dimanche 6 avril 2014

La trousse du médecin

Et Jésus ayant entendu cela, leur dit : « Ceux qui sont en santé, n'ont pas besoin de médecin, mais ceux qui se portent mal : je ne suis point venu appeler à la repentance les justes, mais les pécheurs. Marc 2 : 17
 
Le médecin, la trousse à la main, se rend chez ses malades. Elle contient de nombreux instruments indispensables : le stéthoscope pour ausculter le cœur, le thermomètre pour prendre la température, l'abaisse-langue pour examiner la gorge, la lampe de poche pour passer en revue les yeux et les oreilles. De plus par la palpation, le docteur se rend compte de ma condition physique. Quel est le diagnostique de Dieu sur ma condition spirituelle ? Pour qui bat mon cœur ? Est-il endurci ou ému de compassion comme celui de Jésus ? Quelle est ma vraie température : suis-je froid, tiède ou bouillant pour le Seigneur ? Ai-je une infection de la langue, pas seulement des mots vulgaires, mais peut-être des mensonges, des paroles méchantes, de la médisance ou de la calomnie ? L'œil est-il en bon état ou voit-il double, est-il encombré de prétention ou de vanité ? L'oreille entend-elle des sons confus ou clairement la Parole de Dieu ? Et que révèle l'examen des mains, des pieds, du ventre, serait-ce paralysie, paresse et gourmandise ? Est-ce que je souffre de maladie grave ou de petits malaises ? Dieu doit-il dire de moi : « Toute la tête est malade et tout le cœur fait défaut. Depuis la plante du pied jusqu'à la tête, il n'y a rien en lui qui soit sain » ? (Ésaïe 1 : 5-6) Mais il a le remède : « C'est lui qui te pardonne toutes tes iniquités, qui guérit toutes tes infirmités. » (Psaume 103 :3). Jésus dit : « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et  je vous soulagerai.» (Matthieu 11 : 28). Il est le divin médecin de notre âme.

À l'école de Dieu

(...) Mon enfant, ne méprise point le châtiment du Seigneur, et ne perds point courage quand tu es repris de lui : car le Seigneur châtie celui qu'il aime, et il fouette tout enfant qu'il avoue. Si vous endurez le châtiment, Dieu se présente à vous comme à ses enfants : car qui est l'enfant que le père ne châtie point ? Hébreux 12 : 5 à 7
 
Pendant que je joue au ping-pong avec mon grand garçon, sa petite sœur, du haut de ses deux ans, nous regarde. Mais elle ne veut pas s'éloigner de la table, malgré mes mises en garde, et risque à chaque instant de recevoir un coup. Finalement, je lui frôle volontairement la tête avec ma raquette, pour lui faire prendre conscience du danger. Elle recule alors jusqu'à la place que je lui avais indiquée, en se massant la tête... pour la forme ! Cela est efficace, mais il faut recommencer la leçon de temps en temps... Cette petite expérience que tous les parents ont pu faire ne peut-elle pas nous enseigner quelque chose sur la manière dont Dieu agit envers nous ? Dans la Bible, sa Parole, il dit au croyant tout ce qu'il doit savoir pour son bonheur. Celui qui croit en Jésus-Christ est un enfant de Dieu quoi qu'il arrive, mais s'il veut être pleinement heureux, il lui faut accepter l'éducation de son Père céleste. Dieu, le meilleur des pères, peut un jour nous toucher au point sensible, non pour nous faire du mal, mais au contraire pour nous éviter une plus grande souffrance. Il nous donne des leçons destinées à nous le faire mieux connaître comme celui qui nous aime, se tient près de nous et nous console. Il nous forme pour son service. La vie est une école, dit-on. Oui, sans doute. Et la vie chrétienne, c'est l'école où Dieu lui-même est le pédagogue. Ce qui nous incite à lui faire confiance et à ne pas nous décourager dans les difficultés.

samedi 5 avril 2014

Tout pour Jésus

Car j'ai eu faim, et vous m'avez donné à manger ; j'ai eu soif, et vous m'avez donné à boire ; j'étais étranger, et vous m'avez recueilli ; j'étais nu, et vous m'avez vêtu ; j'étais malade, et vous m'avez visité ; j'étais en prison, et vous êtes venus vers moi. Matthieu 25 : 35-36
 
Quelques jeunes religieuses issues de familles aisées avaient été nouvellement affectées à l'hôpital de la ville par la Mère supérieure de leur couvent pour y être formées comme aides-soignantes. On les avait placées dans un service de malades pour la plupart séniles et grabataires. Déçues d'abord, ces jeunes novices s'étaient donné un mot d'ordre qui constituait leur secret, trois mots qu'elles se répétaient à elles-mêmes en s'occupant de tâches peu gratifiantes, comme de nettoyer des plaies purulentes, de faire une toilette mortuaire ou de laver des vieillards incontinents. '' Tout pour Jésus ''. C'était leur secret. Elles se le répétaient intérieurement, ou l'une à l'autre, en se croisant dans les couloirs de l'hôpital. «On vous voit toujours sourire, ma sœur, quoi que vous fassiez », disait un malade à l'une d'elles qui changeait ses pansements. Elle répondit : « Mon Maître a bien lavé les pieds de ses disciples. Et c'était le Fils de Dieu ». Chrétiens, nous avons à la fois ce Seigneur et ce Modèle. Pouvons-nous mieux lui plaire qu'en imitant son exemple ? '' ... servant avec affection le Seigneur...'' (Éphésiens 6 : 7).

La voix du bon Berger

Et quand il a mis ses brebis dehors, il va devant elles, et les brebis le suivent, parce qu'elles connaissent sa voix. Mais elles ne suivront point un étranger ; au contraire, elles le fuiront, parce qu'elles ne connaissent point la voix des étrangers. Jean 10 : 4-5
 
Dans un pays du Moyen-Orient, un jeune touriste prenait quelques photos d'un puits où des bergers faisaient boire leurs brebis. Trois bergers étaient là et leurs troupeaux s'étaient mélangés. Le voyageur se demandait comment chaque berger allait reconnaître ses brebis. Lorsque les bêtes eurent vidé l'auge, un des bergers cria : « Mehn-ah » (ce qui veut dire : suivez-moi). Aussitôt ses brebis se séparèrent des autres et le suivirent. Un autre berger cria le même mot et les brebis le suivirent. Voyant cela, notre ami demanda au troisième berger si les brebis le suivraient si lui, l'étranger, criait aussi : « Mehn-ah » - « Essayez, vous verrez bien ». Pour s'assurer du succès, le voyageur revêtit le burnous du berger, enroula son chèche sur la tête, et ainsi déguisé il appela : « Mehn-ah ». Les brebis ne bougèrent pas, quelques-unes tournèrent la tête, mais aucune ne le suivit. - « Est-ce qu'elles ne suivent jamais un autre berger ? » - « Si, cela arrive, mais seulement quand elles sont malades.» La parole du berger n'est-elle pas aussi pour nous autres, chrétiens ? Si notre âme est en bonne santé, nous serons préservés de suivre qui que ce soit d'autres que le Christ. Lui seul a pu dire : « Je suis le bon berger » (Jean 10:11). Pour discerner, parmi toutes les voix que nous entendons, celle du bon Berger, il faut avoir l'habitude de l'écouter, en étant attentifs à sa Parole.

