jeudi 17 décembre 2015

La véritable origine de Noel (partie 7)

Les druides et les sacrifices humains.

 
Plusieurs ont entendu parler des druides. Peu savent qui ils étaient ou ce qu’ils étaient. Nous ferons allusion à eux plus bas et verrons ce qui les relie à certaines pratiques de Noël bien connues. Nous devons d’abord établir quel était leur rôle dans les sacrifices humains.
Jules César est une des sources d’information les mieux connues sur les druides. Ce qui suit est tiré de l’Encyclopédie Britannique. Cette citation, sous la rubrique « Druides », explique clairement qui ils étaient : « Druides, la classe instruite des anciens Celtes, dont le nom signifie Connaître (ou Trouver le chêne). On dit qu’ils fréquentaient les forêts de chênes et agissaient en tant que prêtres, enseignants et juges. Les archives les plus anciennes au sujet des druides proviennent du troisième siècle av. J.-C…Les druides étaient en charge des sacrifices publics et privés et plusieurs jeunes hommes allaient vers eux pour être instruits. Ils jugeaient toutes les querelles privées et publiques et prononçaient les sentences…La principale doctrine des Druides était l’immortalité de l’âme…(ils) offraient des victimes humaines pour ceux qui étaient gravement malades ou en danger de mort dans les batailles. D’énormes paniers d’osier étaient remplis d’hommes vivants pour être ensuite brûlés. Bien que les druides choisissaient préférablement des criminels, ils sacrifiaient aussi des victimes innocentes, si nécessaire.
L’Ancien Testament est rempli de condamnations prononcées par Dieu à l’endroit d’Israël pour avoir pratiqué les coutumes des nations qui les entouraient. Nous rassemblons des faits importants qui sont en train de révéler une image atroce.
 

Le rôle du cannibalisme.

 
Une autre vérité à propos de l’origine de Noël a rapport au mot moderne cannibale. Cette pratique a ses racines dans l’une des fonctions principales de tous les prêtres de Baal. Le mot hébreu pour « prêtre » est Cahn. Voyez maintenant la citation suivante tirée de l’ouvrage « Les Deux Babylones » d’Alexander Hislop, page 232. « C’était un des principes de la loi mosaïque, un principe qui découlait sans aucun doute de la foi des patriarches, que le prêtre devait partager tout ce qui était offert en tant que sacrifice d’expiation (Nombres 18 :9-10). Donc, les prêtres de Nimrod (Baal) avaient aussi l’obligation de manger les victimes des sacrifices humains, et c’est ainsi qu’est né le mot « Cahna-Bal », prêtre de Baal, dans notre propre langue pour désigner ceux qui mangent de la chair humaine. » Personne ne peut ignorer cette réalité. Il est également vrai que la plupart des civilisations possèdent une tradition qui inclut le cannibalisme. Voyez cette affirmation du New York Times. « Quelle est la signification du cannibalisme ? » par Erik Eckholm. Le cannibalisme a, par le passé, à la fois fasciné et repoussé virtuellement chaque société connue, incluant celles qui sont réputées l’avoir pratiqué. » Le même article poursuivait en démontrant que la plupart des civilisations attribuaient une signification divine à une telle pratique.

mercredi 16 décembre 2015

Regardez les étoiles

Fais-tu sortir en leur temps les signes du zodiaque, et conduis-tu la Grande Ourse avec ses petits ? Job 38 : 32
Au mois d'août, on aime s'allonger dans l'herbe, la nuit, et regarder le ciel. C'est l'époque où des pluies d'étoiles filantes apparaissent devant nos yeux émerveillés. Contempler par temps clair la diversité, l'harmonie, la beauté du ciel, chercher la Grande Ourse, Orion, Pégase, est toujours fascinant. Mais même si nous nous sommes appliqués à connaître le nom de beaucoup d'astres, il faut bien reconnaître qu'il nous est impossible de les nommer tous ! Nous prenons alors conscience de notre petitesse face à l'infini qui est devant nos yeux.  Il y a pourtant quelqu'un qui peut compter et nommer toutes les étoiles : « Il compte le nombre des étoiles, il les appelle toutes par leur nom » (Psaume 147 : 4). Le témoignage de sa puissance et de sa majesté est là devant nous. Il compte aussi les nuages dans leur course furtive et éphémère (Job 38 : 37). Dieu compte aussi nos pas (Job 14 : 16) et même les cheveux de notre tête (Matthieu 10 : 30). Il tient compte de nos larmes (Psaume 56 : 8). Celui qui a créé l'univers et le maintient en mouvement s'intéresse à moi, un être si petit, si faible au regard de cette immensité. Aucun détail de ma vie ne lui est indifférent. Il me connaît et m'aime personnellement, il me l'a montré en donnant son Fil unique. « La charité de Dieu a été manifestée envers nous en ce que Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous vivions par lui (1 Jean 4 : 9). Pourrais-je rester insensible à un tel amour ?

(La Bonne Semence)

La véritable origine de Noel (partie 6)

Les sacrifices d’enfants.

 
Veuillez noter la pratique horrible qui est associée à l’adoration du dieu du feu (Nimrod, Saturne, Chronos, Moloch et Baal) dans les références suivantes tirées du livre Les deux Babylones d’Alexander Hislop, p. 231.
« Maintenant, ceci est en concordance exacte avec le caractère du dirigeant suprême de ce système d’adoration du feu. Nimrod, en tant que représentation du feu dévorant, auquel les victimes humaines, tout particulièrement des enfants, étaient offertes en sacrifice, était considéré comme le grand dévoreur…il était, bien entendu, le vrai père de tous les dieux babyloniens ; et, qui par la suite a toujours été universellement considéré en tant que tel. En tant que Père des dieux, il fut, comme nous l’avons vu, appelé Chronos. Tout le monde connaît l’histoire classique de celui qui simplement « dévorait ses fils aussitôt qu’ils naissaient ». (Lempriere Classical Dictionnary, Saturn)…Cette légende possède encore un sens plus profond ; toutefois, appliqué à Nimrod, dit « le Cornu », cela fait simplement allusion au fait que, en tant que représentation de Moloch ou Baal, les enfants étaient l’offrande la plus acceptable sur son autel. Nous possédons suffisamment de tristes preuves à ce sujet à partir des archives de l’Antiquité. « Les Phéniciens » disaient Eusèbe, sacrifiaient chaque année leurs nouveau-nés bien-aimés à Chronos ou Saturne. » Mais pourquoi les sacrifices humains ont-ils une telle importance dans l’adoration de ce terrible dieu ? Quel bien les êtres humains pouvaient-ils espérer dans le fait de sacrifier leurs propres enfants ? Continuons : « …celui qui s’approchait du feu recevait une lumière de la part de la divinité » et « par ce feu divin toutes les taches dues aux générations précédentes pouvaient être effacées. » C’est la raison pour laquelle ils [ont fait passer par le feu] à Moloch leurs fils et leurs filles (Jérémie 32 :35). (Partout c’est nous qui traduisons). Aussi incroyable que cela puisse paraître, des êtres humains séduits croyaient réellement qu’ils plaisaient à leur « dieu » en sacrifiant leurs propres petits enfants innocents. Ils croyaient que le feu les purifiait du péché originel. La doctrine païenne énonçant la nécessité de passer du temps au purgatoire afin de purifier l’âme de tout péché tire son origine de cette croyance ! Qui était Nimrod ? Nous devons examiner de plus près qui était ce personnage biblique. Nous avons déjà pu constater qu’il était un des faux dieux originaux de l’histoire. Mais que pouvons-nous apprendre de plus ? Genèse 10 :9 dit de Nimrod : « Il fut un vaillant chasseur devant [à la place de] l’Eternel ». En fait, il a tenté de remplacer Dieu. Le réputé historien juif, Flavius Josèphe a écrit dans « les Antiquités judaïques » des preuves importantes sur le rôle de Nimrod après le déluge universel. Voyez : « …il [Nimrod] aspirait à la tyrannie…il leur offrit de les protéger contre lui [Dieu] s’il menaçait la Terre d’un nouveau déluge, et de bâtir à cet effet une tour si haute que non seulement les eaux ne pourraient s’élever au-dessus, …Ce peuple insensé se laissa aller à cette folle persuasion qu’il lui serait honteux de céder à Dieu » (Livre I, Chapitre IV, sec 2,3). C’est sous plusieurs noms que les premiers, et sans doute les plus grands, rebelles ont été adorés au moyen de fausse religion. Israël n’a jamais cessé de servir les nombreux faux dieux que Nimrod représentait. Ézéchiel 8 :13-14 parle d’une vision au sujet de femmes d’Israël « qui pleuraient Thammuz ». Ce Thammuz (dieu du feu) aurait représenté Nimrod et l’étymologie du mot est absolument fascinante. Tam signifie « rendre parfait » et muz « feu ». La signification est très claire en regard de ce que nous avons déjà appris. Incidemment, pendant la guerre Tempête du Désert, entre l’Irak et le Koweit, Saddam Hussein avait même nommé un de ses missiles « Thammuz ». Il avait certainement compris que la signification du nom impliquait du feu.

