Au jour de ma détresse je crierai vers toi, car tu me répondras. Psaume 86 : 7
Un petit garçon a quelque chose à demander à son père, un homme d'affaires très occupé. Mais celui-ci est en réunion pour signer un nouveau contrat. Le garçon passe toutes les portes, et à la dernière il est arrêté par la secrétaire : « Interdiction d'entrer ! Il ne veut pas être déranger ! » « Moi, je ne dérange jamais mon papa ! » rétorque l'enfant, en franchissant la dernière barrière. Parfois nous avons l'impression de déranger Dieu. Peut-on déranger notre Père ? Quand Jairus se jette aux pieds du Seigneur Jésus au milieu de la foule, et le supplie de venir guérir sa fille mourante, Jésus le suit. Lorsqu'on vient annoncer au père la terrible nouvelle de la mort de son enfant, avec ces mots : « N'importune pas le maître », Jésus répond aussitôt : « Ne crains pas, crois seulement, et elle sera sauvée » (Luc 8 : 49-50). Quand les disciples disent : « Renvoie les foules », qui ont faim, il répondit : « Vous, donnez-leur à manger » (Matthieu 14 : 16). Et quand on lui apporte de petits enfants pour qu'il les bénisse, les disciples n'ont que des reproches à faire. Mais Jésus, indigné, leur dit : « Laissez venir à moi les petits enfants ; ne les en empêchez pas ». Et il les serre dans ses bras (Marc 10 : 13 à 16). Jésus est toujours disponible, de jour comme de nuit. Il a dit : « Celui qui vient à moi, je ne le mettrai pas dehors » (Jean 6 : 37). Allons à lui par la prière avec nos questions, disons-lui simplement nos faiblesses, ce qui nous charge. Recherchons-le aussi par la lecture de la Bible, il veut se révéler à nous. Nous ne le dérangerons jamais.
(La Bonne semence)
(La Bonne semence)
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