Métamorphose

Et comme nous avons porté l'image de celui qui est tiré de la poussière, nous porterons aussi l'image du céleste.
1 Cor. 15 : 49
 
Car il faut que ce corruptible revête l'incorruptibilité, et que ce mortel revête l'immortalité. 1 Cor. 15 : 53
 
Une chenille s'enferme dans l'enveloppe protectrice de sa chrysalide. On pourrait penser que c'est son cercueil. Pas du tout ! Par un phénomène mystérieux, les tissus de la petite créature vivante vont se fondre et, d'une substance amorphe, se dégagera un magnifique papillon. Celui-ci deviendra un paon du jour, celui-là un superbe vulcain. Quelles extraordinaires transformations ! L'insecte qui rampait, maintenant va voler ; il se nourrissait de feuillage, et le voilà qui suce le nectar des fleurs ; répugnant à l'état de larve, il est devenu une des beautés de la nature. Comme la larve rampante, l'homme chemine sur la terre ; puis, comme la nymphe inerte dans son cocon, il dort dans la tombe ; comme le papillon, il renaîtra à la vie par la résurrection. Ceux qui nient la résurrection des corps et demandent, en se moquant, comment ressuscitent les morts, et avec quels corps ils réapparaissent, sont appelés insensés. Telle une graine mise dans la terre, le corps est semé en corruption, en déshonneur, en faiblesse ; il ressuscitera en incorruptibilité, en gloire et en force (1 Cor. 15 : 35, 42, 43). Les croyants ressusciteront à la venue du Seigneur. Apprenons à lire le grand livre de la nature. Le Créateur y a caché pour notre instruction, sous forme de vivantes paraboles, quelques-uns de ses plus prodigieux secrets.

vendredi 4 avril 2014

Le réveil n'a pas sonné

Bien que le Dieu Fort parle une première fois, et une seconde fois à celui qui n'aura pas pris garde à la première (...) Job 33 : 14
 
Inclinez votre oreille, et venez à moi ; écoutez, et votre âme vivra (...) Ésaïe 55 :3
 
« Une jeune hôtesse de l'air aurait dû faire partie de l'équipage d'un vol intérieur, mais elle est arrivée à l'aéroport en retard parce que son réveil n'avait pas sonné. L'avion s'est écrasé et les occupants ont été tués.» C'était en mars 1988. Avoir la vie sauve grâce à un réveil défectueux ! Ne serait-ce pas, plutôt, que Dieu lui-même dirige les circonstances ? A-t-elle alors pensé à Dieu comme à celui qui tient le destin des êtres humains dans ses mains, qui s'intéresse à tous ce qui leur arrive ? Souvent Dieu utilise une circonstances tragique, une maladie, un deuil, un accident, un échec, une déception, pour avertir quelqu'un, lui enjoindre de se réconcilier avec son Créateur, de se tourner vers le Sauveur. Parfois c'est la conscience qui '' tinte '' lors d'un petit accroc à l'honnêteté, ou à la générosité. L'écouterions-nous si tout allait bien ? Quand le prophète Élie a fermé son cœur à la voix de Dieu, Dieu a fait passer devant lui un vent impétueux qui déchire la montagne et brise les rochers, suivi d'un tremblement de terre, puis du feu. Mais, dit la Bible,  '' L'Éternel n'était point dans ce feu '' (1 Rois 19 : 12). Toutes ces manifestations de puissance n'ont pas touché le prophète. Heureusement, '' après le feu, une voix douce, subtile ''. Élie reconnaît alors que Dieu lui parle : « Quelle affaire as-tu ici, Élie ? » et il lui répond. Ce n'est pas toujours facile de reconnaître la voix de Dieu dans les circonstances de notre vie ! Soyons donc attentifs, et surtout, lisons la Bible, car Dieu nous parle souvent par elle.

jeudi 3 avril 2014

La palourde

Passage à lire : Jean 13 : 3 à 10
 
Je leur ai donné ta parole, et le monde les a haïs , parce qu'ils ne sont  point du monde, comme aussi je ne suis point du monde. Je ne te prie point de les ôter du monde, mais de les préserver du mal. Ils ne sont point du monde, comme aussi je ne suis point du monde. Sanctifie-les par ta vérité ; ta parole est la vérité. Jean 17 : 14 à 17
 
La palourde, ou clovisse, est un coquillage bivalve comestible qui vit au bord de la mer. On le repère à marée basse grâce à deux petits trous qu'il laisse en surface. Malgré un environnement constitué de sable ou de boue, l'intérieur de ce mollusque ne recèle jamais d'impuretés, il est toujours d'une étonnante propreté. Chrétiens, cet animal ne nous donne-t-il pas une leçon ? Si notre environnement moral est pollué de bien des manières, ne nous laissons pas contaminer pas les impuretés du monde. Sont indispensables pour cela vigilance et détermination. Certes, nous ne pouvons pas éviter tout contact avec le mal. Notre Seigneur n'a pas demandé à son Père que nous soyons ôtés de ce monde, mais que nous soyons gardés du mal. Il nous en a donné le moyen : la Bible, parole de Dieu, dont la lecture a une action sanctifiante, nous ''nettoie'' des souillures morales causées par ce que nous voyons, entendons et même pensons. Il nous a envoyé aussi le Saint-Esprit qui nous vient en aide pour comprendre les Saintes Écritures, et qui nous fait prendre conscience de ce qui, dans notre vie, doit être confessé au Seigneur et abandonné. À l'instar de la palourde, veillons à être hermétiques à la souillure environnante, mais largement ouverts pour laisser pénétrer en nous l'eau purificatrice de la Parole de Dieu, de sorte que notre communion avec notre Seigneur ne soit pas interrompue.

Grâce inespérée

Passage à lire : Tite 3 : 3 à 5
 
Un historien raconte que, durant la guerre d'indépendance du Mexique, au début du 19 ème siècle, le général Bravo fit prisonniers 600 Espagnols promis à une mort certaine. Au moment où il allait donner l'ordre de les exécuter, il apprit que son père avait été capturé par l'ennemi et battu à mort. Livide, l'officier annonça la nouvelle aux prisonniers condamnés qui, immédiatement, s'attendirent à être torturés en guise de représailles. Mais quelle ne fut pas leur surprise d'entendre le général s'écrier : « Vous avez entendu ce que les Espagnols sont capables de faire. Eh bien, pour vous montrer comment un Mexicain répond à pareil crime, je vous rends la liberté ». Les prisonniers crurent à une fausse annonce destinée à leur infliger un supplice supplémentaire, mais non ! Le général les rendait libres et leur angoisse fit place à une joie indescriptible. Et savez-vous comment ils profitèrent de cette grâce inespérée ? D'un mouvement unanime, les 600 prisonniers se mirent sous les ordres du général Bravo. Ce récit nous fait penser à la grâce bien plus grande et glorieuse dont Dieu fit preuve envers nous. Nous n'étions pas seulement ses ennemis, mais de misérables créatures révoltées contre le grand Dieu des cieux. Et il a voulu nous sauver. Non pas, comme le général mexicain, par noblesse et fierté, mais par amour, pour faire de nous ses propres enfants. N'est-il pas digne que nous nous mettions maintenant à son service ?


mardi 1 avril 2014

Besoin de Dieu ?