mardi 15 décembre 2015

Tout ira bien

Mon Dieu est si bon, il prend bien soin de moi ;
C'est un Dieu fidèle, il répond à ma foi.
Il veut me garder dans mes difficultés,
Il suffit pour moi de tout lui confier.
Il vit à jamais, c'est un Dieu tout-puissant ;
Il peut délivrer en tout lieu, en tout temps ;
Quand tout semble noir, triste et désespéré,
Je sais que mon Dieu ne m'oubliera jamais.
Mon Dieu m'aidera, il conduira mes pas,
Dans les jours de joie comme de combats.
Non, je ne crains rien, je peux compter sur lui,
Il accomplira tout ce qu'il a promis.
Dieu sait si bien ce qui me semble lourd,
Qui me fait mal, me trouble chaque jour.
Il connaît mes besoins, ma peur du lendemain,
Il l'a promis : pour moi tout ira bien !
« Car je suis assuré que ni mort, ni vie, ni anges, ni pouvoirs, ni choses présentes, ni choses à venir, ni puissances, ni hauteur, ni profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu, qui est dans le Christ Jésus notre Seigneur »  (Romains 8 : 38-39).

(La Bonne Semence)

La véritable origine de Noel (partie 5)

Qui était Saturne ?

 
Les citations précédentes ont introduit les saturnales. Examinons plus en profondeur qui était Saturne. Considérons d’abord la citation suivante provenant d’un autre grand journal américain, The Democrat and the Chronicle, Rochester, New York, décembre 1984 : « Le festival romain des saturnales, 17 au 24 décembre, encourageait les citoyens à décorer leurs maisons avec de la verdure et des lumières et à faire des cadeaux aux enfants et aux pauvres. Le festival du 25 décembre, natalis solis invicti ou la naissance du soleil invincible, avait été décrété par l’empereur Aurélien en 274 après J.-C. en tant que célébration du solstice d’hiver et plus tard… fut christianisé en tant que date à laquelle était né le Fils de la Lumière. Le Dr William Gutsch, président du Musée américain d’histoire naturelle — planétarium Hayden, a confirmé l’origine de Noël par la citation suivante, le 18 décembre 1989, dans le journal de Westchester, The Reporter Dispatch :
« Les premiers Romains ne célébraient pas Noël mais plutôt une fête païenne appelée saturnales. C’était une fête annuelle qui se tenait au début de l’hiver, ou du solstice d’hiver. C’était la période pendant laquelle le soleil avait emprunté le chemin le plus bas au-dessus de l’horizon et où les jours commençaient à rallonger annonçant par cela une autre saison de croissance. Si plusieurs des ornements des saturnales ressemblent, d’une façon ou d’une autre, à ceux que nous avons aujourd’hui, nous savons maintenant où nous avons emprunté…nos traditions des fêtes. En réalité, on a suggéré que bien que le Christ ne soit fort probablement pas né à la fin décembre, les premiers chrétiens, étant toujours une secte hors-la-loi, avaient changé la date de la célébration de Noël pour celles des saturnales afin de ne pas attirer l’attention sur eux pendant qu’ils célébraient leur propre fête. » Les saturnales, bien entendu, célébraient Saturne, le dieu du feu. Saturne était le dieu des semailles parce que la chaleur du soleil était nécessaire pour permettre l’ensemencement et la croissance des cultures. Il était aussi adoré lors de ce festival qui se tenait au plus creux de l’hiver, afin qu’il revienne (il était le « soleil ») réchauffer la terre pour que les semailles de printemps puissent avoir lieu. La planète Saturne a hérité ce nom plus tard car, parmi toutes les planètes, ses anneaux et sa couleur rouge brillant représentait le mieux le dieu du feu !
Virtuellement chaque civilisation possède son dieu du feu ou dieu soleil. Les Égyptiens (et parfois les Romains) l’appellent Vulcain. Les Grecs l’ont appelé Chronos, tout comme les Phéniciens mais ils l’appelaient aussi Saturne. Les Babyloniens l’appelaient Tammuz (en tant que Nimrod ressuscité en la personne de son fils), Moloch ou Baal (comme l’appelaient aussi les druides). Tous ces titres étaient en fait les différents noms de Nimrod. Ce dernier est considéré le père de tous les dieux babyloniens.

lundi 14 décembre 2015

Une vengeance étonnante

Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent. Matthieu 5 : 44

Sur une île de l'Océan Pacifique, un indigène devenu chrétien a pris le nom biblique de Sophonie. Un jour, alors qu'il parle de son Sauveur à un habitant païen du village, celui-ci, très attaché aux croyances ancestrales de sa tribu, se met dans un violente colère, saisit un pot en terre et en frappe Sophonie sur la tête avec tant de force que le récipient vole en éclats. Sans mot dire, Sophonie se retire et rentre dans sa hutte. Là, sur la paroi, est suspendue la massue qu'il sait brandir de main de maître. Furieux, Sophonie est près de céder au désir de se venger. À ce moment-là, son regard tombe sur son Nouveau Testament. Il l'ouvre et lit les paroles que le Seigneur Jésus  prononcées sur la montagne : « Bienheureux ceux qui sont persécutés à cause de la justice, car c'est à eux qu'est le royaume des cieux », et « Aimez vos ennemis ! » Il désire se conformer à ces paroles ; et il prie le Seigneur de lui donner la force nécessaire pour le faire. Très vite, Sophonie comprend comment il doit agir dans cette situation : il apporte une nouvelle marmite en terre à celui qui l'a maltraité. Celui-ci est stupéfait et tellement impressionné par cette sorte de vengeance, qu'il lui fait cadeau en retour d'un précieux fanon de baleine. Et lorsqu'il apprend pourquoi Sophonie a réagi de cette manière, il accepte volontiers qu'il lui lise quelques textes de ce livre qui contient des enseignements si étonnants.

