. Quand on n'est pas à Dieu, on ne peut regarder qu'à soi-même.

En ce moment même, regardez-vous à Jésus, pour qu'il vous éclaire et vous dirige dans chaque difficulté qui se présente? Il vous donnera Sa Paix, qui rayonnera de vous sur les autres. Si au contraire vous vous tracassez et vous vous laissez aller à l'inquiétude, vous annulez l'influence de Jésus, et vous faites tout ce qu'il faut pour être malheureux. Regardez à Jésus et vos perplexités s'évanouiront devant sa sereine simplicité. "Que votre cœur ne se trouble point."
 
(Auteur inconnu)