Et comme il est ordonné aux hommes de mourir une seule fois, et qu'après cela suit le jugement (...). Hébreux 9 : 27
 
Celui qui croit en lui, e sera point condamné : mais celui qui ne croit point, est déjà condamné ; parce qu'il n'a point cru au nom du Fils unique de Dieu. Jean 3 : 18
 
Ce voisin m'avait dit plus d'une fois : « Vous avez peut-être besoin de Dieu, moi je n'en ai pas besoin ». Un matin, on l'a trouvé mort, au pied de son lit. Cette fin est angoissante. '' Mais l'homme meurt, et perd toute sa force ; il expire, et puis où est-il ?'' (Job 14 : 10). (...) car l'homme s'en va dans la maison où il demeurera à toujours (...) (Ecclésiaste 12 : 7). Ce Dieu dont cet homme s'est détourné pendant sa vie, il va maintenant le rencontrer. Peut-on encore prier pour lui, supplier Dieu d'user de grâce ? Non, c'est trop tard. '' Or, afin que vous sachiez que le Fils de l'homme à le pouvoir sur la terre de pardonner les péchés (...) (Matthieu 9 : 6). Autrement dit, c'est quand on est encore en vie sur la terre qu'il faut recevoir son pardon ... '' (...) et si un arbre tombe vers midi, ou vers le septentrion, au lieu auquel il sera tombé il demeurera.'' (Ecclésiaste 11 : 3). Après la mort, il n'y a plus aucun espoir de salut pour celui qui n'a pas cru en Jésus-Christ. La Bible nous enseigne qu'il y a un lieu de bonheur pour ceux qui meurent dans la foi, ayant reconnu leur état de péché et cru au sacrifice de Christ, et un lieu de souffrance pour  ceux qui n'ont pas cru. Un '' grand abîme '' entre ces deux lieux (Luc 16:26) et l'on ne passe pas de l'un à l'autre. Dieu est-il donc dur et sévère ? Non, il a donné son Fils pour notre salut et Christ s'est offert lui-même. Ceux qui ne veulent pas de lui se ferment eux-mêmes la porte du ciel. Mais aujourd'hui elle est encore ouverte et il vous invite à en profiter.

Le nom au-dessus de tout nom

Passage à lire : Philippiens 2 : 5 à 11
 
Et elle enfantera un fils, et tu appelleras son nom Jésus : car il sauvera son peuple de leurs péchés. Matthieu 1 : 21
 
Si vous saviez hors de tout doute que vous alliez perdre la voix et que vous ne pourriez plus jamais parler, que voudriez-vous prononcer comme dernières paroles ? Un homme atteint d'un cancer de la gorge faisait face à une opération qui sauverait sa vie, mais pas sa voix. Juste avant l'opération, il a passé du temps avec sa femme à lui dire tout son amour, et il en a fait autant avec sa fille. Puis, il a demandé à son médecin de lui indiquer avec précision à quel moment l'anesthésie le rendrait inconscient. Sur le point de s'endormir, l'homme a dit distinctement : « Jésus ! Jésus ! » C'est le dernier mot qu'il a choisi de prononcer dans sa vie : « Jésus ! » Que signifie le nom de Jésus pour nous ? D'autres noms, comme le nom de nos bien-aimés sont extrêmement précieux. Mais pour ceux d'entre nous qui sont rachetés par la grâce de Dieu, le nom de Jésus est le plus significatif. Et il l'est aussi pour notre Père céleste, qui « l'a souverainement élevé, et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom, afin qu'au nom de Jésus tout genou fléchisse (...) et que toute langue confesse que Jésus-Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père ». Pour le reste de notre vie et pour l'éternité, magnifions ce nom merveilleux : Jésus. - V.C.G. -
 
Pensée : Le nom de Jésus est précieux pour ceux qui le connaissent et profane pour ceux qui le rejettent.

lundi 31 mars 2014

Quand tout semble nous sourire

Passage à lire : Deutéronome 6 : 10 à 19
 
Mais prends garde à toi, de peur que tu n'oublies l'Éternel qui t'a tiré du pays d'Égypte, de la maison de servitude. Deutéronome 6 : 12
 
La vie semble rose pour bien des gens. Leur travail les comble. Leur maison ou leur appartement n'a pas besoin de réparations. Leur compte bancaire indique un surplus. Les membres de leur famille sont en bonne santé. Leurs amis sont fidèles. Toutefois, les bons moments peuvent être dangereux, car les commodités et les plaisirs de ce monde peuvent devenir si importants que nous finissons par accorder à Dieu peu ou pas du tout de place dans nos pensées. La prospérité peut rapidement engendrer la suffisance. Dieu savait que cela se produirait quand son peuple entrerait dans la terre promise, alors il l'a exhorté à ne pas oublier la source de ses bénédictions (Deutéronome 6 : 13,14,16,17,18). Les historiens nous disent que la ferveur religieuse diminue habituellement en périodes de prospérité. Mais si nous tirons une leçon de l'expérience d'Israël et si nous tenons compte de l'exhortation du Seigneur, cela n'a pas à nous arriver. Prenons garde de ne pas oublier le Seigneur - surtout quand tout semble nous sourire. - H.V.I. -
 
Pensée : La prospérité peut, plus que la pauvreté, éprouver le caractère.

dimanche 30 mars 2014

Il veille toujours

Passage à lire : Psaume 34
 
Voici, l'œil de l'Éternel est sur ceux qui le craignent, sur ceux qui s'attendent à sa gratuité. Psaume 33 : 18
 
Une jeune fille avait rompu avec son petit ami, et maintenant il la harcelait en la suivant, en la fixant du regard et en l'intimidant de manières subtiles. Elle l'évitait donc le plus possible. Mais aux matches de football, elle ne pouvait fuir son regard, car elle était meneuse de ban. Lors d'un match, il se tenait sur le terrain juste devant les meneuses de ban et la fixait du regard tandis qu'elle exécutait les numéros de danse. Sa mère et son beau-père, qui étaient assis dans les gradins, l'ont vu faire et se sont rendu compte qu'elle avait de plus en plus peur de lui. Lors d'un arrêt de jeu, elle a couru dans les gradins, le regard paniqué et a laissé échapper : « Le voyez-vous là-bas ? » « Oui, je le vois, lui a répondu son beau-père. Je veille et je garde les yeux fixés sur toi.» Soulagée de voit qu'il se rendait compte de ce qui se passait et qu'il comprenait ce qu'elle éprouvait, la jeune fille s'est calmée et est retournée à son poste. Une des joies merveilleuses quand on croit en Jésus, c'est de savoir que notre Père céleste veille toujours sur nous. La promesse que David exprime dans le psaume d'aujourd'hui s'applique à nous, peu importe où nous sommes. Quoi que nous vivions, '' les yeux de l'Éternel '' sont sur nous et ses oreilles '' sont attentives à nos cris '' (Psaume 34 : 16). Nous ne sommes jamais hors de la vue de Dieu.
- D.C.E. -
 
Pensée : Ses yeux sont sur l'oiseau, et je sais qu'il veille sur moi. -Martin-

Être un exemple

Passage à lire : 1 Timothée 4 : 12 à 16
 
Que personne ne méprise ta jeunesse ; mais sois le modèle des fidèles en paroles, en conduite, en charité, en esprit, en foi, en pureté. 1 Timothée 4 : 12
 
Un étudiant de dernière année du secondaire, honoré comme le '' meilleur et le plus brillant '' de la communauté, a donné une puissante démonstration d'intégrité. Quand l'équipe de son école a dû épeler le mot auditorium lors d'un concours d'orthographe régional, il a baissé les yeux pour penser à sa réponse et a remarqué que le mot était écrit sur le pied du microphone. Il l'a signalé aux juges, qui lui ont proposé un mot plus difficile. L'étudiant a fait ce qu'il savait être juste peu importe si les autres l'avaient ou non remarqué. Nous ne savons pas quand nos actions pourraient devenir un exemple pour les autres. Mais si nous vivons chaque jour pour honorer Jésus, notre conduite sera un exemple d'intégrité, peu importe qui nous observe. L'idéalisme et l'enthousiasme sont souvent mieux exprimés par les jeunes, mais l'intégrité et l'honneur devraient être des objectifs pour les chrétiens de tout âge. Le même étudiant a dit que son objectif dans la vie est de changer le monde autour de lui sans jamais faire de compromis. Nous ferions bien de nous joindre à lui dans cette poursuite de la vie, de l'intégrité et d'une conduite exemplaire. - D.C.M. -
 