(La Bonne Semence)

La véritable origine de Noel (partie 4)

Le Christ est-Il né un 25 décembre ?

 
Le Christ est né durant l’automne. Plusieurs croient erronément qu’il est né au début de l’hiver, le 25 décembre ! Ils se trompent. Voyez le Adam Clarke Commentary, volume 5, page 370, édition New York : « Il était habituel pour les Juifs d’envoyer leurs brebis au désert aux alentours de la Pâque (tôt le printemps), et de les ramener au bercail au début des premières pluies. » Ces premières pluies commencent entre le début de l’automne et la mi-automne. Si l’on poursuit la citation : « Pendant le temps de leur sortie les bergers les surveillaient nuit et jour. Comme… le début de la pluie était tôt au mois de marchesvan, ce qui correspond en partie aux mois d’octobre et de novembre (commençant parfois en octobre), nous constatons que les brebis demeuraient à l’extérieur pendant tout l’été. Comme ces bergers n’avaient pas encore ramené leurs brebis au bercail, on peut supposer que le mois d’octobre n’avait pas encore commencé et que, conséquemment, notre Seigneur n’est pas né un 25 décembre, parce que les troupeaux étaient encore dans les champs. Il n’aurait pas pu naître plus tard qu’en septembre, les troupeaux étant toujours dans les champs, la nuit. En nous basant sur ces faits seulement, l’idée d’une nativité en décembre devrait être abandonnée. Le pacage des bêtes la nuit dans les champs est un fait chronologique… Vous pouvez aussi lire les citations des Talmudistes par Lightfooth. » Luc 2 :8 nous explique que lorsque le Christ est né. « Il y avait, dans cette même contrée, des bergers qui passaient dans les champs les veilles de la nuit pour garder leurs troupeaux. ». Veuillez remarquer qu’ils demeuraient dans les champs. Ceci ne s’est jamais produit au mois de décembre. Esdras 10 :9-13 et le Cantique des Cantiques 2 :11 montrent que l’hiver était la saison des pluies et que les bergers ne pouvaient demeurer dans les champs la nuit. Un grand nombre d’encyclopédies stipulent clairement que le Christ n’est pas né un 25 décembre ! L’Encyclopédie catholique confirme directement ce fait. En toute vraisemblance, le Christ est né en automne ! Une longue explication technique prouverait ce point.
Comme nous savons maintenant que la date du 25 décembre n’est même pas proche de la date de naissance du Christ, d’où proviennent donc les festivals associés à cette date ? Lisez maintenant la citation suivante sous la rubrique « Noël ». « Dans le monde romain, les saturnales (17 décembre) étaient une période de réjouissances et d’échanges de cadeaux. Le 25 décembre était également considéré comme le jour de la naissance du dieu des mystères iranien Mithra, le Soleil de Justice. Le Jour de l’An romain (1er janvier), les maisons étaient décorées de verdure et de lumières, et des cadeaux étaient remis aux enfants et aux pauvres. À ces célébrations étaient ajoutés les rites germaniques et celtiques de la bûche (de Noël) provenant du temps de l’entrée en Gaule, en Bretagne et en Europe centrale des tribus teutonnes. La nourriture, la fraternisation, la bûche de Noël et autres gâteaux de la période, la verdure et les sapins, les cadeaux et les souhaits soulignaient tous différents aspects de cette période de réjouissances. Les feux et les lumières, les symboles de chaleur et de longue vie, ont toujours été associés aux festivals d’hiver, autant païens que chrétiens » (Encyclopédie Britannique, 15E édition, Vol. II, p. 903). Une dernière référence au sujet du 25 décembre en tant que date de naissance du Christ est nécessaire. Prenez note de l’article paru dans le Toronto Star en décembre 1984, rédigé par Alan Edmonds et intitulé, « Nous devons beaucoup aux druides et aux Hollandais » (partout, c’est nous qui traduisons). La Réforme a quelque peu terni Noël. Déjà à cette époque certains ecclésiastiques politiciens rusés avaient adopté le festival hivernal païen comme la prétendue date de naissance de Jésus de Nazareth et, y avaient joint quelques autres friandises païennes afin de les rendre acceptables.
Le 25 décembre n’a pas été choisi parce que c’était la naissance du Christ ou même parce qu’il s’en rapprochait. Cette date fut choisie parce qu’elle coïncidait avec le festival idolâtre et païen des saturnales ! Cette célébration doit être soigneusement examinée. Quoi qu’il en soit, nous ne connaissons pas la date exacte de la naissance du Christ. Bien que Dieu ait pu nous la faire connaître, Il a choisi de la cacher aux yeux du monde !

dimanche 13 décembre 2015

Une vie qui en vaut la peine

Dieu est mon rocher, où je trouve un abri, mon bouclier et la force qui me sauve, ma haute retraite et mon refuge. O mon Sauveur ! tu garantis de la violence. 2 Samuel 22 : 3
Que d'expressions pour parler de Dieu : « mon bouclier, ma haute retraite, mon refuge, mon Sauveur... » Qui peut parler ainsi ? Tout croyant qui a fait l'expérience de la protection de son Seigneur. Il n'a plus peur quand il se confie en la puissance et en l'amour de Dieu, même dans les situations les plus difficiles. La foi n'est pas directement liée à un exercice religieux, ou à l'appartenance à une église, ou même à un état d'esprit intérieur. Non, la foi est la confiance en Dieu en toute simplicité ; c'est croire ce qu'il dit dans la Bible. C'est sur cette confiance que nous pouvons fonder notre vie. Mais Dieu dit parfois '' non '' à nos demandes, et alors, suivant notre mesure de foi, nous réagissons avec plus ou moins de confiance. Dieu permet des choses qui nous semblent difficiles, voire douloureuses, pour nous former pour lui, et pour qu'elles deviennent source de bénédiction. La foi nous donne le désir de poursuivre ce que Dieu attend de nous, en acceptant ce que nous ne comprenons pas toujours. Laissons l'Esprit de Dieu agir en nous, il en résultera une vie véritablement différente, une vie pour Dieu et avec lui. Les obstacles apparents disparaissent au fur et à mesure que nous avançons en vivant par la foi, dirigés par Dieu et gardés par sa puissance. Le croyant prie Dieu, le Dieu vivant : « Je me confie en toi, donne-moi la force de faire ce que tu me demanderas. » Vivons dans l'obéissance à Dieu, c'est une vie qui en vaut la peine.

(La Bonne Semence)

La véritable origine de Noel (partie 3)

Le Christ peut-Il être honoré par la fête de Noël ?

