jeudi 24 décembre 2015

La véritable origine de Noel (partie 14)

Ceux qui changent les temps et la Loi

 
Le prophète Daniel (7 :8) parle d’une « petite corne » à propos de laquelle le verset 25 du même chapitre dit « …prononcera des paroles contre le Très-Haut, il opprimera les saints du Très Haut, et il espérera changer les temps et la loi ». Cette petite corne est une grande autorité religieuse qui tente d’imposer sa propre conception des dates et des célébrations sur un monde sans méfiance en remplacement des instructions claires de Dieu. Le mot hébreu utilisé pour « changer » signifie « transformer, altérer ou fixer ». Le mot traduit par « temps » signifie « occasions désignées, époques, moments ». Le mot hébreu traduit par « loi » signifie « décrets ou loi de Dieu ». Cette phrase fait référence à une autorité qui tente de transformer des occasions désignées et des époques définies dans la loi de Dieu. Noël est certainement un exemple important qui illustre comment une telle chose a été faite. Les instructions de Dieu ont été remplacées par les traditions des hommes. La citation suivante révèle comment cela s’est produit. Elle provient également de l’Encyclopédie Britannique sous la rubrique « Christianisme ». « Ainsi, la liturgie de Pâques a été développée davantage dans l’Église orthodoxe d’orient, et celle de Noël davantage dans l’Église catholique romaine…Le calendrier chrétien est une des institutions chrétiennes les plus répandues. La semaine de sept jours et le rythme des festivals chrétiens ont été acceptés même par les pays les moins chrétiens. Malgré de nombreuses tentatives énergiques d’introduire des semaines de travail variables, la semaine de sept jours avec le dimanche de congé n’a pu être éliminée même dans les pays communistes ayant une vue athée du monde. Même dans les cercles et organisations athées du monde, les fêtes chrétiennes jouissent d’une popularité incontestée en tant que jours de congé, spécialement Noël. » En vérité, ce sont les « politiciens ecclésiastiques » auxquels nous avons fait référence plus tôt qui ont cherché à imposer le calendrier « chrétien » moderne à un monde inconscient. Ce sont ces « leaders » qui ont « pensé changer les temps et la loi. »
 

Le dangereux pouvoir des mensonges.

 
Un des noms de Satan est Destructeur (Apocalypse 9 :11). Nimrod-Saturne-Moloch-Baal, tout comme Satan, est un dieu du feu qui détruit et dévore nos petits enfants. Le vrai Jésus-Christ n’a jamais été et ne sera jamais « dans » Noël ! On ne peut Le remettre là où Il n’a jamais été. Le « dieu de ce siècle », Satan (2 Corinthiens 4 :4) a toujours été dans Noël. Il en est l’auteur ! Le vrai Dieu nous commande de l’adorer « en esprit et en vérité » (Jean 4 :23-24). Cela ne cadre pas avec le grand mensonge de Noël et du Père Noël que tous les enfants croient si volontiers. 1 Timothée 4 :2 avertit ceux qui « enseignent hypocritement des faussetés », « portant la marque de la flétrissure (grec : cautériser) dans leur propre conscience ». Les parents peuvent « brûler » leurs propres enfants, leur laissant une profonde cicatrice, avec la supercherie et le mensonge de Noël ! On ne peut donner l’excuse du grand nombre de personnes qui observent Noël car Satan, qui est appelé « père du mensonge » et « meurtrier dès le commencement » (Jean 8 :44), « a séduit toute la Terre » (Apocalypse 12 :9) ! Trouvez et lisez ce verset. Et reconnaissez aussi le fait que Noël est sans contredit un témoignage de cette grande séduction. Par contre le Christ fait référence à Son Église en tant que « petit troupeau », (Luc 12 :32). Plusieurs autres versets illustrent aussi cela. Cette Église ne possède pas un grand nombre de fidèles comme les grandes dénominations chrétiennes bien établies de ce monde.

mercredi 23 décembre 2015

Des gens brillants

Vous êtes la lumière du monde. Matthieu 5 : 14
Il y a dans la société des gens qu'on appelle brillants. Intelligents, très cultivés, ils ont une opinion sur n'importe quel sujet et leur compagnie est appréciée. Nous en connaissons tous et peut-être sommes-nous un peu jaloux de leurs facultés intellectuelles et de leur rayonnement ! Amis chrétiens, nous n'avons aucune raison de les envier, car Dieu nous attribue aussi la faculté de '' rayonner ''. Tous les enfants de Dieu sans exception, tous ceux qui ont reçu la vie divine par la foi en Jésus Christ sont '' lumière dans le Seigneur ''. Leurs qualités personnelles n'y sont pour rien car la source de lumière n'est pas en eux ; ils ne font que refléter celle de Christ. Lui seul est '' la vraie lumière... qui, venant dans le monde, illumine tout homme '' (Jean 1 : 9). Dans tous les détails de sa vie, Jésus a manifesté cette lumière composée de bonté, de justice et de vérité. Maintenant qu'il est monté au ciel, il laisse tous ses rachetés sur la terre comme autant de miroirs pour reproduire ses qualités. Mais cette question se pose à chacun de nous, chrétiens : peut-on voir dans ma vie la lumière de Jésus Christ ? Un miroir sale et poussiéreux n'est pas efficace : ne nous laissons pas salir par le mal ni envahir par la poussière des mauvaises habitudes ! Écoutons cette exhortation de l'apôtre Paul : «  Que vous soyez sans reproche et purs, des enfants de Dieu irrépréhensibles, au milieu d'une génération dévoyée et pervertie, parmi laquelle vous brillez comme des luminaires dans le monde » (Philippiens 2 : 15).

(La Bonne Semence)

La véritable origine de Noel (partie 13)

Les pratiques païennes de l’ancien Israël dans les coutumes modernes.