Pensée : Un bon exemple constitue toujours un bon sermon.

samedi 29 mars 2014

La maladie de la course folle

Passage à lire : Philippiens 3 : 7 à 16
 
Non que j'aie déjà atteint le but, ou que je sois déjà rendu accompli ; mais je poursuis ce but pour tâcher d'y parvenir ; c'est pourquoi aussi j'ai été pris par Jésus-Christ. Philippiens 3:12
 
Souvent, des paroles d'impatience franchissent nos lèvres, révélant notre rythme de vie accéléré « Dépêchez-vous ! » « Nous sommes en retard ! » « Tu es trop lent ! » Si nous ne faisons pas attention, nous devenons des gens pressés, exigeant des arrivées rapides et des résultats instantanés. Les experts du stress appellent cela '' la maladie de la course folle ''. Dans Philippiens 3, le témoignage de croissance de toute la vie de l'apôtre Paul nous rappelle que la maturité chrétienne peut être encouragée mais non hâtée. Dans un de ses livres, Paul Billheimer dit que tout comme Dieu met du temps à faire un chêne, il met du temps à faire un saint. La croissance chrétienne est le processus de toute une vie. Billheimer a écrit : « Une pomme qui n'est pas mûre n'est pas bonne à manger, mais nous ne devrions pas pour autant la condamner. Elle n'est pas encore prête à être mangée parce que Dieu n'a pas fini de la faire. C'est une étape de sa carrière, qui est à la bonne place.» Êtes-vous impatient par rapport à votre croissance spirituelle ? Rappelez-vous que Dieu n'en a pas fini avec vous - et il n'y compte pas jusqu'à ce qu'il vous appelle à la maison. Assurez-vous que votre objectif est de connaître Christ et de devenir de plus en plus semblable à lui. Puis, lentement mais sûrement, par beau ou mauvais temps, il vous mènera à la maturité. C'est son sûr remède contre '' la maladie de la hâte ''.
- J.E.Y. -
 
Pensée : Il n'existe pas de raccourcis vers la maturité spirituelle.

De l'admiration à l'adoration

Passage à lire : Apocalypse 1 : 9 à 18
 
Je me réjouirai et m'égayerai en toi ; je psalmodierai ton nom, ô Souverain !
 
Quelle est l'activité la meilleure à laquelle nous pouvons consacrer du temps ? Adorer Dieu ! L'adoration, ce n'est pas répéter en hâte des requêtes routinières, ni écouter de la musique entraînante. L'adoration, c'est être '' plongé dans l'admiration, l'amour et louange '', comme Charles Wesley l'a écrit. C'est l'admiration qui inspire l'adoration. Ma première visite au Grand Canyon m'a laissé bouche bée. L'ami qui m'y avait conduit a aimé ma réaction et est resté silencieux à mes côtés. J'ai contemplé cette scène magnifique en me disant : Voilà un aperçu de la majesté de Dieu. Mais mon admiration, en soi, n'était pas de l'adoration. Ma réaction est différente quand je rencontre Jésus dans l'Écriture. L'admiration se change en adoration quand je le contemple dans toute sa beauté. Qu'est-ce qui touche mon âme ? Sa pureté immaculée : « Qui de vous me convaincra de péché ? » (Jean 8:46). Sa sagesse inégalée : « Jamais homme n'a parlé comme cet homme » (Jean 7:46). Sa compassion sans bornes : « Voyant la foule, il fut ému de compassion pour elle » (Matthieu 9:36). Et sa majesté renversante : « Il fut transfiguré devant eux » (Matthieu 17:2). Quand je contemple Jésus dans les Évangiles, mon admiration se change en adoration. Je me prosterne en adoration et je m'exclame comme Thomas : « Mon Seigneur et mon Dieu ! » (Jean 20:28). - V.C.G. -
 
Pensée : La louange véritable de Christ change l'admiration en adoration.

dimanche 23 mars 2014

Temporaire...

Passage à lire : 1 Pierre 1 : 3 à 9
 
En quoi vous vous réjouissez, quoique vous soyez maintenant affligés pour un peu de temps par diverses tentations, vu que cela est convenable. 1 Pierre 1 : 6
 
Certaines choses dans la vie exigent un engagement intense pendant une courte période - mais le résultat dure toute une vie. Pensez, par exemple, aux personnes qui obtiennent un doctorat dans le domaine qu'elles ont choisi. Ces personnes mettent de côté d'autres objectifs et consacrent leur temps, leur argent, leurs aptitudes et leur travail assidu pendant un certain temps à réaliser quelque chose qui, dans 50 ans, sera encore attaché à leur nom. Des efforts intenses temporaires produisent des honneurs pour toute une vie. Dans 1 Pierre, l'apôtre décrit l'échange de moments éprouvants pour de bons résultats. Dans ce cas, Pierre ne parle pas d'instruction, bien que nous puissions l'appeler l'école des coups durs. Il parle d'épreuves temporaires qui font partie de notre vie bien que nous ne les ayons pas choisies, et il indique qu'elles peuvent produire des résultats durables. Nous nous réjouissons pendant nos épreuves, non pas pour les épreuves elles-mêmes, mais pour la gloire et l'honneur à venir, qui seront permanents. Les épreuves peuvent engendrer de la souffrance et de la tristesse - et elles ne semblent pas du tout être porteuses de bonnes nouvelles. Mais Pierre nous dit qu'elles font notre joie. Il voulait en fait que regardions à la joie éternelle qui nous est promise, une joie qui nous aide à comprendre les difficultés temporaires.
- J.D.B. -
 
Pensée : On peut supporter les épreuves de cette vie à cause des joies de celle à venir.

Buvez !

Passage à lire : Jean 4 : 7 à 14
 
(...) mais celui qui boira de l'eau que je lui donnerai, n'aura jamais soif ; mais l'eau que je lui donnerai, deviendra en lui une fontaine d'eau qui jaillira jusque dans la vie éternelle. Jean 4 : 14
 
En 1981, une pâtisserie de l'État du Michigan a fait cette offre spéciale : « Achetez une de nos tasses à café pour 4.79 $ et remplissez votre tasse pour 10 cents chaque fois que vous venez nous voir.» Mais les propriétaires n'ont pas imaginé que 25 ans plus tard, quatre clients boiraient encore dans leur tasse à café chaque jour pour 10 cents ! On ne trouve plus beaucoup d'aubaines comme celle-là aujourd'hui, mais Jésus a offert bien plus que cela à la Samaritaine au puits, en lui disant :« Quiconque boit de cette eau aura encore soif ; mais (...) l'eau que je lui donnerai deviendra en lui une source d'eau qui jaillira jusque dans la vie éternelle » (v.13-14). La femme au puits était disposée à écouter. Aucune de ses nombreuses relations personnelles n'avait jamais comblé le vide en elle. Puis, Jésus lui a offert de '' l'eau '' qui calmerait sa soif dévorante et lui donnerait quelque chose de plus : la promesse de la vie éternelle. Cette même promesse est valable pour nous, car Jésus a dit : « Je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu'elles l'aient en abondance » (Jean 10:10). La grâce et l'amour de Dieu sont inépuisables. Buvez l'eau qu'il vous offre, et vous n'aurez plus jamais soif. - C.H.K. -
 