 
La justification la plus fréquente que l’on entend au sujet de Noël est que les gens ont remplacé les vieilles coutumes et intentions païennes en disant que, maintenant, elles sont « centrées sur le Christ. » J’en ai entendu plusieurs dire qu’ils « honoraient le Christ » par leur observance de Noël. Le problème est que Dieu ne dit pas que cela est acceptable à ses yeux. En fait, Il nous commande clairement de ne pas le faire. Observer Noël déshonore le Christ ! Il considère tout ce qui s’y rapporte comme une abomination ! Nous verrons pourquoi bientôt. Le Christ a dit : « C’est en vain qu’ils m’honorent, en enseignant des préceptes qui sont des commandements d’hommes » (Matthieu 15 :9). Noël n’a pas été ordonné par Dieu. C’est une tradition d’hommes. Et le Christ poursuit, : « Vous anéantissez fort bien le commandement de Dieu, pour garder votre tradition » (Mc 7 :9). Chaque année, dans le monde entier, des centaines de millions de personnes font exactement cela ! Nous allons voir que Dieu nous commande clairement, « N’imitez pas la voie des nations ». Or la majorité des gens ne Le craignent pas, mais Dieu leur permet de décider par eux-mêmes. Les êtres humains possèdent le libre-arbitre — libre d’obéir ou de désobéir à Dieu ! Mais malheur à ceux qui ignore la Parole de Dieu !

samedi 12 décembre 2015

Marquer des buts : le but d'une vie ?

Car là où est votre trésor, là aussi sera votre cœur.
Luc 12 : 34 (BJC)
Tous les quatre ans, le mondial de football enflamme le monde sportif. On estime qu'un milliard de la population du globe a pris part, en 2010, à cet événement ultra-médiatisé. Et que d'enfants se prennent à rêver d'un avenir aussi glorieux que leurs idoles du ballon rond ! Célébrité, richesse, honneurs sont assurés pour les footballeurs des équipes gagnantes. Pourtant, marquer des buts n'est pas l'essentiel dans la vie de certains d'entre eux. Argent et gloire n'ont pas réussi à combler leurs aspirations profondes :
- Wynton Rufer, néo-zélandais, '' le footballeur océanien du siècle '' : « Ce sport a littéralement été ma religion et Pelé était mon dieu. Entre-temps, la Bible est devenue mon livre de chevet. Elle m'a ouvert la porte du ciel et donné accès à l'amour inconditionnel de Dieu ».
- Nicola Legrottaglie, italien, défenseur de la Juventus : « En Janvier 2006, j'ai rencontré une personne qui a totalement transformé ma vie : Jésus Christ. Désormais je règle ma vie sur les directives de la Bible, la Parole de Dieu. J'ai enfin compris qu'il est vital d'entretenir une relation personnelle avec Jésus ».
- Cacau, international allemand d'origine brésilienne : « À quoi te sert-il de marquer un but devant 70 000 spectateurs, si tu n'as pas la vie éternelle ? »
- Zé Roberto, international brésilien, club de Hambourg : « Ma décision de confier ma vie à Jésus est devenue plus importante que ma passion pour le football. Me savoir aimé de Dieu me donne la force de faire face à toutes les situations. »

(La Bonne Semence)

La véritable origine de Noel (partie 2)

Origine païenne


En 1990, la commission scolaire de Solon, (banlieue de Cleveland) en Ohio, a interdit les représentations de la nativité ou de Noël sous prétexte qu’elles violaient le principe de la séparation de l’Église et l’État. Les parents, outragés par leur décision, traînèrent la commission devant les tribunaux. Ces personnes se sentaient lésées car, disaient-elles, on volait le Noël qui appartenait à leurs enfants et à la communauté. La Commission perdit sa cause ! Les citoyens avaient plaidé que Noël était une tradition universelle qui ne faisait partie d’aucune religion car elle la transcendait. On jugea que c’était une fête séculière qui faisait partie de toutes les cultures à travers le monde. La décision de la Cour stipulait que Noël n’avait aucune racine chrétienne ! Par contre, selon l’opinion de la Cour, la lecture de la Bible et la prière étaient évidemment associées au christianisme — une admission toute à fait remarquable ! La Cour conclut que l’observance de Noël et les scènes de nativité pouvaient continuer car elles ne faisaient pas partie réellement du christianisme ni de la religion — mais que la prière et la lecture de la Bible, qui elles sont « religieuses » devaient demeurées exclues des écoles. Pratiquement tout dans la célébration de Noël a ses racines dans les coutumes et la religion romaines. Lisez ce qu’en a dit un important journal américain (The Buffalo News, 22 novembre 1984) : « :La référence la plus ancienne à la célébration de Noël un 25 décembre, est datée du second siècle après la naissance de Jésus-Christ. On croit que les premières célébrations de Noël se tinrent en réaction aux saturnales romaines, un festival des moissons à l’occasion du solstice d’hiver —le retour du Soleil — et pour honorer Saturne, le dieu des semailles. Les saturnales étaient une période plutôt chahuteuse à laquelle s’opposaient fermement les chefs austères de la secte chrétienne encore minoritaire de l’époque. La fête de Noël, dit un érudit, a pris de l’ampleur parce qu’elle servit à remplacer l’adoration du soleil (sun) par l’adoration du Fils (Son). En 529 ap. J.-C.., après que le christianisme fut devenu la religion d’état, l’empereur Justinien fit de Noël une fête officielle. La célébration de celle-ci atteint son summum — certains diront son point le plus bas — pendant la période médiévale lorsqu’elle devint une période de consommation incontrôlée et de festivités encore inégalées. » Considérez ces citations tirées de l’Encyclopédie catholique, édition 1911, sous la rubrique « Noël ». « Noël n’était pas une des premières fêtes de l’Église…les premières preuves de son existence proviennent d’Égypte. » De plus, « Les coutumes païennes de la période des calendes de janvier se déplacèrent vers Noël. » Sous le titre « jour de la nativité », Origène, un des premiers écrivains catholiques admet. : « …Dans les Écritures, on ne voit personne fêter ou tenir un grand banquet le jour de son anniversaire. Ce ne sont que les pécheurs (comme Pharaon et Hérode) qui tiennent de grandes réjouissances l’anniversaire du jour où ils sont nés dans ce monde » (Partout c’est nous qui traduisons et qui soulignons).
L’Encyclopédie Americana, édition 1956, ajoute : « Noël… ne fut pas observée pendant les premiers siècles puisque l’usage était, en général, de célébrer la mort de personnes importantes plutôt que leur naissance…une fête fut établie pour cet événement (la naissance du Christ) au quatrième siècle. Au cinquième siècle l’Église de l’Ouest ordonna que la fête soit célébrée perpétuellement le jour des rites mithriaques de la naissance du Soleil ainsi qu’à la fin des saturnales, puisqu’il n’y avait aucune certitude quant à la date exacte de la naissance du Christ. » Impossible de faire erreur sur l’origine moderne de la célébration de Noël. Nous pourrions citer plusieurs autres sources. Nous y reviendrons plus loin. Commençons par rattacher ensemble certains
faits. Cela a pris 300 ans avant que l’Église romaine observe Noël et ce n’est qu’au cinquième siècle qu’elle ne devint obligatoire dans tout l’empire en tant que festival officiel en l’honneur du « Christ ».

vendredi 11 décembre 2015

Peut-on améliorer l'être humain ?