 
Deutéronome 12 :2-4 précise un contexte important. Dieu y dit clairement : « Vous détruirez tous les lieux où les nations que vous allez chasser servent leurs dieux, sur les hautes montagnes, sur les collines, et sous tout arbre vert. … vous brûlerez au feu leurs idoles [bocages], … Vous n’agirez pas ainsi à l’égard de l’Éternel, votre Dieu. » Veuillez prendre note des références aux « arbres verts » et aux « bocages ». Il y a au-moins dix versets semblables dans l’Ancien Testament mentionnant les arbres verts » en association avec l’idolâtrie. Les historiens croient que le terme « vert » se réfère à ce qui demeure vert toute l’année, autrement dit, les arbres à feuilles persistantes ! À nouveau, examinons encore de près l’histoire et l’origine de quelques coutumes des saturnales encore pratiquées aujourd’hui. Voici une citation à donner le frisson et qui provient du Dictionary of Greek and Roman Antiquities, « Oscilla », 3e édition, volume II. « …tous s’appliquaient à fêter et à être joyeux, des présents étaient échangés entre amis, les foules remplissaient les rues en criant : « Voilà les saturnales ». Selon le poète païen Virgil, une offrande était présentée sous un arbre vert décoré. Des figurines et des masques, appelés oscilla, étaient suspendues dans l’arbre, tout comme dans les arbres de Noël d’aujourd’hui. L’histoire admet…qu’il n’y a aucun doute que ces oscilla représentassent les vestiges de sacrifices humains… » Est-ce que toutes ces choses vous semblent familières ? Des cadeaux, des chants dans les rues, des arbres verts, des décorations, des offrandes au pied de l’arbre, des réjouissances, festoyer. Elles peuvent sembler merveilleuses mais elles représentent des choses vraiment horribles. Les oscilla modernes ressemblent à de petits « anges » joufflus lorsqu’ils sont suspendus dans l’arbre. Quand j’étais jeune, je plaçais ces petits « bébés anges » dans l’arbre moi-même. Du moins je croyais qu’ils étaient des « bébés anges ». Quelle erreur je faisais ! Pensez-vous que quiconque parmi vos connaissances se rend compte de ce qu’ils sont ? Bien sûr que non — mais cela n’enlève pas le sérieux de la chose ni ne les rend moins mal aux yeux de Dieu ! Un paganisme flagrant dans l’Église. Une autre source permet de démontrer comment tout ceci en est venu à faire partie des coutumes observées « innocemment » par des millions de personnes — tout en étant loin d’être « innocent » aux yeux de Dieu. Lisez maintenant la citation de l’Encyclopédie Britannique, 15è édition, volume 10, pages 1062-63 : « La chrétienté…par un processus complexe et graduel…devint la religion officielle de l’empire (romain). Pendant un certain temps, les pièces de monnaies ainsi que d’autres monuments continuèrent de lier les doctrines chrétiennes avec l’adoration du soleil, pratique à laquelle Constantin s’était adonné auparavant. Mais même après cette période, le paganisme romain continua d’exercer d’autres influences permanentes, petites et grandes. Le calendrier ecclésiastique a conservé un grand nombre de souvenirs des festivals pré-chrétiens, notamment Noël, qui inclut un mélange d’éléments des saturnales et de l’anniversaire de Mithra. Mais plus encore, le branche dominante de la chrétienté occidentale doit à la Rome ancienne sa discipline qui a été le garant de sa forme et de sa stabilité. » Une autorité aussi réputée que l’Encyclopédie Britannique qui admet, pour tous ceux qui voudront bien le lire, que ce sont les saturnales et la Rome ancienne qui ont défini la « discipline, la stabilité et la forme » de la chrétienté occidentale ! Ceci est une admission pour le moins renversante ! Voici une autre citation très forte, sous la rubrique « Christmas » du New Schaff-Herzog Encyclopedia of Religious Knowledge, qui révèle la façon dont ce festival idolâtre et païen s’est infiltré dans le monde « chrétien ». (Partout dans le texte, c’est nous qui traduisons). « À savoir jusqu’à quel point la date du festival dépendait de la fête de Brumalia (25 décembre), qui suivait immédiatement les saturnales (17 au 24 décembre) et, qui célébrait le jour le plus court de l’année et fêtait le « soleil nouveau »…ne peut être déterminé avec précision. Les saturnales et la fête de Brumalia étaient trop profondément implantées dans les coutumes populaires pour être mis de côté par l’influence chrétienne…Le festival païen avec ses réjouissances et ses émeutes était si populaire que les chrétiens du temps furent heureux d’avoir une excuse leur permettant de continuer sa célébration avec peu de changement dans l’esprit de la fête comme dans la façon de la célébrer. Les prédicateurs chrétiens de l’Ouest et du Proche-Orient ont protesté contre cette frivolité déplacée avec laquelle l’anniversaire de la naissance du Christ était célébré, alors que les chrétiens de Mésopotamie accusèrent leurs frères de l’ouest d’idolâtrie et d’adoration du soleil parce qu’ils avaient accepté comme chrétien ce festival païen. » Une source additionnelle révèle comment l’église romaine a absorbé Noël en tant que célébration officielle. L’Encyclopédie Britannique, édition 1946, dit : « Noël ne faisait pas partie des premiers festivals de l’église…Certains Latins, aussi tôt qu’en 354, ont peut-être transféré l’anniversaire du 6 janvier au 25 décembre qui était alors une fête mithriaque…ou l’anniversaire du SOLEIL invincible…Les Syriens et les Arméniens, qui retinrent le 6 janvier, accusent les Romains d’adoration du soleil et d’idolâtrie, soutenant…que la fête du 25 décembre avait été inventée par les disciples de Cérinthus… » C’est de cette façon qu’un festival païen, célébré longtemps avant la naissance du Christ, fit son chemin jusque dans la chrétienté reconnue. Saviez-vous qu’au dix-septième siècle, même les Puritains de la Nouvelle-Angleterre savaient à quel point Noël était mauvais ? Ils en ont défendu l’observance par une loi, en 1659, dans toute la colonie de la Baie de Massachussetts. Ceux qui l’observaient étaient passibles d’amendes et de la prison. Cela prit 200 ans (1856) avant que les gens cessent de travailler le jour de Noël à Boston. Les Puritains en connaissaient l’origine et la considéraient comme « païenne et comme une fête papiste idolâtre ».

mardi 22 décembre 2015

Ton Dieu te réchauffera

Ne vous y trompez pas ; on ne se moque pas de Dieu. Ce qu'un homme aura semé, il le moissonnera aussi.
Galates 6 : 7
Erino Dapozzo (1905-1974) était un chrétien convaincu. Il travaillait comme ouvrier sur un chantier. À cause de sa foi, il était la cible de nombreuses moqueries de la part de ses camarades. Son patron, en particulier, n'avait aucun respect pour Dieu, et ne manquait pas une occasion de l'affirmer. Un jour de grand froid, celui-ci vint avec une camionnette chercher ses ouvriers. Tous se dépêchèrent de prendre place à l'intérieur de la cabine. Mais il manquait une place... Le patron désigna la benne du véhicule à Dapozzo, avec ces mots ironiques : « Ton Dieu te réchauffera ! » Notre ami prit place à l'extérieur de la cabine, et on démarra. Le trajet devait durer plus d'une demi-heure, et il grelottait de froid, sous le regard moqueur de ses collègues. « À quoi lui servait sa foi ? Eux, au moins, ils étaient à l'abri, ils avaient chaud ! » pensaient-ils. Mais au bout d'un moment, la camionnette arriva au bord d'un fleuve et dut emprunter un pont provisoire. Le chauffeur dit une fausse manœuvre, la camionnette glissa, heurta le parapet, et... tomba dans l'eau. Les ouvriers n'eurent pas le temps de s'extraire de la cabine, et périrent tous. Dapozzo, plongé brusquement dans la rivière, nagea vigoureusement pour gagner la rive... Arrivé à terre, seul rescapé, il allait pouvoir se réchauffer ! Amis chrétiens, ne craignons pas de lever notre drapeau. Même si la foi semble, pour un moment, perdre la partie, Dieu aura toujours le dernier mot. Il prépare la délivrance pour ceux qui mettent leur confiance en lui. C'est un Dieu fidèle !

(La Bonne Semence)

La véritable origine de Noel (partie 12)

Mélanger l’adoration du vrai Dieu et les fausses pratiques.