Pensée : Seul Jésus, l'eau vive, peut satisfaire l'âme assoiffée.

samedi 22 mars 2014

L'univers est à Dieu

Passage à lire : Psaume 104 : 31 à 35
 
Il jette sa vue sur la terre, et elle en tremble ;  il touche les montagnes, et elles en fument. Psaume 104:32
 
S'élevant à près de 10 km au-dessus de sa base sur le fond océanique et s'étendant sur un peu plus de 120 km, le Mauna Loa d'Hawaii est le plus grand volcan de la terre. Mais sur la planète Mars, il y a le Olympus Mons, le plus grand volcan découvert à ce jour dans notre système solaire. Le Olympus Mons est trois fois plus élevé que le mont Everest  et cent fois plus massif que le Mauna Loa. Il est assez grand pour contenir toutes la chaîne des îles hawaïennes ! En contemplant le ciel étoilé, David était émerveillé à la vue de l'univers de son Créateur, et a écrit : « Les cieux racontent la gloire de Dieu, et l'étendue manifeste l'œuvre de ses mains (Psaume 19:2). Mais les étoiles et le ciel ne sont pas les seules choses qui émerveillaient les auteurs anciens. Les tremblements de terre et les volcans suscitaient également de l'admiration pour le Créateur. En explorant notre système solaire, les sondes spatiales continueront de découvrir des merveilles inconnues. Mais ce qu'elles trouveront est l'œuvre du même Créateur (Genèse 1:1). Les merveilles de l'univers devraient nous amener à louer Dieu, tout comme elles ont amené un jeune berger d'autrefois à lever les yeux vers le ciel (Psaume 8 : 4 à 6). - H.D.F. -
 
Pensée : Toute la création porte la signature de Dieu.

vendredi 21 mars 2014

La meilleure politique

Passage à lire : 1 Pierre 2 : 11 à 17
 
(...) ayant une conduite honnête avec les gentils, afin qu'au lieu qu'ils médisent de vous comme de malfaiteurs, ils glorifient Dieu au jour de la visitation, pour vos bonnes œuvres qu'ils auront vues.
 
Un ouvrier de la construction entra dans un restaurant rapide pour y commander deux repas à emporter. Lorsqu'on cria son numéro, il prit le sac, paya la caissière et quitta les lieux. Quand il arriva chez lui, il découvrit qu'on lui avait donné un sac contenant les recettes de la journée. Il rapporta aussitôt le sac, au moment où le gérant rapportait la perte aux policiers. Le client était assez honnête pour rendre l'argent, même s'il avait pu le garder sans se faire attraper. Cet incident impliquait une somme importante d'argent, mais nous devons aussi être honnêtes dans les petites choses. Nous nous demandons parfois pourquoi les chrétiens n'ont pas une influence spirituelle plus grande sur le monde. Se pourrait-il que ce soit parce que beaucoup de croyants trichent, mentent, esquivent les problèmes, manipulent les gens et justifient leurs actions ? Trop souvent la malhonnêteté est à l'ordre du jour - même chez les chrétiens. Pas étonnant que les incroyants ne soient pas impressionnés ! Plus important encore, c'est que Dieu exige et s'attend à ce que nous soyons honnêtes. L'apôtre Pierre dit que nous devons avoir une bonne conduite. Puis il écrit : « Car c'est là la volonté de Dieu qu'en faisant bien, vous fermiez la bouche à l'ignorance des hommes dépourvus de sens (...) (v.15). L'honnêteté n'est pas seulement la meilleure politique - c'est la politique de Dieu. - R.W.D. -
 
Pensée : Il n'y a pas de degrés d'honnêteté.

Une chute de 30 kilomètres

 Passage à lire : Deutéronome 33 : 26 à 29
 
C'est une retraite que le Dieu qui est de tout temps, et d'être sous les bras éternels ; car il a chassé de devant toi tes ennemis, et il a dit : Extermine.
 
Le 27 août 1960, le capitaine de l'armée de l'air américaine Joseph Kittinger, fils, était assis à bord d'une gondole suspendue à un ballon dirigeable. Lorsque le ballon a atteint 31 334 mètres au-dessus de la surface de la terre (plus de 30 kilomètres), Kittinger a sauté dans les airs. Quatre minutes et 36 secondes après, son parachute principal s'est ouvert à 5490 mètres, mais pas avant qu'il ait atteint une vitesse de 988 kilomètres heure ! Kittinger avait soigneusement planifié sa descente record. Dans le domaine spirituel, on est davantage susceptible de découvrir que la vie est remplie de chutes libres imprévues. La perte d'un bien-aimé, une relation brisée, une cessation d'emploi, peuvent nous donner l'impression de sauter dans l'inconnu. Pour les croyants, il existe un '' parachute '' spirituel : les bras d'amour de Dieu. Il y a des milliers d'années, juste avant de mourir, Moise a écrit les paroles suivantes aux Israélites : « Le Dieu d'éternité est un refuge, et sous ses bras éternels est une retraite ». Les mots '' bras éternels '' désignent la protection et la préservation du peuple de Dieu. Malgré les circonstances stressantes qu'il ne manquerait pas de rencontrer, il pourrait être assuré de la bienveillance de Dieu. Avez-vous l'impression d'être en chute libre ? Prenez courage. Les bras d'amour de Dieu sont là pour vous attraper. - H.D.F. -
 
Pensée : Avec Dieu derrière et ses bras qui vous portent, vous pouvez affronter tout ce qui se présente à vous.

samedi 15 mars 2014

Honorer nos parents

Passage à lire : Marc 7 : 1 à 13
 
Honore ton père et ta mère, comme l'Éternel, ton Dieu, te l'a commandé ; afin que tes jours soient prolongés, et afin que tu prospères sur la terre que l'Éternel, ton Dieu, te donne. Deutéronome 5 : 16
 
En 1727, dans une petite librairie de Lichfield en Angleterre, un homme qui était pris de violentes quintes de toux emballait des livres qu'il voulait vendre à son égal du marché d'Uttoxeter. Entre deux quintes de toux, il demanda à son fils de 18 ans d'apporter les livres au marché ce jour-là, mais le jeune homme, complètement plongé dans sa lecture d'un classique latin, l'entendit et ignora sa requête. La diligence arriva, et le père sortit sous la pluie battante avec sa pile de livres pour faire le trajet de 32 kilomètres jusqu'au marché. Cinquante ans plus tard, un homme âgé resta des heures durant sous la pluie battante devant un étal du marché d'Uttoxeter. Quand la tempête cessa enfin, il remonta à bord de la diligence qui l'attendait et rentra chez lui. Et là, il courba la tête et se mit à sangloter. Cet homme était Samuel Johnson, célèbre génie littéraire, et il était encore hanté par le souvenir de ce qu'il avait fait il y a si longtemps. Honorer nos parents est plus qu'une obligation, c'est aussi un privilège. Comme enfants, nous les honorons en leur obéissant, et comme adultes, c'est en leur téléphonant ou en leur rendant visite fréquemment et en ayant soin d'eux. Les occasions ratées de leur manifester de l'amour et de les honorer peuvent occasionner de profonds regrets des années plus tard. Le commandement est simple : « Honore ton père et ta mère ». Et Dieu récompense toujours l'obéissance. -  H.V.I. -
 
Pensée : Les enfants laissent tomber leurs parents quand ils oublient qui les a élevés.

vendredi 14 mars 2014

Des nuits d'insomnie

Passage à lire : Psaume 16
 
Je bénirai l'Éternel qui me donne conseil ; je le bénirai même durant les nuits dans lesquelles mes reins m'enseignent. Psaume 16:7
 