Les rois de la terre se sont soulevés, et les princes se sont ligués contre le Seigneur et contre son Oint. Actes 4 : 26
Personne ne peut nier les immenses progrès scientifiques et techniques de l'humanité. Mais l'homme a-t-il fait un progrès dans le bien ? Est-il plus honnête, plus dévoué ? Est-ce que l'instruction, la culture, les arts ou la science l'ont fait progresser moralement ? Qui a le mieux reçu Jésus, l'envoyé de Dieu ? L'élite du monde ou ses exclus ? Les religieux ou les indifférents ? Les instruits ou les ignorants ? La réponse est nette : à la croix, tous étaient là pour le rejeter. Et les mieux placés au niveau social ont bel et bien été les meneurs. À la croix, le monde a montré qu'il ne voulait pas de Dieu. L'humanité s'est organisé pour se passer de lui et, si possible, l'oublier. La nature morale de l'homme s'est révélée irrémédiablement mauvaise. Plus l'homme est éduqué, plus il justifie son opposition à Dieu et s'éloigne de lui, même s'il cherche à sauver les apparences. Ne peut-on alors espérer aucun progrès ? Venant de l'homme lui-même, non ! Par le Seigneur, oui ! En son temps, il interviendra pour purifier le monde du mal et établir son règne de justice. Dès à présent, nous pouvons individuellement nous reconnaître perdu, sans possibilité de délivrance par nous-même, et nous confier en Jésus Christ pour recevoir une vie nouvelle, capable de faire le bien. En laissant le Seigneur agir en nous par son Esprit nous ne vivrons plus de la même manière, pour nous-même, mais pour Dieu. C'est en réalité Jésus qui vivra en nous.

(La Bonne Semence)

La véritable origine de Noel (partie 1)


Par David C. Pack

Quelle est l’origine de Noël ? De la Bible ou du paganisme ? Quelle est l’origine véritable du Père Noël, du gui, des arbres de Noël, des guirlandes et de la coutume d’échanger des cadeaux ? Plusieurs voudraient « réintroduire le Christ dans la fête de Noël ». Y a-t-Il seulement jamais été ? Voici les réponses étonnantes à ces questions ! Chaque année lorsque l’automne avance, les pensées d’un grand nombre de personnes se tournent vers Noël. C’est le moment où les chrétiens pratiquants doivent se concentrer sur Jésus-Christ. Après tout c’est une période qui Lui est dédiée ! Rudolph, le petit renne au nez rouge, les guirlandes, les arbres décorés, le gui, les échanges de souhaits, la musique de Noël, les marrons grillés ainsi que le Père Noël sont toutes des choses qui sont associées à cette fête. Chacune d’elles apportent à tous ceux qui la célèbrent un sentiment de douce chaleur. J’ai grandi dans une famille qui observait Noël et pour laquelle c’était un événement très important, année après année. Nous n’oubliions rien de ce qui faisait partie de la fête. Le 24 décembre au soir, la nervosité croissait à chaque minute qui passait. Mes parents allaient jusqu’à faire chauffer du café noir frais pour le Père Noël juste avant de nous envoyer nous coucher. Je me suis toujours demandé comment ils avaient appris que le Père Noël aimait son café noir, juste comme eux-mêmes l’aimaient. Après avoir été au lit, j’avais de la difficulté à m’endormir et j’étais impatient d’arriver au matin afin de découvrir ce que le « Père Noël » m’avait apporté. Noël est considéré par la plupart comme étant une des plus belles périodes de l’année, celle où les gens en profitent pour donner, pour se rassembler en famille, pour écouter de la belle musique et décorer les maisons, pour manger tous ensemble et même chanter des chants de Noël dans le voisinage (comme ma propre famille le faisait chaque année). Toutes ces coutumes veulent être le reflet de l’adoration que nous avons pour le Christ. Et, sans conteste, c’est ce que la Bible nous dit de faire, n’est-ce pas ? Les réponses à cette question vous surprendront ! Pourquoi les gens pensent-ils que Noël est merveilleux ? Personnellement, je trouvais cette période merveilleuse. J’ai accepté ce que mes parents m’avaient appris. Je n’avais aucune raison de douter de ce qu’ils m’avaient dit. En fait, ils ne faisaient que m’enseigner ce que leurs parents leur avaient enseigné. Jamais je n’ai remis en question l’origine de Noël ! La plupart des gens ne réfléchissent jamais aux raisons qu’ils ont de croire ce qu’ils croient ou de faire ce qu’ils font. Nous vivons dans un monde rempli de coutumes mais très peu se soucient d’en chercher les origines. Nous les acceptons généralement comme allant de soi. En fait, la plupart des personnes font ce que tous les autres font — parce que c’est aisé et naturel. Examinons soigneusement les racines de la fête de Noël. Voyons quelles sont les raisons de l’existence des coutumes qui lui sont associées. Pourquoi la fête s’observe-t-elle le 25 décembre ? L’Église apostolique du Nouveau Testament observait-elle cette fête ? Cette brochure est remplie de faits historiques qui, une fois regroupés, permettent d’obtenir une image complète. Évitons les suppositions et n’acceptons que les faits qui peuvent être prouvés !

jeudi 10 décembre 2015

Des certitudes

Nous savons, du reste, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein. Romains 8 : 28
« Ceux qui craignent Dieu », ce ne sont pas ceux qui ont peur de lui, mais ceux qui le respectent et qui, par amour pour lui, craignent de lui déplaire. Pour ceux-là, quelles extraordinaires certitudes : Ils savent que toutes choses concourent pour leur bien et que ira bien pour eux. Est-ce que cela veut dire que les problèmes de la vie quotidienne, les épreuves, les larmes, leur seront épargnés ? Sûrement pas. Jésus n'a jamais promis que la vie serait facile à partir du moment où quelqu'un s'est converti. Il n'a pas caché aux siens qu'ils auraient affaire au monde avec les mille contrariétés de la vie journalière, la maladie, les deuils, les peines profondes aussi bien que les joies. Mais la promesse qu'il nous a faite - et qu'il tient - c'est celle se sa compagnie pendant que nous traversons toutes ces choses. Et il nous rappelle que tout est permis par un tendre Père qui a en vue notre vrai bonheur. Il veut que ceux qui l'aiment réalisent que le contentement n'est pas lié aux circonstances changeantes de cette terre, mais à la communion de leur âme avec lui. Ce qu'il veut, c'est nous rapprocher de lui, mettre sa paix dans nos cœurs, nous faire vivre dans sa présence, et pour cela il doit souvent se servir de l'épreuve.