 
Le mot moderne pour expliquer le mélange de fausses pratiques païennes et l’adoration du vrai Dieu est syncrétisme. Quiconque faisait une telle chose dans l’ancien Israël était mis à mort (Lévitique 18 :21, 29) ! C’était très sérieux ! 2 Rois 17 :33 nous donne un aperçu de la façon dont la nation d’Israël pensait et croyait, dans son esprit, adorer Dieu : « Ainsi ils craignaient l’Eternel, et ils servaient leurs dieux d’après la coutume des nations d’où on les avait transportés. » Avez-vous bien saisi ceci ? Oui, ils craignaient Dieu pendant qu’ils servaient d’autres dieux. Pas étonnant que le verset qui suit immédiatement (34), dise qu’en réalité «, « ils ne craignent POINT l’Eternel » selon la voie qu’il a prescrite. Voilà la façon dont Dieu voit les gens se comporter aujourd’hui, malgré tout ce qu’ils peuvent penser de leurs actions en copiant d’anciennes pratiques païennes ! Le verset 30 dit que tout cela avait été appris au contact des « gens de Babylone » (parmi d’autres) dont le dieu principal, nous nous en souviendrons, était Nimrod, — Baal ou Moloch —, qui nous le savons maintenant, était la même personne.
Constatez jusqu’à quel point l’avertissement de Dieu est spécifique dans Deutéronome 12 :29-31, et la raison pour laquelle Il les avertissait ! « Lorsque l’Eternel, ton Dieu, aura exterminé les nations que tu vas chasser devant toi… et que tu te seras établi dans leur pays, garde-toi de te laisser prendre au piège en les imitant, après qu’elles auront été détruites devant toi. Garde-toi de t’informer de leurs dieux et de dire : Comment ces nations servaient-elles leurs dieux ? Moi aussi, je veux faire de même. Tu n’agiras pas ainsi à l’égard de l’Eternel, ton Dieu ; car elles servaient leurs dieux en faisant toutes les abominations qui sont odieuses à l’Eternel, et même elles brûlaient au feu leurs fils et leurs filles en l’honneur de leurs dieux. » Plusieurs autres versets, semblables à Deutéronome 12, devraient être étudiés. Voyez Exode 34 :10-17 ; 23 :23-33 ; Lévitique 20 :22-26 ; Deutéronome 20 :13-18, etc. Le véritable Dieu savait que servir d’autres dieux menait toujours à leur sacrifier les enfants ! Deutéronome 12 :32 dit clairement que Dieu ne veut pas que nous mélangions Ses voies avec quelque fausse voie. « Vous observerez et vous mettrez en pratique toutes les choses que je vous ordonne ; vous n’y ajouterez rien, et vous n’en retrancherez rien. » Voilà les paroles claires que Dieu adresse à tous ceux qui disent qu’ils peuvent mélanger les coutumes horribles du paganisme tout en conservant « l’emphase sur le Christ. »

lundi 21 décembre 2015

Avez-vous mis le comble à votre amour pour Jésus ?

Mais Jésus dit : « Laissez-la. Pourquoi lui faites-vous de la peine ? Elle a fait une bonne action à mon égard. Marc 14 : 6
Si l'amour humain ne peut pas emporter l'homme au-delà de lui-même, ce n'est pas de l'amour. Si l'amour est toujours discret, toujours raisonnable, toujours sensé et calculateur, jamais extravagant ni impétueux, ce n'est pas de l'amour. C'est peut-être de l'affection, ou un sentiment de tendresse, ce n'est pas de l'amour. M'est-il arrivé, par amour pour Dieu, d'être emporté, poussé à faire quelque chose, non par devoir, ni par nécessité, mais tout simplement pour lui témoigner mon amour ? La pensée m'est-elle venue que je puisse donner à Dieu des choses qui ont de la valeur à ses yeux ? Ou bien, est-ce que je rêve à la magnificence de la Rédemption, alors qu'il y a tant à faire ? Peut-être pas des choses sublimes ou colossales qu'on pourrait raconter avec émerveillement, mais des actions toutes simples et ordinaires, qui prouveront à Dieu que je suis à lui ? Ai-je donné au Seigneur Jésus la douce joie que Marie de Béthanie lui a procurée, ce jour-là ? Il semble parfois que Dieu aspire à recevoir, de notre part, des preuves d'un amour authentique. S'abandonner à Dieu vaut mieux que rechercher la sainteté personnelle qui nous amène à être hypnotisés par notre propre pureté. Dans la crainte d'offenser Dieu, nous sommes préoccupés par la manière dont nous marchons, parlons ou regardons. Or, l'amour parfait chasse toutes ces craintes ! Ne nous demandons plus si nous sommes utiles ou non. La question n'est pas d'être utile, mais d'avoir une valeur aux yeux de Dieu. Alors il se servira continuellement de nous, si nous savons nous abandonner à lui.

(Oswald Chambers)

La véritable origine de Noel (partie 11)

L’origine des couronnes, de la bûche et du gui

 
L’Encyclopedia Americana dit : « Le houx, le gui, la bûche de Noël…sont des vestiges de l’ère pré-chrétienne. » Autrement dit, du paganisme ! La bûche (de Noël) faisait partie d’un rite Teuton d’adoration de la nature. Le livre de Frederick J. Haskins ajoute : « Les autorités croient que l’utilisation des couronnes de Noël tire leur origine des coutumes païennes de décoration d’édifices et des endroits de culte pendant la fête qui se tenait pendant la même période que Noël. » L’Encyclopédie Britannique, sous la rubrique « Celastrales », révèle l’origine des couronnes : « Les païens d’Europe apportaient dans leurs demeures des gerbes, offrant ainsi aux êtres féériques des bois un refuge pendant la dure période hivernale. Pendant les saturnales, la fête hivernale romaine, des branches de houx étaient échangées en gage d’amitié. Les premiers chrétiens romains auraient apparemment utilisé le houx en tant que décoration pendant la période de Noël. » Il existe des douzaines de types de houx. Presque tous se présentent sous une variété mâle ou femelle comme la « Blue Prince et Blue Princess », ou la « Blue Boy et la Blue Girl » ou la « China Boy et China Girl ». Les plantes de houx femelles ne peuvent porter de fruits à moins qu’un plant mâle à proximité les ait pollenisées. Il est aisé de voir pourquoi la couronne de houx a été adoptée dans les rituels païens en tant que signe d’amitié et de FERTILITÉ ! Noël ne serait pas complet pour certains à moins d’échanger « un baiser sous le gui ». Cette coutume païenne allait de soi lors d’une nuit de festivités tenue dans un esprit d’ivrognerie. Tout comme aujourd’hui, les « baisers » étaient échangés au tout début des célébrations des saturnales, ou, de nos jours, de Noël. Je n’oublierai jamais l’obligation à laquelle j’étais tenu d’embrasser la mère de mes amis en entrant dans chacune de leur maison le jour de Noël. C’était la première chose que nous faisions. Je détestais cela, mais c’était quelque chose qu’il « fallait faire » !Le gui était supposé avoir des pouvoirs de guérison spéciaux pour ceux qui « s’amusaient » en dessous. L’Encyclopédie Britannique, sous la rubrique « Santalales » dit : Le gui européen est supposé avoir eu une signification rituelle spéciale lors des cérémonies druidiques et possède toujours, dans le folklore d’aujourd’hui, un statut particulier, en tant que gui de Noël, qui nous vient du temps des Anglo-Saxons ». Le gui est un parasite qui vit sur le chêne. (Rappelez-vous que les druides adoraient les bocages de chênes). Les anciens Celtes (associés aux druides) avaient pour habitude de donner du gui en tant que remède aux animaux stériles afin de les rendre fertiles. Sa signification en langue celte est toujours : « la plante qui guérit tout ». Tout comme le gui, les fruits de houx étaient considérés sacrés pour le dieu soleil. La « bûche du soleil » originelle (sun log) en est venue à être appelée la bûche de Noël (yule log) simplement parce que le mot « Yule » (bûche) signifie « roue », symbole païen qui depuis longtemps représente le soleil. Quelle que soit la culture, l’origine de la fête est la même. Seuls certains symboles diffèrent selon les cultures. Voici ce que dit l’Encyclopedia Universalis au sujet de Noël : « Fête solennelle de la naissance de Jésus-Christ, Noël est célébré le 25 décembre dans toutes les Églises chrétiennes depuis le IVe siècle. À cette époque, cette date était alors celle de la fête païenne du solstice d’hiver appelé « Naissance (en latin, Natale) du soleil », car celui-ci semble reprendre vie lorsque les jours s’allongent… ». (« Natale » est la racine du mot Noël).

dimanche 20 décembre 2015

Le remède contre la rêverie

Levez-vous, partons d'ici. Jean 14 : 31
Rêver d'une chose pour pouvoir l'exécuter correctement, est fort bien, mais rêver encore quand ce serait le moment d'agir, est mal. Après que notre Seigneur eût dit à ses disciples tant de choses merveilleuses, il nous semble qu'il aurait pu les envoyer méditer sur tout cela ; mais il n'encourage jamais la '' rêvasserie ''. Quand nous cherchons, devant Dieu, ce qu'il veut que nous fassions, il est juste de rêver. Mais si nous prenons l'habitude de passer notre temps en rêves avant de faire ce qui nous est ordonné, c'est une fort mauvaise chose, et Dieu ne peut pas nous bénir. L'inspiration qui nous vient de Dieu coupe court à ces songes creux : « ne t'assieds pas, ne reste pas là, mais va !... ». Si nous nous tenons tranquillement en présence de Dieu, et s'il nous dit : « Venez vous-mêmes à l'écart », c'est qu'il nous demande de méditer, pour mieux discerner le chemin qu'il nous trace ; mais prenez garde de ne pas vous laisser aller à la rêverie une fois que Dieu a parlé. Qu'il soit la source de vos pensées, de vos joies et de vos délices ; et vous, allez et faites sa volonté. Lorsqu'on est amoureux, on ne passe pas tout son temps à rêver à celle qu'on aime ; on cherche à faire quelque chose pour elle. Continuer à rêver quand Dieu nous a parlé prouve que nous n'avons pas confiance en lui.