Le psalmiste David a connu des nuits sombres et solitaires où tout semblait échapper à son contrôle. Les doutes et les craintes l'ont assailli, sans qu'il puisse fuir loin de ses problèmes. Comme nous, il s'est tourné et retourné dans son lit, mais il s'est aussi tourné vers son Berger (Psaume 23:1) et s'est rappelé la présence du Seigneur, et cela a apaisé son âme troublée et angoissée. Il a dit : « Je me suis toujours proposé l'Éternel devant moi ; et puisqu'il est à ma droite, je ne serai point ébranlé. » (Psaume 16:8). Nous aussi, nous avons des nuits d'insomnie où des pensées troublantes se bousculent en nous, où nous détestons la nuit et désirons dormir. Toutefois, cela ne devrait pas nous inquiéter, car la nuit peut être notre amie. En effet, Dieu y est présent et nous rend visite pour nous conseiller et nous instruire. C'est peut-être dans notre lit, plus que nulle part ailleurs, que nous pouvons entendre la voix de Dieu, écouter ses pensées et méditer sa Parole. Dans ces moments-là, nous pouvons nous décharger sur lui de tous nos soucis (1 Pierre 5:7) et lui parler de nos échecs, de nos conflits, de nos défis, de nos inquiétudes, de nos frustrations parce qu'il nous fait attendre longtemps, bref de tout ce qui nous stresse et nous empêche de dormir - et écouter ce qu'il a à dire. Voilà qui peut faire de nous des insomniaques hors du commun ! C'est aussi le secret du repos. - D.H.R. -
 
Pensée : Si vous ne pouvez dormir, ne compter pas les moutons ; parlez plutôt au Berger.

jeudi 13 mars 2014

« Mesure-moi »

Passage à lire : Éphésiens 4 : 11 à 16
 
Et Jésus s'avançait en sagesse, et en stature, et en grâce envers Dieu et envers les hommes. Luc 2:52
 
Caleb, notre jeune livreur de journaux, m'a demandé : « Pouvez-vous me mesurer aujourd'hui ? » Ce n'était pas la première fois qu'il me le demandait. Quelques années auparavant, je lui avais fait remarquer combien il devenait grand. Depuis, nous avons souvent mesuré sa taille contre le revêtement extérieur de notre maison. Après tout ce temps, il veut encore que je le mesure. Les mesures peuvent être des indicateurs de croissance. Et c'est une bonne idée de mesurer notre croissance spirituelle. Par exemple : Est-ce que je passe de temps chaque jour à lire la Parole de Dieu et à m'entretenir avec lui ? Est-ce que j'ai hâte de passer du temps en communion avec le Seigneur ? Quel '' fruit de l'Esprit '' est apparent dans ma vie ? Est-ce que je parle de Jésus aux gens qui ne le connaissent pas ? Comment Est-ce que j'utilise mon ou mes dons spirituels ? Est-ce que j'ai un esprit généreux ? En quoi est-ce que je connais mieux Dieu aujourd'hui qu'il y a un an ? Ces questions sont de bons indicateurs de croissance spirituelle. Un enfant semble grandir tout d'un coup, mais en réalité, c'est un processus continu. De même que Jésus a grandi en sagesse et en stature, en tant que croyants, nous devons continuer de « croître  dans la grâce et dans la connaissance de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ » (2 Pierre 3:18 ). Nous ne devons plus être des enfants, mais « croître à tous égards en celui qui est le chef, Christ » (Éphésiens 4 : 14-15). Vous êtes-vous mesuré récemment ? - C.H.K. -
 
Pensée : Le miracle du salut s'accomplit en un instant ; le travail de la croissance dure toute une vie.

dimanche 9 mars 2014

N'abandonnez jamais !

Passage à lire : Galates 6 : 6 à 10
 
Or ne nous relâchons point en faisant le bien : car nous moissonnerons en la propre saison, si nous ne devenons point lâches. Galates 6:9
 
Lorsque Hitler préparait son attaque contre l'Angleterre pendant la Deuxième Guerre mondiale, on a demandé à Winston Churchill d'adresser la parole à un groupe de Londoniens découragés. Voici les huit mots d'encouragement qu'il a prononcés : « N'abandonnez jamais. N'abandonnez jamais, jamais, jamais ! Par moments, vous serez découragés dans votre marche chrétienne, mais vous ne devez jamais, jamais, jamais abandonner. Votre lutte contre le péché vous amènera tout au moins à vous tourner vers Dieu encore et encore, et à vous accrocher à lui dans votre désespoir. Dans un de ses livres, John White a écrit : « C'est l'homme ou la femme qui se lève et qui combat encore qui est un vrai guerrier. Fortifiez-vous en buvant une grande gorgée de Romains 8 : 1 à 4, puis retournez au combat avant que vos muscles ne raidissent ! » Ce qu'il faut, c'est persévérer sans se relâcher, continuer à obéir dans les hauts et les bas, les victoires et les pertes de la vie. C'est essayer encore, en sachant que Dieu est à l'œuvre en vous pour accomplir ses desseins (Philippiens 1 : 6 et 2 : 13). C'est chercher constamment à faire la volonté de Dieu dans votre vie jusqu'à ce que vous vous teniez devant lui, une fois votre travail terminé. Dieu est merveilleusement persévérant aussi. Il ne vous abandonnera jamais, jamais, jamais ! - D.H.R. -
 
Pensée : La persévérance peut vous faire passer de l'échec au succès.

vendredi 7 mars 2014

Comment essuyer la tempête

Voici, le Dieu Fort est ma délivrance; j'aurai confiance, et je ne serai point effrayé : car l'Éternel, l'Éternel est ma force et ma louange, et il a été mon Sauveur. Ésaïe 12:2
 
Un vieux marin a dit un jour : « Au cours d'une violente tempête, il n'y a qu'une seule chose à faire. Il n'y a qu'une façon de s'en tirer : nous devons placer le bateau dans une certaine position et le maintenir à cet endroit. » En commentant cette idée, Richard Fuller a écrit : « Voilà ce que nous devons faire. Parfois, comme Paul, vous ne pouvez voir ni le soleil ni les étoiles, et une grande tempête vous assaille. La raison ne peut pas vous aider. Les expériences passées ne peuvent pas vous éclairer. Il ne vous reste qu'une voie à suivre. Vous devez placer votre âme dans une position et la maintenir à cet endroit. Vous devez vous cramponner au Seigneur; et peu importe ce qui arrive : vents, vagues, mer houleuse, tonnerre, éclairs, rochers menaçants, brisants rugissants, vous devez vous agripper à la barre et garder fermement votre confiance dans la fidélité de Dieu et dans son amour éternel en Jésus-Christ. » C'est un bon conseil pour tout chrétien ! Dans les tempêtes de la vie, nous devons mettre notre confiance dans le Seigneur et nous accrocher fermement aux sûres promesses de sa Parole. Notre confiance en Dieu devrait être si inébranlable que, quelque soit l'épreuve, nous puissions, comme Job, affirmer résolument : « Voici, quand même il me tuerait, je ne cesserais d'espérer en lui » (Job 13:15). Et à ceux qui lui font confiance, il donne sa paix (Ésaïe 26:3). Disons avec le psalmiste : « Aie pitié de moi, ô Dieu, aie pitié de moi ! Car en toi mon âme cherche un refuge; je cherche un refuge à l'ombre de tes ailes, jusqu'à ce que les calamités soient passées » (Psaume 57:2). C'est ainsi qu'on peut essuyer les tempêtes. - R.W.D. -
 
Pensée : C'est lorsque nous ressentons l'intensité de la tempête que nous nous rendons compte de la force de l'ancre.

jeudi 6 mars 2014

Regarde qui les poursuit maintenant !