(La Bonne Semence)

mercredi 9 décembre 2015

Le porte-monnaie

Ayez foi en Dieu. Marc 11 : 22
Thérèse habite chez ses parents à la campagne. Elle a, depuis trois mois seulement, trouvé un emploi dans la ville voisine, et son salaire, pourtant modeste, constitue un apport non négligeable à la vie de la maison. Ce jour-là elle vient justement de toucher sa paie. À son arrivée au village, elle descend de son vélo et s'aperçoit avec stupeur qu'elle a perdu le porte-monnaie qui contenait tout son salaire. Toute bouleversée, elle refait le chemin en sens inverse, hélas sans succès ! Tout à coup une pensée lui vient : Dieu pourrait m'aider. Mais Est-ce que son problème n'est pas trop petit pour Celui dont la Bible dit qu'il '' compte le nombre des étoiles '' ? (Psaume 147 : 4). C'est vrai, mais il compte aussi les cheveux de nos têtes (Luc 12 : 7), se dit-elle confiante. Quand Thérèse arrive à al maison, elle voit sa mère venir à sa rencontre. Qu'est-ce qu'elle agite dans sa main ? O merveille ! Le porte-monnaie, et l'argent  y est bel et bien. Une femme du village l'a ramassé en ville sur le trottoir devant un grand magasin. En l'ouvrant, elle a trouvé une photo : « Mais c'est ma petite voisine ! » Et, précédant celle-ci de peu, elle vient de rentrer au village et de rapporter le porte-monnaie. Merci, Seigneur, tu veilles sur nous et sur nos affaires tu mérites notre confiance. Oui, tu tiens la promesse faite autrefois à l'un de tes serviteurs : « Je serai avec toi ; je ne te laisserai pas et je ne t'abandonnerai pas » (Josué 1 : 5).

(La Bonne Semence)

mardi 8 décembre 2015

L'éclat de l'or

Or, si quelqu'un bâtit sur ce fondement avec de l'or, de l'argent, des pierres précieuses, du bois, du foin, du chaume, l'œuvre de chacun sera manifestée ; car le jour le fera connaître, parce qu'elle se révélera dans le feu, et le feu éprouvera ce qu'est l'œuvre de chacun. 1 Corinthiens 3 : 12-13
Connaissez-vous l'histoire peu ordinaire du navigateur Frodsham ? Vers la fin du XVième siècle, son gouvernement l'avait envoyé explorer les mers arctiques. Parvenu à la région qui reçut par la suite le nom de '' Terre de Baffin '', il trouva sur le rivage une abondance de morceaux d'un minerai jaune et brillant qui lui parut renfermer de l'or. Rentré en hâte en Angleterre, il fit voir des échantillons à un soi-disant expert qui lui affirma catégoriquement que c'était bien un minerai d'or. D'autant mieux persuadé qu'il ne demandait qu'à l'être, il réalisa tout son avoir pour constituer une flotte de plusieurs navires et partit vers ce miraculeux rivage où il n'y avait qu'à se baisser pour ramasser des blocs si précieux. Fou de joie, il fit charger les cales de ses navires au maximum de ce qu'elles pouvaient contenir. Mais quand on voulut extraire l'or du minerai, on se rendit compte que l'expert s'était trompé ! Le malheureux navigateur s'était ruiné ! Et cela pour rapporter une cargaison de cailloux sans valeur... À bien plus forte raison, c'est courir à la ruine que de se fier à quelque expert religieux pour estimer les réalités éternelles. Seule la Parole de Dieu est fiable pour nous révéler la vraie valeur de ce que nous poursuivons.

(La Bonne Semence)

lundi 7 décembre 2015

Je n'ai pas le temps

Arrêtez et sachez que je suis Dieu. Psaume 46 : 11a
Combien de fois as-tu dit ou entendu cette phrase : Je n'ai pas le temps ! Pas le temps de réfléchir, pas le temps d'aider mon ami ou mon voisin, pas le temps d'entrer en contact avec Dieu, de lire la Bible, pas le temps de m'occuper de mon âme... Est-ce parce que les besoins de ton corps occupent toutes tes pensées : manger, s'habiller, faire du sport ? Ou est-ce que ton esprit est encombré de nombreuses choses : télévision, musique, études, sorties (on peut continuer la liste...) ? Prends conscience que c'est le diable qui veut t'empêcher de t'arrêter. As-tu pensé qu'un jour - que tu le veuilles ou non - il faudra prendre le temps de mourir ? Seras-tu prêt alors pour rencontrer Dieu ? Pourquoi Jésus, le Fils de Dieu, est-il venu ? Pour détruire les œuvres du diable (1 Jean 3 : 8). Bartimée, l'aveugle, mendie au bord de la route (Marc 10 : 45 à 52). Il entend une foule qui approche. On lui dit que c'est Jésus qui passe. Il se met à crier de toutes ses forces : « Jésus... pitié... ! » On veut le faire taire. Mais il crie encore plus fort. Et Jésus s'arrête ! Il n'est pas trop occupé, ni pressé, ni dépassé, ni débordé... Au milieu de sa tâche immense, des besoins écrasants, des foules qui le pressent, il est toujours disponible pour chacun, pour Bartimée qu'il guérit, pour toi aujourd'hui ! Lui a du temps pour toi. Mais toi, as-tu du temps pour lui ?

(La Bonne Semence)

dimanche 6 décembre 2015

La grandeur de Jésus

Et tous furent frappés de la grandeur de Dieu. Luc 9 : 43a
L'ange Gabriel, annonçant à Marie la naissance de Jésus, lui dit : « Il sera grand » (Luc 1 : 32) et il le fut. Celui que l'on estimait être le fils du charpentier, couché dans la crèche de Bethléem, fut acclamé par les armées célestes. Enfant de douze ans, dans le temple, il écoutait et interrogeait les grands docteurs de la loi qui s'étonnaient de ses réponses. Quand, mêlé aux pécheurs repentants, il était baptisé par Jean, le ciel s'ouvrit et le Père déclara : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé » (Matthieu 3 : 17). Un homme, un seul, sur la terre, faisait les délices de Dieu. Il commandait aux vents et à la mer, il rassasiait cinq mille personnes avec cinq pains et deux poissons, il guérissait les malades et les infirmes, il ressuscitait les morts. Sur une montagne, il a été un jour transfiguré devant les yeux de trois de ses disciples, et Moïse et Élie ont dû s'effacer devant l'unique Fils bien-aimé du Père. Sortant du jardin des Oliviers, bien que brisé par l'intensité du combat spirituel qu'il avait livré, il dira : « La coupe que le Père m'a donnée, ne la boirai-je pas ? » (Jean 18 : 11). L'œuvre accomplie, il sort ressuscité du tombeau puis monte au ciel où Dieu l'accueille et lui donne la gloire.

(La Bonne Semence)   

samedi 5 décembre 2015

L'oeuf de chaque jour

Regardez les oiseaux du ciel : ils ne sèment ni ne moissonnent, et ils n'amassent rien dans des greniers ; et votre Père céleste les nourrit. Ne valez-vous pas beaucoup plus qu'eux ? Matthieu 6 : 26
Lors de persécutions religieuses dans un pays d'Amérique latine, un chrétien se réfugia dans un grenier et se cacha derrière un grand tas de branches. Les soldats fouillèrent toute la maison sans le trouver... mais, ensuite, s'installèrent au rez-de-chaussée. Bientôt la faim se fit sentir, et notre ami usa de la seule ressource dont il disposait : la prière. Dieu l'entendit, et chaque jour, une poule entra par la fenêtre et vint pondre un œuf près de lui. Fait remarquable, cette poule ne chanta jamais après la ponte, ce qui aurait inévitablement donné l'éveil. Au bout de quinze jours, les soldats partirent, et ce fut la délivrance. Ce petit miracle n'est-il pas une touchante manifestation de la bonté de Dieu qui répond aux prières ? Pour lui, nos problèmes ne sont ni trop petits, no trop grands. Rien ne le dépasse. Il nous arrive à tous d'avoir besoin de délivrance, de secours, et cela dans des occasions variées. Comme pécheurs, nous avons tout d'abord besoin d'un Sauveur qui nous délivre du jugement, Jésus est ce Sauveur : il a subi le jugement à notre place sur la croix. Comme chrétiens, nous avons aussi besoin d'être aidés, c'est pourquoi nous sommes invités à prier notre Dieu avec confiance pour avoir du secours au moment voulu. Et n'oublions pas qu'il fera bientôt beaucoup plus que cela : il prendra ses enfants près de lui, pour l'éternité, dans un bonheur parfait.

