Passage à lire : Jérémie 4: 1 à 19
Et le péché, étant consommé, produit la mort.
Jacques 1:15b
Jacques 1:15b
Lorsqu'il était encore jeune et facile à manier, l'arbre que nous avions planté au milieu de notre petite cour procurait juste assez d'ombre. Mais ensuite, ses branches ont commencé à s'étendre et, au bout du compte, il nous a privés de soleil. La pelouse a commencé à s'éclaircir, et le jardin à être moins productif. Lorsque je me suis rendu compte que je devais abattre l'arbre, ce fut tout un travail. Si seulement je m'étais occupé du problème lorsqu'il était encore petit, au lieu d'attendre qu'il soit pleinement développé ! Il en va de même pour le péché. Au début, il peut sembler inoffensif, même bon. Mais, tout comme un arbre feuillu lorsqu'il est arrivé à maturité, le péché nous prive de lumière. Les enfants d'Israël ont appris cette leçon à leurs dépens. Leur conduite leur a attiré un jugement (Jérémie 4:7,18). À leur grand regret, ils se sont rendus compte que le péché peut tout d'abord avoir l'air facile à contrôler et inoffensif - jusqu'à ce qu'il devienne incontrôlable. Alors, c'est une autre histoire. La situation fâcheuse d'Israël a amené le prophète Jérémie à s'écrier dans l'angoisse, à cause de l'égarement de son peuple : « Mes entrailles ! mes entrailles ; je souffre au-dedans de mon cœur » (v.19). Voyez le péché pour ce qu'il est : une menace grandissante qui mène toujours à la mort. Occupez-vous du '' petit '' péché qui existe maintenant dans votre vie. N'attendez pas qu'il soit consommé. - M.R.D. -
Pensée : Un petit péché ne reste jamais petit.