(Oswald Chambers)

La véritable origine de Noel (partie 10)

L’origine de l’arbre de Noël

 
Aucune brochure au sujet de Noël ne serait complète sans une explication à propos de « l’arbre de Noël ». Jusqu’à maintenant nous n’avons qu’effleurer le sujet. L’arbre de Noël moderne a eu son origine en Allemagne. Mais les Allemands l’ont eu des Romains qui, eux, l’ont eu des Babyloniens et des Égyptiens. Ce qui suit démontre ce que les Babyloniens croyaient à propos de l’Origine de l’arbre de Noël : « Une vieille fable babylonienne parle d’un arbre « toujours vert » qui était sorti de la souche d’un arbre mort. La souche était le symbole de Nimrod, mort, le nouvel arbre symbolisait Nimrod revenu à la vie en la personne de Thammuz ! Chez les druides, le chêne était sacré, chez les Égyptiens c’était le palmier, et chez les Romains c’était le sapin que l’on décorait avec des fruits rouges pendant les saturnales ! (Walsh, Curiosities of Popular Customs, p. 242). Le livre de Frederick J. Haskins intitulé « Answers to Questions dit : « L’arbre de Noël provient d’Égypte et son origine date d’une période bien antérieure à l’ère de Noël ». Saviez-vous cela… que l’arbre de Noël a précédé de longtemps le christianisme ?La majorité des coutumes de Noël ne sont pas mentionnées dans la Bible. La raison principale étant, bien entendu, qu’elles ne viennent pas de Dieu. Elles ne font pas partie de la façon dont il veut que les gens l’adorent. L’arbre de Noël par contre est directement mentionné dans la Bible ! Lisez Jérémie 10 :2-5 : « Ainsi parle l’Éternel : N’imitez pas la voie des nationsCar les COUTUMES des peuples ne sont que VANITE. On coupe le bois [l’arbre] dans la forêt ; la main de l’ouvrier le travaille avec la hache ; on l’embellit avec de l’argent et de l’or, on le fixe avec des clous et des marteaux, pour qu’il ne branle pas. Ces dieux sont comme une colonne massive [un palmier], et ils ne parlent point ; on les porte, parce qu’ils ne peuvent marcher. Ne les craignez pas (comme dieu), car ils ne sauraient faire aucun mal, et ils sont incapables de faire du bien. » C’est une description de l’arbre de Noël moderne. Dieu y réfère en disant « la voie des nations ». D’une manière aussi directe, il commande à Son peuple de ne pas « [imiter]… la voie des nations ». Il dit que ces coutumes ne sont que « vanité ». Le verset 23 affirme d’une façon remarquable et puissante : « Je le sais, Ô Éternel ! La voie de l’homme n’est pas en son pouvoir ; Ce n’est pas à l’homme, quand il marche, à diriger ses [propres] pas. » Dieu doit enseigner aux gens la façon de vivre. Ils ne sont pas capables de comprendre par eux-mêmes ce qu’il faut faire.

samedi 19 décembre 2015

Un témoignage venu du Cambodge

Car je n'ai point honte de l'Évangile de Christ ; c'est une puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit.
Romains 1 : 16
 
Enrôlé par les Khmers rouges à l'âge de 17 ans, Bao est complètement traumatisé par la guerre. Il a vue ses meilleurs amis se faire tuer. Un jour, son unité capture un soldat ennemi à qui on demande s'il a une dernière volonté. Le prisonnier ne demande pas une cigarette comme à l'accoutumée mais plutôt qu'on lui lise un passage du livre qu'il a dans sa poche. Bao commence à lire à haute voix : « Jésus dit... » Mais il ne peut aller plus loin ; il est interrompu par une bruit de tonnerre. Un hélicoptère de combat les attaque. Dans la confusion qui suit, le  prisonnier s'échappe. Le lendemain, Bao demande au chef de son unité : « Qu'est-ce que Jésus a dit ? » Ce dernier le regarde d'un air ahuri. Bao continue : « Écoute, c'est sans doute quelque chose d'important pour que ce gars ait voulu l'entendre avant de mourir ». Son chef se met en colère et lui dit qu'il va en parler au commissaire politique. Bao sait que maintenant il va avoir de sérieux ennuis. Mais ce jour-là, sa troupe est attaquée et Bao est le seul survivant. Il reste soldat quatre ans de plus. Chaque jour, il se demande '' ce que Jésus a dit ''. Finalement, il trouve une Bible. Bao témoigne : « J'ai finalement réussi à lire ce que Jésus avait dit, et j'ai décidé que moi aussi je voulais mourir avec ces paroles ». Et il ajoute : « Dieu voulait me sauver ; il m'a épargné pour que je puisse entendre ce que Jésus a dit ». Le message de Jésus est vivant et il s'adresse à chacun de nous.

La véritable origine de Noel (partie 9)

Les Écritures permettent-elles les échanges de cadeaux ?