(La Bonne Semence)

vendredi 4 décembre 2015

Saisissez la corde

Voici maintenant le temps favorable, voici maintenant le jour du salut. 2 Corinthiens 6 : 2b
Sur les côtes du Nord, un jeune sportif recueillait les œufs des oiseaux de mer qui nichent dans les fentes des falaises abruptes. Il s'était laissé descendre au moyen d'une corde pour atteindre une corniche, mais au moment où il prenait pied, la corde lui échappa. Il réalisa en une seconde l'horreur de la situation loin de tout secours humain, il était dans l'alternative de mourir de faim ou de tomber dans le précipice qui était à ses pieds. Il regardait la corde qui, comme un balancier de pendule, s'approchait et s'éloignait alternativement de lui, et, avec angoisse, constatait que les oscillations devenaient de plus en plus courtes. Une pensée rapide comme l'éclair lui traversa l'esprit. « Cette corde, se dit-il, est mon unique moyen de salut, et dans un instant, elle sera trop éloignée de moi pour que je puisse l'atteindre. C'est maintenant ou jamais ! » Et d'un bond, il s'élança dans le vide, saisit la corde et fut sauvé. Qui ne frémirait pas en pensant à la position de ce garçon ? Eh bien ! pensez à la vôtre : À vos pieds s'étend le gouffre de l'éternité dans lequel vous n'osez plonger le regard... Le temps s'écoule... Chaque minute a sa valeur, et vous n'avez aucun secours humain à attendre. Le salut est à votre portée. La corde qui seule peut vous sauver est là. Jamais peut-être elle ne sera plus près de vous que maintenant. Saisissez-la tout de suite : Jésus est l'unique moyen de salut.


(La Bonne Semence)

jeudi 3 décembre 2015

Le Seigneur vient nous voir à l'improviste

Vous aussi, tenez-vous prêts, car le Fils de l'homme viendra à l'heure où vous n'y penserez pas. Luc 12 : 40
Pour un chrétien au service de son Maître, il est essentiel d'être prêt à rencontrer Jésus à tout moment, ce qui n'est pas chose facile ! Ce n'est pas le péché qui s'y oppose, ni les difficultés, mais le fait d'être si absorbés par le travail que nous ne sommes pas prêts à rencontrer Jésus à l'improviste. La chose la plus nécessaire n'est pas de fixer les yeux sur nos croyances, notre foi ou notre utilité, mais sur lui. Jésus vient rarement quand nous l'attendons ; il surgit à l'improviste, et toujours dans les moments où sa venue était la moins probable. Pour être fidèle à Dieu, son serviteur doit être toujours prêt à recevoir les visites imprévues que lui fait Jésus. Notre travail n'a pas d'importance, comparé à la réalité spirituelle intense de l'attente de Jésus-Christ. Cela donne à notre vie l'attitude de l'enfant émerveillé. Si nous voulons être toujours prêts à recevoir le Seigneur, renonçons à nous servir de la religion comme d'une forme supérieur de la culture, vivons dans la réalité spirituelle. Si vous avez les regards sur Jésus, vous détournant des préoccupations religieuses de votre époque, et mettant tout votre cœur à ce qu'il désire, on vous appellera un utopiste et un rêveur. Mais quand il apparaîtra, au moment des travaux et de la chaleur du jour, vous serez le seul à être prêt. Ne vous fiez à personne, même pas au plus grand saint qui ait jamais vécu, s'il vous fait perdre de vue Jésus-Christ.

(Oswald Chambers)

mercredi 2 décembre 2015

Rencontre sur le pont

L'Éternel garde les simples : J'étais malheureux, et il m'a sauvé. Psaume 116 : 6
Un soir, un pasteur rentrait à pied de la gare chez lui par des rues désertes. Sur un pont qu'il lui fallait traverser, il aperçut un jeune homme accoudé au parapet, l'œil fixé sur l'eau noire. Notre ami se sentit poussé à s'arrêter et à adresser quelques mots à cet inconnu en lui remettant un tract évangélique qu'il avait dans sa poche. Deux ans se passent. Le pasteur, ayant affaire au campus de l'université, s'arrête à la cafétéria, lieu privilégié pour les rencontres. Soudain, à son approche, un étudiant se lève, radieux : « Vous ne me reconnaissez pas ? » « Non, je ne me souviens pas de vous avoir vu. » « Moi je vous connais ! Nous nous sommes rencontrés sur le grand pont, un soir, il y a deux ans, et vous m'avez sauvé deux fois la vie. J'étais sur le pont de sauter dans le fleuve... Des problèmes familiaux... échec à mes examens... Vos paroles m'ont réconforté vous m'avez engagé à mettre ma confiance dans le Christ... J'ai vu les choses autrement j'ai renoncé à mon projet. Rentré à la maison, j'ai lu votre tract ensuite je me suis mis à lire la Bible, et j'y ai trouvé ce qui me manquait, Jésus, mon Sauveur. Maintenant je crois en lui. Quelques jours après ma conversion, je me suis réconcilié avec ma famille, j'ai repris ma scolarité, tout est rentré dans l'ordre. Gloire à Jésus qui m'a sauvé et merci à vous qui me l'avez fait connaître !

(La Bonne Semence)

mardi 1 décembre 2015

Dieu est grand

Dieu est grand, mais sa grandeur nous échappe ; le nombre de ses années est impénétrable. Job 36 : 26
Les mots sont faibles pour exprimer la grandeur de Dieu. Dans la Bible, Job disait : « Dieu fait de grandes choses qu'on ne peut sonder, des merveilles à ne pouvoir les compter » (Job 5 : 9). L'esprit humain ne peut comprendre que très partiellement ce que Dieu fait. L'univers dans lequel nous vivons démontre la grandeur du Créateur. Derrière la beauté de la nature se cachent une complexité et une intelligence merveilleuses. Dieu est grand dans sa puissance créatrice, combien plus dans son amour. La Bible parle de l'immense amour dont il nous a aimés (Éphésiens 2 : 4). Rien en nous ne pouvait justifier, expliquer ou motiver l'amour de Dieu pour nous. À ses yeux, nous étions tous, par nature, salis par le péché. Fallait-il que l'amour de Dieu soit grand pour envoyer son Fils sur la terre, où il s'est laissé crucifier après avoir supporté la haine des hommes qu'il venait sauver ! Christ est resté sur la croix pour supporter à notre place le jugement du Dieu saint contre le péché. « Christ, alors que nous étions encore sans force, au temps convenable, est mort pour des impies » (Romains 5 : 6).
Qui peut te connaître,  - Dieu d'éternité,
Toi, Seigneur et Maître, - Dieu de sainteté ?
Ta grandeur dépasse - l'infini des cieux,
Et rien ne surpasse - Ton nom glorieux.
Loin de ta présence - L'homme est-il banni ?
Non, ta grâce immense - À tout aplani.
Ô Dieu sans limite, - Qu'on ne peut toucher,
Ton cœur nous invite - À nous approcher.