Un seul homme d'entre vous en poursuivra mille; car l'Éternel, votre Dieu, est celui qui combat pour vous, comme il vous en a parlé. Josué 23:10
 
L'été dernier, j'ai vu un papillon monarque renverser les rôles aux dépens d'un oiseau. Le monarque se dressa et chassa en fait l'oiseau. C'était un spectacle étrange, puisque les oiseaux sont supposés chasser les papillons, et non le contraire. Que cela se soit produit avec un monarque est cependant compréhensible. Cette espèce a été protégée par le Créateur par un goût qui rend les oiseaux malades. Je suppose qu'il peut courageusement faire la chasse aux oiseaux, tandis que les autres espèces de papillons se font donner la chasse. Le Seigneur a aussi équipé ses enfants pour qu'ils aient du courage dans un monde hostile. Bien que les ennemis que nous avons à affronter puissent être plus grands que nous, et peuvent sembler plus puissants, nous pouvons toutefois leur résister grâce à ce que Dieu met à notre disposition. Cela ne veut pas dire qu'il protège toujours ses enfants des blessures physiques ou même de la mort. Mais lorsqu'un enfant de Dieu travaille avec Dieu et fait sa volonté, il est invincible tant que son œuvre sur terre n'est pas terminée. Comment trouvons-nous la protection qui nous permet de '' chasser '' l'ennemi ? En faisant confiance au Seigneur et en lui obéissant. Josué dit au peuple de Dieu que s'il obéissait au Seigneur, personne ne pourrait lui résister. Le même Dieu qui combattit pour eux combattra aussi pour nous. Lorsque nous faisons ce qu'il veut que nous fassions de la façon dont il veut que nous le fassions, nous pouvons être assurés que sa main protectrice sera sur nous et qu'il nous fortifiera pour que nous relevions le défi. Oui, le Seigneur peut nous donner du courage. Tirons chaque jour notre force de lui. Notre Dieu combattra pour nous. - M.R.D. fils -
 
Pensée : Nous n'avons pas à craindre les dangers qui nous entourent parce que Dieu a toujours les yeux sur nous.

Juste un peu de rouille

Mais ce sont vos iniquités qui ont fait séparation entre vous et votre Dieu, et vos péchés ont fait qu'il a caché sa face de vous, afin qu'il ne vous entende point. Ésaïe 59:2
 
Je ressentis un cahot suspect en arrivant dans l'allée. Un des pneus arrière était à plat; on pouvait voir la ceinture d'acier du pneu radial. Le lendemain, lorsque je rendis visite au vendeur de pneus, je remarquai qu'un pneu de la même marque, de l'autre côté de la voiture, n'avait pas du tout la même usure. Je demandai pourquoi. Mon ami m'expliqua, qu'un clou avait pénétré le caoutchouc et fait rouiller les ceintures d'acier, affaiblissant ainsi l'intérieur du pneu. Finalement, la ceinture et la bande de roulement s'étaient séparées. Tout cela à cause d'un clou et d'un peu de rouille ! Des '' cahots '' spirituels peuvent facilement voir le jour dans la vie d'un chrétien ! Un péché non confessé agit comme la rouille sur les ceintures d'acier. Au début, rien ne semble aller mal, et nous pouvons même penser que ça n'a aucune conséquence. Mais notre amour pour le Seigneur décline; nous perdons notre intérêt pour la Parole de Dieu; la prière devient moins importante. Bientôt notre vie spirituelle ne progresse plus du tout. Cela peut également s produire dans nos relations avec les gens. Les enfants et les parents voient leurs relations rompues à cause de paroles irréfléchies. Un mari et sa femme édifient entre eux un mur de résistance lorsqu'ils entretiennent une mauvaise attitude. Un geste peu affectueux qui entraine une réponse sarcastique peut causer une division dans une assemblée de croyants. Qu'il s'agisse de notre relation avec Dieu ou celle avec les autres, nous devons surveiller la rouille spirituelle. Prions souvent : « Purifie-moi de mon péché » (Psaume 51:4) - P.R.V. -
 
Pensée : Sur le plan spirituel, il faut absolument se débarrasser de la '' rouille ''.

vendredi 21 février 2014

Vous pouvez toujours prier

 Passage à lire : Actes 12 : 1 à 16
 
Me trouvant dans la détresse, j'ai invoqué l'Éternel, et l'Éternel m'a répondu, et m'a mis au large. Psaume 118 : 5
 
La jeune mère cria à la missionnaire : « Venez vite ! Mon bébé va mourir ! ». Gale Fields était en Irian Jaya pour aider son mari à traduire la Bible en orya, une langue tribale, mais ils apportaient aussi une aide médicale chaque fois que c'était possible. Gale regarda donc l'enfant atteint de malaria et se rendit compte qu'elle n'avait pas le bon médicament pour soigner l'enfant. « Je suis désolée, dit-elle `la mère, je n'ai pas de médicament pour des bébés aussi petits ». Puis, elle ajouta : « Mais je pourrais prier pour lui cependant ». « Oui, tout ce qui pourrait aider mon bébé », répondit la mère. Gale pria pour le bébé et rentra chez elle avec un sentiment d'impuissance. Peu de temps après, elle entendit à nouveau la mère crier : « Gale, venez vite voir mon bébé, mais cette fois-ci, elle remarqua une amélioration. La fièvre pernicieuse avait disparu. Plus tard, Gale dit : «Pas étonnant que les chrétiens de cette tribu aient appris à prier, car ils savent que Dieu exauce les prières ». Les premiers chrétiens ont prié pour que Pierre soit libéré de prison et ont ensuite été '' étonnés '' quand Dieu les a exaucés. Nous réagissons de la même façon, mais nous ne devrions pas être étonnés quand Dieu exauce nos prières, car nous ne devons pas oublier que sa puissance est grande et ses ressources inépuisables. - J.D.B. -
 
Pensée : Sur terre, la position la plus puissante, c'est à genoux devant le Seigneur de l'univers.

jeudi 20 février 2014

Des vacances

Passage à lire : 1 Jean 1 : 1 à 7
 
... et que notre communion soit avec le Père et avec son Fils Jésus-Christ. 1 Jean 1 : 3c
 
Est-ce que ça existe un super chrétien qui est si près de Dieu ou si pieux qu'il peut se permettre de prendre des vacances dans sa relation avec Dieu ? Cette idée semble ridicule, n'est-ce pas ? N'est-il pas absurde de penser que notre marche avec Dieu puisse être autre que continue, quotidienne et incessante ? Mais la réalité, c'est qu'il nous arrive de faire ce que nous voulons et de négliger notre communion avec lui. Ce principe s'applique aussi au monde sportif. Grant Hill, une superstar du basket professionnel, a fait le commentaire suivant au sujet de son horaire d'entraînement hors saison : « Je n'ai tout simplement pas pensé que je pouvais m'arrêter une semaine car quand je m'arrête une seule journée, j'ai l'impression de manquer quelque chose. » Si nous, comme chrétien, prenons des vacances dans notre relation avec Dieu, nous aussi nous manquerons quelque chose - la direction de sa Parole ou la communion avec Dieu dans la prière. Finalement, nous serons davantage susceptibles d'oublier nos priorités et de faire des choses qui pourraient mener à notre chute. Même si cela fait déjà longtemps que vous êtes un enfant de Dieu par la foi en Christ, vous devez veiller sur votre relation avec lui. Je ne parle pas simplement d'aller à une réunion ou d'avoir un culte personnel tous les jours, mais d'une relation continue, car si vous prenez des vacances, votre marche avec Dieu en souffrira gravement. - J.D.B. -
 