 
Les marchands disent régulièrement que 60% de leur chiffre d’affaires se réalisent pendant la saison de Noël. Cela représente l’achat d’un nombre extraordinaire de cadeaux. Plusieurs croient que la coutume de donner des cadeaux provient de l’exemple des « trois rois mages » (la Bible ne dit pas combien ils étaient) faisant des dons au Christ. Est-ce bien vrai ? D’où vient cette coutume, et qu’en dit la Bible ?
La Bibliotheca Sacra, volume 12, pages 153-155, dit : « L’échange de présents entre amis est une caractéristique de Noël et des saturnales, et a du être adopté des païens par les chrétiens comme le montre clairement l’avertissement de Tertullien. » Comme tout autre aspect de Noël, la vérité brutale est que même cette soi-disant coutume chrétienne ne vient pas de la Bible. Ironiquement, les gens aiment croire qu’ils suivent l’exemple des rois mages faisant des présents au Christ alors qu’en fait, ils se donnent des cadeaux presqu’exclusivement l’un à l’autre ! Quelle hypocrisie ! Le Christ est complètement oublié. En fait la Bible enseigne que les chrétiens ne doivent pas observer les anniversaires de naissance. Plusieurs passages illustrent ce principe clairement. (Lisez notre article « Les anniversaires de naissance sont-ils des célébrations chrétiennes ? ») Que penseriez-vous si vous aviez été invité pour fêter votre anniversaire et, qu’une fois sur place, vous constatiez que tous s’échangent des cadeaux sans se préoccuper de vous ? Cela semblerait plutôt ridicule ! Si cela arrivait vous diriez que les gens sont égoïstes en vous oubliant de la sorte. La vérité est que la plupart des gens font des cadeaux aux autres à Noël simplement parce qu’ils s’attendent à en recevoir eux-mêmes ! Retournons brièvement aux « rois mages » qui ont fait des présents au Christ. Les passages qui décrivent cela se retrouvent dans Matthieu 2 : 1-11. « Jésus étant né à Bethléhem en Judée, au temps du roi Hérode, voici des mages d’Orient arrivèrent à Jérusalem, et dirent : Où est le roi des Juifs qui vient de naître ?… Ils entrèrent dans la maison, virent le petit enfant avec Marie, sa mère, se prosternèrent et l’adorèrent ; ils ouvrirent ensuite leurs trésors, et lui offrirent en présent de l’or, de l’encens et de la myrrhe. » On croit d’une façon générale que ces présents étaient des cadeaux d’anniversaire pour « l’enfant Jésus ». Mais est-ce bien ce que la Bible dit ? Absolument pas ! En premier lieu, on doit noter qu’ils ont donné les présents à Jésus. Ils ne se tenaient pas devant lui en s’échangeant des cadeaux ou en en donnant à d’autres. Les présents Lui furent donnés. De plus, ils arrivèrent bien après son « anniversaire de naissance ». Ceci est une raison supplémentaire pour laquelle ce ne pouvait être des « cadeaux d’anniversaire. » Une des plus anciennes coutumes de l’Orient est d’offrir des cadeaux lorsque quelqu’un se retrouve en présence d’un roi. Ces personnes savaient qu’elles étaient en présence du « Roi des Juifs ». La Bible cite plusieurs exemples de personnes envoyant des cadeaux aux rois ou leur remettant en arrivant en leur présence. C’est une coutume courante de nos jours lorsqu’un ambassadeur ou d’autres personnes se retrouvent en présence d’un dirigeant du monde. En dernier lieu, notez ce que dit le « Adam Clarke Commentary » volume 5, p. 46, à propos de ce qui s’est réellement passé à cette occasion : « Verset 11. Ils Lui offrirent [des présents].Les gens de l’Orient n’approchent jamais des rois ou des personnages de renom sans avoir un présent dans leurs mains. On peut souvent remarquer cette coutume dans l’Ancien Testament, et elle a toujours cours en orient de nos jours ainsi que dans certaines îles nouvellement découvertes des mers du sud. » Des présents étaient couramment faits aux rois. Quoi de plus simple ?

vendredi 18 décembre 2015

La Bible et le portable

Ta parole est une lampe à mes pieds, et une lumière sur mon sentier. Psaume 119 : 105
Quel changement dans notre vie si nous utilisions notre Bible de la même manière que notre téléphone portable ! Nous l'aurions toujours avec nous, à portée de main, dans notre sac, notre poche... Nous n'hésiterions pas à aller la chercher si nous l'avions oubliée à la maison ou au travail. Nous la consulterions plusieurs fois par jour pour guetter l'arrivée d'un message ou y répondre. Nous ferions appel à elle si un problème se présentait, pour avoir de l'aide. Notre premier réflexe en cas d'urgence serait de la consulter. Et, bien mieux que notre téléphone portable, la Bible a toujours un réseau disponible. Ses messages sont toujours d'une actualité surprenante et s'appliquent directement à des situations du quotidien. Ils sont aussi paroles de vérité, de consolation, d'espérance :
« Ne crains pas, crois seulement »
(Marc 5 : 36)
« Va avec cette force que tu as »
(Juges 6 : 14)
« Tous ont péché »
(Romains 3 : 23)
« Ma grâce te suffit »
(2 Corinthiens 12 : 9)
« Celui qui vient à moi, je ne le mettrai pas dehors »
(Jean 6 : 37)
« Je viens bientôt »
(Apocalypse 3 : 11)
Rien ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu, qui est dans le Christ Jésus notre Seigneur (Romains 8 : 39)

(La Bonne Semence)

La véritable origine de Noel (partie 8)

Qu’en est-il du mythe du Père Noël ?

 
Avez-vous déjà pensé que vous pourriez être en train de faire passer vos enfants par le feu, les sacrifier, (d’une manière différente toutefois) en observant la fête de Noël, tout en essayant sincèrement de mettre « l’emphase sur le Christ » ? Les parents soutiennent qu’ils doivent observer tout le mythe de Noël à cause de leurs enfants ! Les traditions de Noël se concentrent principalement sur les enfants qui deviennent le centre de pratiquement tout ce qui se déroule. Je le sais car j’ai fêté dix-sept Noël. Ma sœur aînée, mon jeune frère et moi recevions beaucoup et donnions très peu à cette occasion, et tout commençait par le mensonge à propos du Père Noël. Il y a de cela quelques années, un prêtre du New-Jersey dit aux élèves de sa classe du dimanche que le Père Noël était un mythe. L’indignation des parents et de ses superviseurs fut instantanée. Il venait de « tuer le Père Noël ». Il avait « détruit la tradition familiale » ! Il avait « usurpé l’autorité familiale, » disait l’article. Il fut censuré par ses supérieurs pour avoir été « trop zélé et insensible. » Son crime ? Avoir dit la vérité !
Selon « l’Encyclopedia of World History » de Langer (article Santa), le nom de ce personnage était un surnom commun de Nimrod en Asie mineure. C’était aussi le même dieu du feu qui descendait dans les cheminées chez les anciens païens et le même dieu du feu pour qui des enfants étaient brûlés et mangés lors des sacrifices humains pratiqués par ceux qui jadis avaient été le peuple de Dieu.
Aujourd’hui le nom de Santa Claus vient de « Saint Nicolas ». En 1809, Washington Irving fut responsable d’avoir transformé le sévère et vieil évêque original en un nouveau et « joyeux St-Nick » dans son Knickerbocker History of New York. (La plupart des traditions de Noël de l’Amérique sont encore plus récentes que cela). L’expression anglaise « Old Nick », que l’on retrouve d’ailleurs dans le dictionnaire, est depuis longtemps reconnue comme un surnom du diable. Dans Apocalypse 2 :6 et 15, la Bible traite du sujet de la « doctrine des Nicolaïtes ». à propos de laquelle le Christ dit qu’il la hait. Analysons le terme Nicolaïtes. Cela signifie « disciple de Nicolas ». Nikos signifie « conquérant, destructeur ». Laos signifie « peuple ». Les Nicolaïtes sont donc ceux qui suivent le conquérant ou destructeur — Nimrod. Si jamais vous aviez cru qu’observer Noël est une coutume chrétienne sans conséquence, alors permettez à ces vérités de s’imprégner dans votre esprit.

jeudi 17 décembre 2015

Doit-on avoir peur des forces occultes ?

Reste avec moi, ne crains rien, car celui qui cherche ma vie cherche la tienne ; près de moi tu seras bien gardé.
1 Samuel 22 : 23
Adolescente, j'avais lu un livre qui parlait de choses mystérieuses, de puissances occultes à la fois terribles et fascinantes. J'en avais peur et, pour finir, j'en parlai à mon père. « Oui, me répondit-il, ces choses existent et font peur. Mais Marie, tu es chrétienne, tu appartiens à Jésus Christ. Souviens-toi que ton Maître est plus puissant que toutes les forces du mal. Imagine que tu vas voir une de tes amies. Dans la cour il y a un chien qui aboie avec rage dès que tu t'approches du portail. Bien sûr tu n'oses pas entrer ! Mais voici qu'un homme sort de la maison, fait taire le chien avec autorité et t'invite à entrer. Tu peux alors avancer sans crainte. À côté du maître tu ne risques rien, même si le chien gronde encore. Mais attention, si tu quittes la présence du maître, surtout si tu vas te promener près de la niche du chien, tu risques d'être mordue ! »  Quel bonheur de savoir que Jésus est vainqueur du diable et de tout ce qui lui est associé ! Le nom de Jésus met en déroute les puissances du mal ; elles reculent devant lui, comme l'obscurité devant la lumière. Si nous nous trouvons malgré nous dans une situation qui nous effraye, alors, prions le Seigneur avec conviction, et il nous délivrera. Sa présence est un sûr rempart contre le mal. Mais si nous avons contact volontairement avec le monde occulte, nous en subirons l'influence, notre joie disparaîtra, et les doutes viendront assaillir notre esprit. Veillons donc et restons près du Seigneur : avec lui nous sommes toujours du côté du plus fort.