(La Bonne Semence)


lundi 30 novembre 2015

Mettre en pratique

Mettez en pratique la parole, et ne vous bornez pas à l'écouter, en vous trompant vous-mêmes par de faux raisonnements. Jacques 1 : 22
« L'épreuve pratique du permis de conduire a pour but de vérifier que ta formation est bien terminée, et que tu as acquis le minimum d'expérience nécessaire pour conduire seul ». Le moniteur annonce ainsi à mon fils ce qu'il va devoir prouver à l'examinateur dans quelques jours. Dans ma vie de chrétien, depuis bien des années, j'ai entendu beaucoup d'enseignements de la Bible. Quels effets pratiques ont-ils eus sur ma vie ? Le verset ci-dessus me met en garde contre la mauvaise habitude d'écouter la Parole de Dieu sans en tirer les conséquences. Je me plais à l'entendre, mais mon cœur et ma conscience ne sont pas vraiment touchés. Demeurer dans cet état est illusoire et dangereux. Le Seigneur a dit à ses disciples : « Quiconque entend ces paroles que je dis, et ne les met pas en pratique, sera comparé à un homme insensé qui a bâti sa maison sur le sable » (Matthieu 7 : 26). Obéissons à ce que nous avons entendu. D'abord pour répondre à cette invitation : « Quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé » (Romains 10 : 13). Puis appliquons-nous à garder sa Parole afin qu'elle ait un impact sur notre vie. Nos paroles, nos habitudes, notre vie journalière, montrent-elles que nous aimons le Seigneur ? Jésus a dit : « Si quelqu'un m'aime, il gardera ma parole » (Jean 14 : 23). Cherchons à lui plaire. « Heureux plutôt ceux qui écoutent la parole de Dieu, et qui la gardent ! » (Luc 11 : 28).

(La Bonne Semence)

dimanche 29 novembre 2015

Vivre à contre-courant

Je suis le cep, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruit, car sans moi vous ne pouvez rien faire. Jean 15 : 5
Aide-moi, Seigneur, à faire ce que tu veux,
Même si je dois être différent.
Différent des autres et différent du monde,
Des courants d'idées autour de moi.
Par ta puissance, aide-moi à vivre
Sans me conformer au siècle présent.
Oh Dieu, remplis-moi, donne-moi tes forces :
Que je n'aie pas honte de toi.
Si je dois subir les jugements, les rires,
Oh, que je regarde à toi, Jésus.
Si on me fait mal, tu me dis : « Sois heureux,
Heureux sont tous ceux qui souffrent pour moi ». Fais que je supporte mépris, rejet, critiques,
Sans faiblir, sans faire de compris.
Je sais que tu m'aimes, fais que je n'oublie pas :
Tout ce que tu veux est bon pour moi.
(M. Dirlewanger, M. Varidel)
« N'aimez point le monde, ni les choses qui sont dans le monde. Si quelqu'un aime le monde, l'amour du Père n'est point en lui ; car tout ce qui est dans le monde, la convoitise de la chair, la convoitise des yeux, et l'orgueil de la vie, ne vient point du Père, mais vient du monde. Et le monde passe, et sa convoitise aussi ; mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement (1 Jean 2 : 15 à 17).

(La Bonne Semence)

samedi 28 novembre 2015

Servir le Dieu vivant

Car on raconte, à notre sujet, quel accès nous avons eu auprès de vous, et comment vous vous êtes convertis à Dieu, en abandonnant les idoles pour servir le Dieu vivant et vrai, et pour attendre des cieux son Fils, qu'il a ressuscité des morts, Jésus, qui nous délivre de la colère à venir. 1 Thessaloniciens 1 : 9-10

Les premiers chrétiens à Thessalonique s'étaient détournés des idoles pour servir le Dieu vivant et vrai, parce qu'ils avaient cru l'évangile et l'avaient reçu comme le message de Dieu. Ce changement radical avait eu un impact fort sur tous ceux qui en avaient été les témoins. Même si nous vivons dans un monde en évolution constante, la plupart d'entre nous hésitons à modifier notre façon de vivre. Mais la puissance de la Parole de Dieu peut opérer ce revirement, comme chez ces croyants du début de l'Église. Dieu a fait briller sa lumière dans leur cœur (2 Corinthiens 4 : 6), et tout a changé. En se tournant vers Dieu, ils avaient abandonné les idoles. Libérés de l'esclavage du péché et du pouvoir du diable, ils étaient devenus serviteurs du Dieu vivant et vrai ; leur nouveau maître était Jésus Christ. Leur conception de la vie était transformée. Ce n'était pas l'amélioration du monde qu'ils attendaient, car ils savaient que la colère de Dieu allait bientôt fondre sur lui. Ils n'attendaient pas non plus la mort parce que leurs regards s'élevaient bien plus haut. Ils attendaient des cieux le Fils de Dieu qui allait les prendre avec lui. Sur le plan moral, le monde va mal, et plus que cela, il va au-devant du jugement de Dieu. Mais les croyants savent que Jésus les en a délivrés et veut les retirer de la terre pour les introduire pour toujours, avec lui, dans  la maison du Père. Êtes-vous prêt, attendez-vous le Fils de Dieu du ciel, celui qui nous délivre de la colère qui vient ?

(La Bonne Semence)

vendredi 27 novembre 2015

À qui veux-tu ressembler ?

Soumettez-vous donc à Dieu. Jacques 4 : 7a
Le Pharaon, le grand roi d'Égypte, retenait prisonnier et esclave le peuple hébreu (Exode 5 à 12). Dieu envoie Moïse pour le libérer. Le Pharaon ne veut pas écouter. Dieu frappe l'Égypte de dix jugements terribles. Le roi s'obstine, endurcit son cœur, se révolte contre Dieu. Il ne veut pas obéir, jusqu'à ce que Dieu l'y oblige. Rebelle jusqu'au bout, il meurt noyé dans la mer Rouge avec toute son armée.
Job, atteint d'épreuves très dures (deuil, maladie, perte de tous ses biens), se soumet à Dieu. Dans ces jours de douleur, il apprend à se connaître, et à connaître le cœur de Dieu. Le but de Dieu était de le bénir à la fin : il le guérit, le rétablit complètement et lui redonne enfants et abondance de biens.
Auquel de ces deux hommes voulons-nous ressembler, à celui que Dieu a puni pour toujours ou à l'homme soumis, humilié, que Dieu a béni ? Dieu travaille pour faire de ma vie comme un ouvrage de broderie. Je n'en vois que l'envers : les fils noués, coupés. Lui seul en a une vue d'ensemble, il en a tracé le dessin : les fils noirs font ressortir les couleurs vives. Dieu est souverain, il est infiniment bon, infiniment sage. Je connais son amour : il m'en a donné une preuve merveilleuse, en envoyant Jésus, son Fils unique, sur la terre. Il l'a frappé à ma place sur la croix, pour que mes péchés soient effacés par son sang. J'étais perdu, loin de lui, il m'a sauvé de la mort et me fait approcher tout près de lui.

(La Bonne Semence)