Ou méprises-tu les richesses de sa bonté, de sa patience et de sa longanimité, ne reconnaissant pas que la bonté de Dieu te pousse à la repentance ? Romains 2 : 4
Dans un de ses derniers « carnets » publié en 1968, le romancier Henry de Montherlant écrivait : « Mon aventure terrestre s'achève... Bientôt mon âme s'envolera et si le Dieu des chrétiens devait malgré tout être le bon, je suis bien tranquille. » Montherlant s'est-il suicidé sur cette équivoque ? Certes, le Dieu des chrétiens est le bon, il est unique, il n'y en a pas d'autre. Mais pour être tranquille, il faut avoir écouté et cru ce qu'il nous dit dans sa Parole, la Bible. Dieu, révèle la Bible, n'est pas le bon Dieu que certains se plaisent à imaginer, un Dieu qui finira par accueillir tout le monde. Tragique méprise ! Certes Dieu est bon, il est le Dieu sauveur qui veut que tous les hommes soient sauvés (1 Timothée 2 : 4). Encore faut-il dire « oui » à son appel, reconnaître qu'on a besoin d'être sauvé, croire en Jésus Christ pour être prêt à rencontrer Dieu. En effet si Dieu est bon, il est aussi le Dieu saint, qui condamne le péché. Il est le Dieu de vérité qui censure toute forme de mensonge et qui tiendra compte de la moindre injustice commise sur la terre. Ne nous y trompons pas, la bonté de Dieu n'est pas de l'indulgence. Elle nous presse de nous repentir, et de nous tourner vers Jésus pour recevoir le pardon de nos péchés. Nous pourrons alors connaître Dieu comme notre Père en Jésus Christ, un Père qui nous aime et prend soin de nous, chaque jour.
(La Bonne Semence)
(La Bonne Semence)