Pensée : Pour demeurer ferme spirituellement, marchez tous les jours avec Christ. 

lundi 17 février 2014

Seulement vous et Dieu

Passages à lire : Psaume 35 : 1 à 10
 
Éternel ! plaide contre ceux qui plaident contre moi ; fais la guerre à ceux qui me font la guerre. Psaume 35 : 1
 
Mon ami Ron ne passait pas une bonne semaine, car son nouvel emploi l'avait placé au milieu de gens grossiers, rudes et odieux. Ron est un dur à cuire mais après avoir travaillé dans ce milieu pendant deux mois, il doutait de pouvoir tolérer davantage de comportements impies et grossiers. Ron est loin d'être le seul à vivre cela. Vous êtes peut-être aussi dans un milieu qui n'apprécie pas la sainteté - que ce soit au travail, à la maison ou ailleurs. Si c'est votre cas, que pouvez-vous faire ? Voici quelques suggestions qui peuvent vous aider à survivre et même à vous épanouir :
 
1. Concentrez-vous sur la bonté de Dieu et comptez sur elle, car ce que nous vivons ne change pas le fait que le Seigneur est bon en tout temps (Nahum 1:7)
2. Restez fidèle à vos convictions. Daniel a refusé de céder quand il était entouré d'impies. (Daniel 1)
3. Plongez-vous dans la Bible. Écoutez Dieu dans sa Parole. Cela va vous encourager. (Psaume 119 : 49-50)
4. Faites du bien à ceux qui s'opposent à vous. Rendez le bien pour le mal. (Matthieu 5:44)
5. Croyez que Dieu est votre compagnon, qu'il ne vous délaissera jamais et qu'il ne vous abandonnera pas. (Hébreux 13:5)
 
Quand il y a seulement vous et Dieu, c'est assez. - J.D.B. -
 
Pensée : Quand Dieu est derrière vous, et que ses bras vous soutiennent, vous pouvez affronter n'importe quoi.

dimanche 2 février 2014

Un pas à la fois

Passage à lire : 1 Pierre 1 : 10 à 16
 
Parce que je suis l'Éternel, votre Dieu. Vous vous sanctifierez donc, et vous serez saints; car je suis saint : ainsi vous ne souillerez point vos personnes par aucun reptile qui se traîne sur la terre. Lévitique 11:44
 
Y a-t-il un commandement plus difficile que celui-ci ? Probablement pas, mail il se trouve néanmoins dans la Parole de Dieu. Mais comment pouvons-nous être aussi saints que Dieu ? Après tout, la raison pour laquelle nous devons croire en Jésus comme Sauveur, c'est que nous ne sommes pas saints. « Car tous ont péché » (Romains 3:23). Et même après avoir placé notre foi en Christ pour être sauvés, comment pouvons-nous penser être aussi saints que Dieu ? Tenter d'être aussi saints que Dieu peut sembler bien trop compliqué, mais si nous nous abandonnons au Saint-Esprit qui vit en nous et qui nous convainc de péché, nous croîtrons. Faire un pas à la fois devrait nous aider. Par exemple, y a-t-il une chose que vous faites, ou que vous dites, ou que vous pensez qui ne reflète pas la sainteté de Dieu ? Vous traitez peut-être les autres durement ou vous avez peut-être un péché secret. Attaquez-vous à ce domaine aujourd'hui. Parlez-en à Dieu et demandez-lui pardon. Puis, par sa puissance, cherchez à vaincre ce péché. Vous pouvez également vous poser la question suivante : Y a-t-il une chose que je peux faire pour améliorer ma relation avec Dieu ? Plus vous passerez de temps avec lui, plus vous deviendrez semblable à lui. Petit à petit, et pas à pas, efforcez-vous de débarrasser votre vie de tout comportement impie et cherchez chaque jour à vous rapprocher de Dieu, car pour celui qui croit en Jésus-Christ, il n'y a pas d'objectif plus noble. - J.D.B.-
 
Pensée : Pour marcher comme Christ, marchez au pas avec lui.

vendredi 31 janvier 2014

Que possédons-nous là-haut ?

Mais que profiterait-il à un homme de gagner tout le monde, s'il fait la perte de son âme ? Ou que donnera l'homme en échange de son âme ? Matthieu 16 : 26
 
Un industriel retraité avait amassé une grande fortune et en faisait volontiers étalage. Il reçut un jour la visite d'un ancien camarade de régiment devenu chrétien, le retint à dîner et lui fit visiter sa superbe maison. Du haut d'une terrasse, il l'invita à contempler l'immense étendue de terres et de forêts qui l'entourait. « Tout cela est à moi, aussi loin que tu peux voir. Et dans la ville que tu aperçois là-bas, se trouve un musée qui porte mon nom, rempli d'œuvres d'art acquises à un prix très élevé. » L'ami écoutait et regardait d'un œil distrait tout ce que son hôte lui montrait. Puis, il tendit un doigt vers le ciel et demanda : « Et là-haut, cher ami, qu'est-ce que tu possèdes ? » C'est ce que la Bible nous rappelle si souvent : « Faites-vous des bourses qui ne vieillissent pas, un trésor inaltérable, dans les cieux » (Luc 12 : 33). « Gardez-vous de toute avarice; car quelqu'un a beau être dans l'abondance, sa vie ne dépend pas de ses biens (Luc 12 : 15). Mais ce n'est pas seulement aux riches que s'adresse ainsi la Parole de Dieu. Une veuve pauvre de l'évangile, qui n'avait que deux petites pièces, les a données sans calculer. Et le Seigneur Jésus révèle que Dieu les a mises à son compte en les estimant davantage que les dons élevés de beaucoup de riches.
 
(Auteur inconnu)

jeudi 30 janvier 2014

Mon avenir, puis-je le connaître ?

Passage à lire : Deutéronome 18 : 10 à 12
 
Si donc le Fils (Jésus-Christ) vous affranchit, vous serez véritablement libres. Jean 8 : 36

Que me réserve l'avenir ? De quoi demain sera-t-il fait ? Qui de nous ne s'est pas posé ces questions, questions obsédantes parfois qui peuvent conduire à une démarche qui est loin d'être anodine. Cette ignorance du lendemain pousse certaines personnes, à l'instigation du diable, vers l'occultisme. Les statistiques indiquent qu'un Français sur cinq consulte régulièrement un '' voyant ''. Dans la Bible, Dieu interdit de telles pratiques. Pourquoi ? Parce que, sans le savoir, ceux qui y ont recours, se placent sous l'influence des puissances spirituelles de méchancetés (Éphésiens 6 : 12). Le prix à payer est très élevé, car le fait de consulter devins, voyants ou médiums engendre une angoisse et une dépendance toujours plus grandes. Dieu seul peut affranchir de la domination que satan établit ainsi. Jésus-Christ a dit : « Quiconque pratique le péché est esclave du péché » (Jean 8 : 34) ; mais il a aussi annoncé la bonne nouvelle. Si vous avez été impliqués dans ces pratiques malsaines, confessez-le lui afin qu'il vous pardonne ces péchés et que satan ne conserve plus le moindre droit sur vous. Puis, séparez-vous de tous les objets qui ont servi de support à ces pratiques occultes. Telle est la démarche qui libère celui qui veut rompre cet esclavage et faire confiance à Jésus-Christ pour une vie nouvelle de paix intérieure et de liberté.

(Auteur inconnu)