Tout le travail de l'homme est pour sa bouche, et cependant son âme n'est jamais satisfaite. Ecclésiaste 6 : 7
La fête bat son plein dans le parc de cet industriel, Gunther M., qui a si bien réussi. Les invités se pressent autour des buffets et félicitent le maître de maison pour l'organisation de cette soirée. " Vous avec de la chance, lui dit quelqu'un. Une affaire qui marche, une femme ravissante et des enfants magnifiques ! " Gunther répond : " Vous avez raison, ça ne va pas mal " mais tout à coup, sur un ton plus sérieux, il ajoute en désignant sa poitrine : " Mais ne me demandez pas comment à ça va là-dedans ". Voilà la question qu'il ne fallait surtout pas poser ! Quel aveu, terrible de lucidité, qui trahit le désarroi de cet homme. Le succès social et la réussite familiale craquent sous cette angoisse intérieure et ce mal-être indéfinissable qui mine beaucoup de nos contemporains. Ce ne sont pas en effet les succès professionnels ni les distractions de la vie sociale qui peuvent guérir ce malaise intérieur. Il n'y a qu'une personne qui puisse le faire et donner le vrai bonheur, c'est Jésus. Il voit la misère de ces cœurs, une misère qui se cache sous des apparences trompeuses. Il connaît leur soif d'absolu, de paix, de délivrance et lui seul peut donner une réponse à leurs besoins. Il suffit qu'ils s'adressent à lui en reconnaissant leur incapacité et qu'ils acceptent ce qu'il offre.
(La Bonne Semence)
(La Bonne Semence)
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