(La Bonne Semence)

La véritable origine de Noel (partie 7)

Les druides et les sacrifices humains.

 
Plusieurs ont entendu parler des druides. Peu savent qui ils étaient ou ce qu’ils étaient. Nous ferons allusion à eux plus bas et verrons ce qui les relie à certaines pratiques de Noël bien connues. Nous devons d’abord établir quel était leur rôle dans les sacrifices humains.
Jules César est une des sources d’information les mieux connues sur les druides. Ce qui suit est tiré de l’Encyclopédie Britannique. Cette citation, sous la rubrique « Druides », explique clairement qui ils étaient : « Druides, la classe instruite des anciens Celtes, dont le nom signifie Connaître (ou Trouver le chêne). On dit qu’ils fréquentaient les forêts de chênes et agissaient en tant que prêtres, enseignants et juges. Les archives les plus anciennes au sujet des druides proviennent du troisième siècle av. J.-C…Les druides étaient en charge des sacrifices publics et privés et plusieurs jeunes hommes allaient vers eux pour être instruits. Ils jugeaient toutes les querelles privées et publiques et prononçaient les sentences…La principale doctrine des Druides était l’immortalité de l’âme…(ils) offraient des victimes humaines pour ceux qui étaient gravement malades ou en danger de mort dans les batailles. D’énormes paniers d’osier étaient remplis d’hommes vivants pour être ensuite brûlés. Bien que les druides choisissaient préférablement des criminels, ils sacrifiaient aussi des victimes innocentes, si nécessaire.
L’Ancien Testament est rempli de condamnations prononcées par Dieu à l’endroit d’Israël pour avoir pratiqué les coutumes des nations qui les entouraient. Nous rassemblons des faits importants qui sont en train de révéler une image atroce.
 

Le rôle du cannibalisme.

 
Une autre vérité à propos de l’origine de Noël a rapport au mot moderne cannibale. Cette pratique a ses racines dans l’une des fonctions principales de tous les prêtres de Baal. Le mot hébreu pour « prêtre » est Cahn. Voyez maintenant la citation suivante tirée de l’ouvrage « Les Deux Babylones » d’Alexander Hislop, page 232. « C’était un des principes de la loi mosaïque, un principe qui découlait sans aucun doute de la foi des patriarches, que le prêtre devait partager tout ce qui était offert en tant que sacrifice d’expiation (Nombres 18 :9-10). Donc, les prêtres de Nimrod (Baal) avaient aussi l’obligation de manger les victimes des sacrifices humains, et c’est ainsi qu’est né le mot « Cahna-Bal », prêtre de Baal, dans notre propre langue pour désigner ceux qui mangent de la chair humaine. » Personne ne peut ignorer cette réalité. Il est également vrai que la plupart des civilisations possèdent une tradition qui inclut le cannibalisme. Voyez cette affirmation du New York Times. « Quelle est la signification du cannibalisme ? » par Erik Eckholm. Le cannibalisme a, par le passé, à la fois fasciné et repoussé virtuellement chaque société connue, incluant celles qui sont réputées l’avoir pratiqué. » Le même article poursuivait en démontrant que la plupart des civilisations attribuaient une signification divine à une telle pratique.

mercredi 16 décembre 2015

Regardez les étoiles

Fais-tu sortir en leur temps les signes du zodiaque, et conduis-tu la Grande Ourse avec ses petits ? Job 38 : 32
Au mois d'août, on aime s'allonger dans l'herbe, la nuit, et regarder le ciel. C'est l'époque où des pluies d'étoiles filantes apparaissent devant nos yeux émerveillés. Contempler par temps clair la diversité, l'harmonie, la beauté du ciel, chercher la Grande Ourse, Orion, Pégase, est toujours fascinant. Mais même si nous nous sommes appliqués à connaître le nom de beaucoup d'astres, il faut bien reconnaître qu'il nous est impossible de les nommer tous ! Nous prenons alors conscience de notre petitesse face à l'infini qui est devant nos yeux.  Il y a pourtant quelqu'un qui peut compter et nommer toutes les étoiles : « Il compte le nombre des étoiles, il les appelle toutes par leur nom » (Psaume 147 : 4). Le témoignage de sa puissance et de sa majesté est là devant nous. Il compte aussi les nuages dans leur course furtive et éphémère (Job 38 : 37). Dieu compte aussi nos pas (Job 14 : 16) et même les cheveux de notre tête (Matthieu 10 : 30). Il tient compte de nos larmes (Psaume 56 : 8). Celui qui a créé l'univers et le maintient en mouvement s'intéresse à moi, un être si petit, si faible au regard de cette immensité. Aucun détail de ma vie ne lui est indifférent. Il me connaît et m'aime personnellement, il me l'a montré en donnant son Fil unique. « La charité de Dieu a été manifestée envers nous en ce que Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous vivions par lui (1 Jean 4 : 9). Pourrais-je rester insensible à un tel amour ?

(La Bonne Semence)

La véritable origine de Noel (partie 6)

Les sacrifices d’enfants.

 
Veuillez noter la pratique horrible qui est associée à l’adoration du dieu du feu (Nimrod, Saturne, Chronos, Moloch et Baal) dans les références suivantes tirées du livre Les deux Babylones d’Alexander Hislop, p. 231.
« Maintenant, ceci est en concordance exacte avec le caractère du dirigeant suprême de ce système d’adoration du feu. Nimrod, en tant que représentation du feu dévorant, auquel les victimes humaines, tout particulièrement des enfants, étaient offertes en sacrifice, était considéré comme le grand dévoreur…il était, bien entendu, le vrai père de tous les dieux babyloniens ; et, qui par la suite a toujours été universellement considéré en tant que tel. En tant que Père des dieux, il fut, comme nous l’avons vu, appelé Chronos. Tout le monde connaît l’histoire classique de celui qui simplement « dévorait ses fils aussitôt qu’ils naissaient ». (Lempriere Classical Dictionnary, Saturn)…Cette légende possède encore un sens plus profond ; toutefois, appliqué à Nimrod, dit « le Cornu », cela fait simplement allusion au fait que, en tant que représentation de Moloch ou Baal, les enfants étaient l’offrande la plus acceptable sur son autel. Nous possédons suffisamment de tristes preuves à ce sujet à partir des archives de l’Antiquité. « Les Phéniciens » disaient Eusèbe, sacrifiaient chaque année leurs nouveau-nés bien-aimés à Chronos ou Saturne. » Mais pourquoi les sacrifices humains ont-ils une telle importance dans l’adoration de ce terrible dieu ? Quel bien les êtres humains pouvaient-ils espérer dans le fait de sacrifier leurs propres enfants ? Continuons : « …celui qui s’approchait du feu recevait une lumière de la part de la divinité » et « par ce feu divin toutes les taches dues aux générations précédentes pouvaient être effacées. » C’est la raison pour laquelle ils [ont fait passer par le feu] à Moloch leurs fils et leurs filles (Jérémie 32 :35). (Partout c’est nous qui traduisons). Aussi incroyable que cela puisse paraître, des êtres humains séduits croyaient réellement qu’ils plaisaient à leur « dieu » en sacrifiant leurs propres petits enfants innocents. Ils croyaient que le feu les purifiait du péché originel. La doctrine païenne énonçant la nécessité de passer du temps au purgatoire afin de purifier l’âme de tout péché tire son origine de cette croyance ! Qui était Nimrod ? Nous devons examiner de plus près qui était ce personnage biblique. Nous avons déjà pu constater qu’il était un des faux dieux originaux de l’histoire. Mais que pouvons-nous apprendre de plus ? Genèse 10 :9 dit de Nimrod : « Il fut un vaillant chasseur devant [à la place de] l’Eternel ». En fait, il a tenté de remplacer Dieu. Le réputé historien juif, Flavius Josèphe a écrit dans « les Antiquités judaïques » des preuves importantes sur le rôle de Nimrod après le déluge universel. Voyez : « …il [Nimrod] aspirait à la tyrannie…il leur offrit de les protéger contre lui [Dieu] s’il menaçait la Terre d’un nouveau déluge, et de bâtir à cet effet une tour si haute que non seulement les eaux ne pourraient s’élever au-dessus, …Ce peuple insensé se laissa aller à cette folle persuasion qu’il lui serait honteux de céder à Dieu » (Livre I, Chapitre IV, sec 2,3). C’est sous plusieurs noms que les premiers, et sans doute les plus grands, rebelles ont été adorés au moyen de fausse religion. Israël n’a jamais cessé de servir les nombreux faux dieux que Nimrod représentait. Ézéchiel 8 :13-14 parle d’une vision au sujet de femmes d’Israël « qui pleuraient Thammuz ». Ce Thammuz (dieu du feu) aurait représenté Nimrod et l’étymologie du mot est absolument fascinante. Tam signifie « rendre parfait » et muz « feu ». La signification est très claire en regard de ce que nous avons déjà appris. Incidemment, pendant la guerre Tempête du Désert, entre l’Irak et le Koweit, Saddam Hussein avait même nommé un de ses missiles « Thammuz ». Il avait certainement compris que la signification du nom impliquait du feu.

mardi 15 décembre 2015

Tout ira bien

Mon Dieu est si bon, il prend bien soin de moi ;
C'est un Dieu fidèle, il répond à ma foi.
Il veut me garder dans mes difficultés,
Il suffit pour moi de tout lui confier.
Il vit à jamais, c'est un Dieu tout-puissant ;
Il peut délivrer en tout lieu, en tout temps ;
Quand tout semble noir, triste et désespéré,
Je sais que mon Dieu ne m'oubliera jamais.
Mon Dieu m'aidera, il conduira mes pas,
Dans les jours de joie comme de combats.
Non, je ne crains rien, je peux compter sur lui,
Il accomplira tout ce qu'il a promis.
Dieu sait si bien ce qui me semble lourd,
Qui me fait mal, me trouble chaque jour.
Il connaît mes besoins, ma peur du lendemain,
Il l'a promis : pour moi tout ira bien !
« Car je suis assuré que ni mort, ni vie, ni anges, ni pouvoirs, ni choses présentes, ni choses à venir, ni puissances, ni hauteur, ni profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu, qui est dans le Christ Jésus notre Seigneur »  (Romains 8 : 38-39).

(La Bonne Semence)

La véritable origine de Noel (partie 5)

Qui était Saturne ?

 
Les citations précédentes ont introduit les saturnales. Examinons plus en profondeur qui était Saturne. Considérons d’abord la citation suivante provenant d’un autre grand journal américain, The Democrat and the Chronicle, Rochester, New York, décembre 1984 : « Le festival romain des saturnales, 17 au 24 décembre, encourageait les citoyens à décorer leurs maisons avec de la verdure et des lumières et à faire des cadeaux aux enfants et aux pauvres. Le festival du 25 décembre, natalis solis invicti ou la naissance du soleil invincible, avait été décrété par l’empereur Aurélien en 274 après J.-C. en tant que célébration du solstice d’hiver et plus tard… fut christianisé en tant que date à laquelle était né le Fils de la Lumière. Le Dr William Gutsch, président du Musée américain d’histoire naturelle — planétarium Hayden, a confirmé l’origine de Noël par la citation suivante, le 18 décembre 1989, dans le journal de Westchester, The Reporter Dispatch :
« Les premiers Romains ne célébraient pas Noël mais plutôt une fête païenne appelée saturnales. C’était une fête annuelle qui se tenait au début de l’hiver, ou du solstice d’hiver. C’était la période pendant laquelle le soleil avait emprunté le chemin le plus bas au-dessus de l’horizon et où les jours commençaient à rallonger annonçant par cela une autre saison de croissance. Si plusieurs des ornements des saturnales ressemblent, d’une façon ou d’une autre, à ceux que nous avons aujourd’hui, nous savons maintenant où nous avons emprunté…nos traditions des fêtes. En réalité, on a suggéré que bien que le Christ ne soit fort probablement pas né à la fin décembre, les premiers chrétiens, étant toujours une secte hors-la-loi, avaient changé la date de la célébration de Noël pour celles des saturnales afin de ne pas attirer l’attention sur eux pendant qu’ils célébraient leur propre fête. » Les saturnales, bien entendu, célébraient Saturne, le dieu du feu. Saturne était le dieu des semailles parce que la chaleur du soleil était nécessaire pour permettre l’ensemencement et la croissance des cultures. Il était aussi adoré lors de ce festival qui se tenait au plus creux de l’hiver, afin qu’il revienne (il était le « soleil ») réchauffer la terre pour que les semailles de printemps puissent avoir lieu. La planète Saturne a hérité ce nom plus tard car, parmi toutes les planètes, ses anneaux et sa couleur rouge brillant représentait le mieux le dieu du feu !
Virtuellement chaque civilisation possède son dieu du feu ou dieu soleil. Les Égyptiens (et parfois les Romains) l’appellent Vulcain. Les Grecs l’ont appelé Chronos, tout comme les Phéniciens mais ils l’appelaient aussi Saturne. Les Babyloniens l’appelaient Tammuz (en tant que Nimrod ressuscité en la personne de son fils), Moloch ou Baal (comme l’appelaient aussi les druides). Tous ces titres étaient en fait les différents noms de Nimrod. Ce dernier est considéré le père de tous les dieux babyloniens.

lundi 14 décembre 2015

Une vengeance étonnante

Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent. Matthieu 5 : 44

Sur une île de l'Océan Pacifique, un indigène devenu chrétien a pris le nom biblique de Sophonie. Un jour, alors qu'il parle de son Sauveur à un habitant païen du village, celui-ci, très attaché aux croyances ancestrales de sa tribu, se met dans un violente colère, saisit un pot en terre et en frappe Sophonie sur la tête avec tant de force que le récipient vole en éclats. Sans mot dire, Sophonie se retire et rentre dans sa hutte. Là, sur la paroi, est suspendue la massue qu'il sait brandir de main de maître. Furieux, Sophonie est près de céder au désir de se venger. À ce moment-là, son regard tombe sur son Nouveau Testament. Il l'ouvre et lit les paroles que le Seigneur Jésus  prononcées sur la montagne : « Bienheureux ceux qui sont persécutés à cause de la justice, car c'est à eux qu'est le royaume des cieux », et « Aimez vos ennemis ! » Il désire se conformer à ces paroles ; et il prie le Seigneur de lui donner la force nécessaire pour le faire. Très vite, Sophonie comprend comment il doit agir dans cette situation : il apporte une nouvelle marmite en terre à celui qui l'a maltraité. Celui-ci est stupéfait et tellement impressionné par cette sorte de vengeance, qu'il lui fait cadeau en retour d'un précieux fanon de baleine. Et lorsqu'il apprend pourquoi Sophonie a réagi de cette manière, il accepte volontiers qu'il lui lise quelques textes de ce livre qui contient des enseignements si étonnants.

(La Bonne Semence)

La véritable origine de Noel (partie 4)

Le Christ est-Il né un 25 décembre ?

 
Le Christ est né durant l’automne. Plusieurs croient erronément qu’il est né au début de l’hiver, le 25 décembre ! Ils se trompent. Voyez le Adam Clarke Commentary, volume 5, page 370, édition New York : « Il était habituel pour les Juifs d’envoyer leurs brebis au désert aux alentours de la Pâque (tôt le printemps), et de les ramener au bercail au début des premières pluies. » Ces premières pluies commencent entre le début de l’automne et la mi-automne. Si l’on poursuit la citation : « Pendant le temps de leur sortie les bergers les surveillaient nuit et jour. Comme… le début de la pluie était tôt au mois de marchesvan, ce qui correspond en partie aux mois d’octobre et de novembre (commençant parfois en octobre), nous constatons que les brebis demeuraient à l’extérieur pendant tout l’été. Comme ces bergers n’avaient pas encore ramené leurs brebis au bercail, on peut supposer que le mois d’octobre n’avait pas encore commencé et que, conséquemment, notre Seigneur n’est pas né un 25 décembre, parce que les troupeaux étaient encore dans les champs. Il n’aurait pas pu naître plus tard qu’en septembre, les troupeaux étant toujours dans les champs, la nuit. En nous basant sur ces faits seulement, l’idée d’une nativité en décembre devrait être abandonnée. Le pacage des bêtes la nuit dans les champs est un fait chronologique… Vous pouvez aussi lire les citations des Talmudistes par Lightfooth. » Luc 2 :8 nous explique que lorsque le Christ est né. « Il y avait, dans cette même contrée, des bergers qui passaient dans les champs les veilles de la nuit pour garder leurs troupeaux. ». Veuillez remarquer qu’ils demeuraient dans les champs. Ceci ne s’est jamais produit au mois de décembre. Esdras 10 :9-13 et le Cantique des Cantiques 2 :11 montrent que l’hiver était la saison des pluies et que les bergers ne pouvaient demeurer dans les champs la nuit. Un grand nombre d’encyclopédies stipulent clairement que le Christ n’est pas né un 25 décembre ! L’Encyclopédie catholique confirme directement ce fait. En toute vraisemblance, le Christ est né en automne ! Une longue explication technique prouverait ce point.
Comme nous savons maintenant que la date du 25 décembre n’est même pas proche de la date de naissance du Christ, d’où proviennent donc les festivals associés à cette date ? Lisez maintenant la citation suivante sous la rubrique « Noël ». « Dans le monde romain, les saturnales (17 décembre) étaient une période de réjouissances et d’échanges de cadeaux. Le 25 décembre était également considéré comme le jour de la naissance du dieu des mystères iranien Mithra, le Soleil de Justice. Le Jour de l’An romain (1er janvier), les maisons étaient décorées de verdure et de lumières, et des cadeaux étaient remis aux enfants et aux pauvres. À ces célébrations étaient ajoutés les rites germaniques et celtiques de la bûche (de Noël) provenant du temps de l’entrée en Gaule, en Bretagne et en Europe centrale des tribus teutonnes. La nourriture, la fraternisation, la bûche de Noël et autres gâteaux de la période, la verdure et les sapins, les cadeaux et les souhaits soulignaient tous différents aspects de cette période de réjouissances. Les feux et les lumières, les symboles de chaleur et de longue vie, ont toujours été associés aux festivals d’hiver, autant païens que chrétiens » (Encyclopédie Britannique, 15E édition, Vol. II, p. 903). Une dernière référence au sujet du 25 décembre en tant que date de naissance du Christ est nécessaire. Prenez note de l’article paru dans le Toronto Star en décembre 1984, rédigé par Alan Edmonds et intitulé, « Nous devons beaucoup aux druides et aux Hollandais » (partout, c’est nous qui traduisons). La Réforme a quelque peu terni Noël. Déjà à cette époque certains ecclésiastiques politiciens rusés avaient adopté le festival hivernal païen comme la prétendue date de naissance de Jésus de Nazareth et, y avaient joint quelques autres friandises païennes afin de les rendre acceptables.
Le 25 décembre n’a pas été choisi parce que c’était la naissance du Christ ou même parce qu’il s’en rapprochait. Cette date fut choisie parce qu’elle coïncidait avec le festival idolâtre et païen des saturnales ! Cette célébration doit être soigneusement examinée. Quoi qu’il en soit, nous ne connaissons pas la date exacte de la naissance du Christ. Bien que Dieu ait pu nous la faire connaître, Il a choisi de la cacher aux yeux du monde !

dimanche 13 décembre 2015

Une vie qui en vaut la peine

Dieu est mon rocher, où je trouve un abri, mon bouclier et la force qui me sauve, ma haute retraite et mon refuge. O mon Sauveur ! tu garantis de la violence. 2 Samuel 22 : 3
Que d'expressions pour parler de Dieu : « mon bouclier, ma haute retraite, mon refuge, mon Sauveur... » Qui peut parler ainsi ? Tout croyant qui a fait l'expérience de la protection de son Seigneur. Il n'a plus peur quand il se confie en la puissance et en l'amour de Dieu, même dans les situations les plus difficiles. La foi n'est pas directement liée à un exercice religieux, ou à l'appartenance à une église, ou même à un état d'esprit intérieur. Non, la foi est la confiance en Dieu en toute simplicité ; c'est croire ce qu'il dit dans la Bible. C'est sur cette confiance que nous pouvons fonder notre vie. Mais Dieu dit parfois '' non '' à nos demandes, et alors, suivant notre mesure de foi, nous réagissons avec plus ou moins de confiance. Dieu permet des choses qui nous semblent difficiles, voire douloureuses, pour nous former pour lui, et pour qu'elles deviennent source de bénédiction. La foi nous donne le désir de poursuivre ce que Dieu attend de nous, en acceptant ce que nous ne comprenons pas toujours. Laissons l'Esprit de Dieu agir en nous, il en résultera une vie véritablement différente, une vie pour Dieu et avec lui. Les obstacles apparents disparaissent au fur et à mesure que nous avançons en vivant par la foi, dirigés par Dieu et gardés par sa puissance. Le croyant prie Dieu, le Dieu vivant : « Je me confie en toi, donne-moi la force de faire ce que tu me demanderas. » Vivons dans l'obéissance à Dieu, c'est une vie qui en vaut la peine.

(La Bonne Semence)

La véritable origine de Noel (partie 3)

Le Christ peut-Il être honoré par la fête de Noël ?

 
La justification la plus fréquente que l’on entend au sujet de Noël est que les gens ont remplacé les vieilles coutumes et intentions païennes en disant que, maintenant, elles sont « centrées sur le Christ. » J’en ai entendu plusieurs dire qu’ils « honoraient le Christ » par leur observance de Noël. Le problème est que Dieu ne dit pas que cela est acceptable à ses yeux. En fait, Il nous commande clairement de ne pas le faire. Observer Noël déshonore le Christ ! Il considère tout ce qui s’y rapporte comme une abomination ! Nous verrons pourquoi bientôt. Le Christ a dit : « C’est en vain qu’ils m’honorent, en enseignant des préceptes qui sont des commandements d’hommes » (Matthieu 15 :9). Noël n’a pas été ordonné par Dieu. C’est une tradition d’hommes. Et le Christ poursuit, : « Vous anéantissez fort bien le commandement de Dieu, pour garder votre tradition » (Mc 7 :9). Chaque année, dans le monde entier, des centaines de millions de personnes font exactement cela ! Nous allons voir que Dieu nous commande clairement, « N’imitez pas la voie des nations ». Or la majorité des gens ne Le craignent pas, mais Dieu leur permet de décider par eux-mêmes. Les êtres humains possèdent le libre-arbitre — libre d’obéir ou de désobéir à Dieu ! Mais malheur à ceux qui ignore la Parole de Dieu !